36 min - documentary - climate change, indigenous issues | website |
Through “a mixture of voices from communities covering Papua, Kalimantan and Sumatra, also blended with the expertise of some of the key Indonesian academics and activists,” State of the Forest provides an overview of the history, future, and present-day reality of Indonesia’s rainforest.
Films4, the producers of the film, explain on their website”The exploitation and clearance of forests has played a major part in funding Indonesia’s economy since the early 1970s, but the financial reward of this destruction has primarily only benefited an elite few. Land management has been largely unsustainable, based on short-term gains. The majority of the Indonesian population has had to suffer the broader consequences.”
And yet, the rate of deforestation “continues to accelerate,” a daunting concern since, palm oil plantations were established so rapidly from 1991 to 2006 — at a rate of “more than fifty” football fields an hour.
Today, “Indonesia is the second biggest producer of palm oil in the world, second only to Malaysia, and the palm oil industry provides the country with an important source of revenue. International demand has fueled the expansion of the industry.”
There is already an est. 7.2 million hectares of land covered in palm oil plantations, and the Indonesian government is planning to dedicate another 4 million hectares by 2015, solely for biofuel production.
Endlessly touted as being “environmentally friendly,” the replacement of Indonesia’s rainforest with palm oil plantations for biofuel “will exacerbate rather than reduce” stress on the environment — leading to even more natural disasters, water and air pollution, and increasing negative impacts on the 40 million Indonesians and Tribal Peoples that directly depend on the forest for their livelihood. (http://www.filmsforaction.org)
Episode 1 State of the Forest - More Than Just Timber
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Les indiens, sur lequel le président a fait tirer à la mitraillette, "ne sont pas des citoyens de première classe" ! On peut donc les tuer comme des mouches !
Michel Collon Info
Quand Chávez ou Correa parlent de réduire l’abîme social qui sépare les élites latinos et les peuples indigènes, on les traite dédaigneusement de populistes… mais quand Alan García se fait l’exécuteur des basses œuvres des grands groupes miniers U.S. et de l'accord de libre-échange (ALENA/NAFTA) alors là… silence gêné…
Trente-trois personnes ont sans doute été tuées et une centaine d’autres blessées vendredi dans des affrontements entre la police péruvienne et des tribus de l’Amazonie opposées à l’octroi de concessions à des compagnies minières étrangères dans la forêt équatoriale du nord du Pérou.
Au moins 22 manifestants ont trouvé la mort dans ces heurts, ont déclaré des chefs de tribu. Le gouvernement péruvien a fait état de 11 policiers et trois manifestants tués.
Les chefs indigènes ont accusé des policiers opérant à bord d’hélicoptères d’avoir ouvert le feu sur des centaines de manifestants pour mettre fin au blocage d’une route à 1.400 km au nord-est de Lima.
Les manifestants, très en colère, ont répliqué en prenant en otages un groupe de policiers près d’une station de pompage de la société nationale des pétroles, PETROPERU. Ils ont menacé d’y mettre le feu si les policiers ne renonçaient pas à vouloir disperser les manifestations en cours en Amazonie.
“Nous retenons 38 policiers en otages“, a déclaré un manifestant à la radio RPP. “Nous sommes 2.000, prêts à incendier la station“, a-t-il averti.
Des milliers d'amérindiens s’emploient depuis avril à bloquer routes et voies d’eau pour obtenir l’abrogation d’une série de lois adoptées l’an dernier pour encourager des compagnies étrangères à investir en Amazonie.
L’échec du premier ministre
Ce conflit, qui conduit certains à réclamer la démission du Premier ministre et du ministre de l’Intérieur, souligne les divisions profondes qui demeurent au Pérou entre les élites fortunées de Lima et les communautés indiennes miséreuses des zones rurales.
“Je tiens le gouvernement du président Alan García pour responsable d’avoir ordonné ce génocide“, a déclaré à la presse à Lima le chef indigène Alberto Pizango. Le gouvernement a lancé un mandat d’arrêt contre lui pour avoir encouragé le mouvement de protestation.
Imputant les violences aux manifestants, le président García a estimé que le moment était venu de mettre fin aux blocages des routes, des rivières et des installations énergétiques.
“Le gouvernement se doit d’agir pour imposer l’ordre et la discipline“, a dit de son côté le Premier ministre, Yehude Simon.
Cet ancien militant de gauche, auquel Alan García a fait appel voici un an pour tenter d’éviter des troubles sociaux dans le pays, n’a pas réussi à négocier l’arrêt des blocus en cours dans le bassin de l’Amazonie.
La compagnie argentine PLUSPETROL, qui avait déjà pratiquement arrêté les activités de sa concession 1AB dans le Nord péruvien, a fait savoir qu’elle y cessait la production. Elle extrait en temps normal un cinquième environ de la production pétrolière péruvienne.
Voir diaporama
Photo: Catapa
http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid=6&id=2088&option=com_content&Itemid=11
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2 autres vidéos ici :
http://www.internationalnews.fr/categorie-10183300.html
Amérique latine/Latin America
Et aussi : http://www.survivalfrance.org/actu/4653
Agissez ! http://www.survival-international.org/actnow/writealetter/peruvianindians
Plus d'infos:
http://humeursdejeandornac.blogspot.com/2009/06/massacre-au-perou-12.html
http://inti.france.free.fr/agir-labas/communique-public-massacre-populations-autochtones-perou.html