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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 03:58

 

medias-moutons.jpg

 

Mort de la Presse libre

et de la démocratie.


La France défigurée

Introduction d'eva R-sistons

 

 

Effrayant ! Il n'y a plus de liberté de la Presse en France, plus de débats dignes de ce nom (voir C dans l'Air, ou Les débats de France24, par exemple), les journalistes sont de vils laquais du Pouvoir, parfois même des criminels de guerre en incitant à la guerre contre des Etats souverains, et il faudrait les traduire en Justice. Ne nous étonnons pas si ensuite, la France est Lanterne Rouge d'Europe en matière d'Information. Dans la patrie des Droits de l'Homme, il faut lire la Presse étrangère pour avoir une idée juste de la réalité. Ainsi, Fabius est appelé en dehors de nos frontières, "le Ministre des Affaires Etrangères d'Israël". Pauvre France !  

 

Donc, une liste NOIRE de gens à ne pas inviter à la TV, circule, sans doute préparée par les agents du CRIF lui-même. Vous voyez des partisans du Hezbollah, de Bachar-el-Assad, de Poutine à la TV ? Non. Vous ne me voyez plus à la TV depuis que je suis non-alignée. Et un François Asselineau qui dit la vérité sur la nature de l'UE (créée par les Américains pour servir leurs intérêts et un jour leurs guerres) est boycotté par nos meRdias atlantistes.

 

Il n'est pas étonnant si ensuite, la France n'est plus respectée dans le monde; Au lieu d'être comme jadis une alternative, elle est désormais juste le caniche de Bruxelles, des Anglo-Saxons et des Israéliens ! 

 

Et alors que nos meRdias pourfendent la Russie, celle-ci au contraire a aujourd'hui des leçons à donner à la France en matière de liberté de Presse !

 

La France d'aujourd'hui est l'ombre d'elle-même, dans tous les domaines (Presse, Diplomatie...). Défigurée !

 

C'est tout simplement intolérable...


Eva R-sistons (Chantal Dupille)  ...

 

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Le directeur général de l’agence internationale Rossiya Segodnya (Russie Aujourd’hui) Dmitri Kisselev
20:48 04/04/2014

Le directeur général de l’agence internationale Rossiya Segodnya (Russie Aujourd’hui), auteur et présentateur du programme « Actualités de la semaine » est le seul journaliste au monde qui a fait l’objet des sanctions politiques introduites par l’EU.


Le journaliste est interdit d’entrée en EU et n’a pas le droit de posséder les biens immobiliers et les comptes bancaires dans les pays de l’Union. Le Comité mondial pour la liberté de la presse qui protège les droits des journalistes a pris la défense de Dmitri Kisselev sanctionnée par l’UE. Comme l’a raconté au journal Izvestia Dmitri Kisselev lui-même, en le sanctionnant, l’UE a porté atteinte à la liberté de parole de l’ensemble des journalistes du monde. Dans l’histoire moderne, explique le directeur de Rossiya Segodnya, la Russie et l’Occident ont interverti les rôles si bien que c’est la Russie qui est devenue défenseur des principes démocratiques et de la liberté de parole.


- Vous êtes l’unique journaliste qui fait l’objet de sanctions politiques. Y étiez-vous préparé?

- Cela concerne tous les journalistes. Si ma mémoire est bonne, c’est la première fois qu’un journaliste est sanctionné au niveau international. Je ne suis après tout qu’un journaliste lambda. C’est l’Europe qui a pris l’initiative des sanctions. Cela témoigne du mépris non dissimulé que les fonctionnaires de l’UE manifestent pour la liberté de parole. C’est un précédent très dangereux et une trahison de fait des valeurs européennes. Si ce précédent est légalisé et si la communauté des journalistes européens, américains et du monde entier ne réagit pas, cela signifie que les journalistes estiment que c’est normal. Il s’agit là d’un tournant civilisationnel radical en ce sens que nous n’avons plus besoin de liberté de parole qui n’a plus aucune valeur. La position de l’UE est confirmée non seulement par la décision des bureaucrates européens, mais encore par celle du parlement norvégien.


- Qui, selon vous, est en train de faire baisser le rideau de fer? Laquelle des parties?

- Nos rôles sont intervertis. La Russie est pour la liberté de parole alors que l’Occident ne l’est plus. C’est une véritable secousse tellurique civilisationnelle. En effet, en Russie, on peut dire ce qu’on veut, les chaînes de télévision défendent les opinions différentes, l’internet n’est pas bloqué et il y a une profusion de radios et de journaux les plus divers. Aucune œuvre littéraire n’est interdite sauf celles que le sont explicitement par la Constitution. Les extrêmes sont dans la nature des Russes à tel point que certains s’en prennent même au mot patriotisme. C’est le cas de la présentatrice Ksénia Larina des Échos de Moscou que dit que ce mot lui donne des nausées. Personne ne songe cependant à lui imposer des restrictions. Allez Ksénia, ne vous gênez pas. L’UE sanctionne les uns et encourage les autres comme les Pussy Riot qui demandent aussi d’élargir la liste des sanctions. Cela montre bien les préférences européennes qui incluent les danses sacrilèges de Tolokonnikova et d’Aliokhina dans la Cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou. Elles n’en sont pas moins reçues au parlement européen. Par conséquent, c’est bon et c’est permis mais la liberté de parole personnellement pour le journaliste Dmitri Kisselev, présentateur du programme analytique aimé par le peuple, ce n’est ni bon, ni permis. Le patriotisme vous donne des nausées, c’est très bien, mais nos correspondants et reporters qui voient ce qui se passe à Kiev et parlent du fascisme ukrainien, c’est mauvais. C’est étonnant comme échelle de valeurs, mais cela profite finalement à la Russie parce que nous voyons très bien qui défend quoi.


- Le MAE de Russie a annoncé n’avoir pas l’intention d’interdire l’entrée des journalistes occidentaux. C’est-à-dire que nous ne répondons pas de manière symétrique.

- Naturellement, la Russie est moralement supérieure. Nous avons déjà connu des temps, où la liberté d’expression était violée en URSS. Par exemple, sous Staline. Nous avons vécu l’époque de rideau de fer. Et à présent, aussi paradoxal que cela ne paraisse, nous échangeons de rôles. Cela veut dire que la Russie devient simplement le flambeau de la liberté d’expression. D’aucuns peuvent rire, comme Ksenia Larina, mais elle le fera librement en direct, sans craindre des sanctions de la part de la Russie, ni de celle de l’Union Européenne. Parce que chez nous, lors d’une émission en direct on peut jouir pratiquement sans restriction de la liberté d’expression et même en abuser, voire s’exprimer contre l’Etat et la Patrie. Pour cette raison, les sanctions de l’UE en réalité nuisent aux valeurs européennes en Europe-même, et non à moi ou à quelqu’un en Russie. Par là même l’Union Européenne proclame que la liberté d’expression n’est plus désormais une valeur pour elle. Voilà de quoi il revient.


- Avez-vous déjà ordonné la stratégie de Rossiya Segodnya ? Le Kremlin avait bien coopéré avec la compagnie des relations publiques américaine Ketchum. A votre avis, est-il acceptable que des spécialistes occidentaux répondent pour la propagande de la Russie ?

- Je ne sais pas s’il y a maintenant un contrat ou non. Admettons qu’il y en a. D’abord, je ne peux pas évaluer l’efficacité du contrat, mais supposons qu’il soit efficace. Nous ne sommes pas quand même pour une autarcie ? Bien des journalistes étrangers sont employés sur les chaînes de télévision russes. Ils comprennent que la domination du point de vue dit anglo-saxon dans le champ informationnel est funeste aussi pour leur pays. On verra apparaître des Etats franchement totalitaires, s’il n’y a aucun contrepoids en la personne de la Russie, défendant un point de vue alternatif.

J’ai des collègues qui ont travaillé pendant 25 ans à la BBC, ils demandent actuellement de venir chez nous, ne pouvant plus supporter tout ce délire, cette haine antirusse, la censure. On m’appelle de Paris et raconte qu’il existe en France toute une liste de personnes à ne pas inviter à la télévision, même si avant on les voyait souvent passer à l’écran, on les savait être des dominantes culturelles en France.


- Et vous, pouvez-vous leur donner la parole ?

- Bien entendu. Et voilà que des journalistes occidentaux m’avouent franchement avoir chez eux la censure. Il est donc normal que les gens veulent travailler avec la Russie – ils voient en elle une certaine voie alternative, un équilibre et une parité nucléaire, mais aussi informationnelle. Par là même ils défendent leur liberté. Et un appui uniquement sur ses propres forces, un isolement n’est pas très efficace. D’ailleurs, la Russie n’y aspire pas. Nous sommes un pays ouvert. Ainsi, la Russie déclare, par exemple, être prête à un régime sans visas avec l’UE dès demain, mais l’UE n’y est pas prête. Nous nous sommes échangés de rôles. Avant en Union Soviétique il fallait des visas pour sortir, alors l’URSS s’est isolée, et à présent nous comprenons que nous vivons dans le meilleur pays du monde.

 

La Voix de la Russie

http://fr.ria.ru/discussion/20140404/200911118.html

 

 

Dmitri Kisselev : le seul journaliste au monde interdit officiellement de travail en Occident. 

 

Durée : 5min 22sec | Postée : Il y a 20 heures | Chaîne : Le journal par chapitre

 
Fait unique dans l’histoire des démocraties européennes. Un journaliste est interdit d’entrée dans l’Union européenne, interdit de possession de biens immobiliers et de comptes bancaires en Europe. Une condamnation à mort sociale et professionnelle en quelque sorte. Certains dictateurs africains ont eu droit à plus d’égard que Dimitri Kisselev, le directeur général de l’agence international Rossia Segodnia nouvellement créée.
 
Présentateur vedette de la télévision russe, Dmitri Kisselev est donc l’unique journaliste à faire officiellement l’objet de sanctions politiques en Europe. Officiellement, car d’autres journalistes ont déjà subi les ravages du politiquement correct, la mise au placard, l’interdiction d’antenne ou l’impossibilité définitive de faire son métier, faute d’employeur. Mais cela se passait dans l’ombre des couloirs des rédactions, sans réelle publicité. Si une raison officielle devait être avancée, il ne s’agissait que de faible audience ou d’inadéquation avec l’ensemble de la grille de programme. Là, il s’agit bien d’une sentence officielle, internationale et notifiée à défaut d’être motivée.


Le Comité mondial pour la liberté de la presse, qui protège les droits des journalistes, a pris sa défense, mais les médias français ne se sont ni manifestés, ni même n’ont relayé l’information. Le pays des droits de l’homme est aux ordres de l’OTAN et les valeurs qu’il défend désormais sont monétaires.
 
Dmitri Kisselev, dans une interview choc donnée en Russie, puisqu’il n’y a désormais que là-bas que la liberté d’information existe, est longuement revenu sur cette fatwa occidentale. « Cette mesure, je cite, concerne tous les journalistes. Si ma mémoire est bonne, c’est la première fois qu’un journaliste est sanctionné au niveau international. Je ne suis, après tout, qu’un journaliste lambda. C’est l’Europe qui a pris l’initiative des sanctions. Cela témoigne du mépris non dissimulé que les fonctionnaires de l’UE manifestent pour la liberté de parole. C’est un précédent très dangereux et une trahison de fait, des valeurs européennes. Si ce précédent est légalisé et si la communauté des journalistes européens, américains et du monde entier ne réagit pas, cela signifie que les journalistes estiment que c’est normal. Il s’agit là d’un tournant civilisationnel radical en ce sens que nous n’avons plus besoin de liberté de parole qui n’a plus aucune valeur. ». Fin de citation.
 
Étonnant paradoxe qui veut que depuis la chute du rideau de fer, la Russie soit pour la liberté de parole alors que l’Occident ne l’est plus. Dmitri Kissilev, en tant que journaliste de télévision fait également remarquer, je cite, que : « en Russie, on peut dire ce qu’on veut, les chaînes de télévision défendent les opinions différentes, l’internet n’est pas bloqué et il y a une profusion de radios et de journaux les plus divers. Aucune œuvre littéraire n’est interdite sauf celles qui le sont explicitement par la Constitution. Les extrêmes sont dans la nature des Russes à tel point que certains s’en prennent même au mot patriotisme. C’est le cas de la présentatrice Ksénia Larina des Échos de Moscou qui dit que ce mot lui donne des nausées. Personne ne songe cependant à lui imposer des restrictions ». Fin de citation.
 
Cette liberté de ton est confirmée par le fait que le Ministère des affaires étrangères ne prendra pas de sanctions similaires. Les journalistes étrangers pourront toujours faire leur métier depuis la Russie, ou plus exactement, ils pourront continuer à vomir leur haine de tout ce qui est russe, comme le font par exemple, les envoyés permanents de France2, du Monde ou du Figaro. Plus caricaturaux qu’eux, c’est BHL. Après, il y a le soleil comme dirait un certain humoriste de talent français.


Pour Dmitri Kisselev, cette non-réciprocité est normale, car, je cite toujours : « la Russie est moralement supérieure. Nous avons déjà connu des temps, où la liberté d’expression était violée en URSS. Par exemple, sous Staline. Nous avons vécu l’époque du rideau de fer. Et à présent, aussi paradoxal que cela ne paraisse, nous échangeons de rôles. Cela veut dire que la Russie devient simplement le porte-flambeau de la liberté d’expression. D’aucuns peuvent en abuser, comme Ksenia Larina, mais elle le fera librement en direct, sans craindre des sanctions de la part de la Russie, ni de celle de l’Union Européenne. Parce que chez nous, lors d’une émission en direct on peut jouir pratiquement sans restriction de la liberté d’expression et même en abuser, voire s’exprimer contre l’Etat ou la Patrie. Pour cette raison, les sanctions de l’UE en réalité nuisent aux valeurs européennes en Europe-même, et non à moi ou à quelqu’un d’autre en Russie. Par cette décision inique, l’Union Européenne proclame que la liberté d’expression n’est plus désormais une valeur pour elle. » Fin de citation.
 
Le plus déroutant dans cette affaire est sans aucun doute l’absence de réaction des journalistes eux-mêmes. Ils se sont peu à peu accoutumés à n’être que de serviles relais du Pouvoir, à travailler pour des marchands d’armes ou des monstres du BTP, qui ont besoin de flatter les gouvernements pour obtenir ces marchés publics sans lesquels ils ne seraient rien. Il n’y a plus de liberté de la presse en France ou en Europe parce qu’il n’y a plus de groupe de presse libre.

 

Et Dmitri Kisselev d’expliquer, je le cite à nouveau « on m’appelle de Paris et on me raconte qu’il existe en France toute une liste de personnes à ne pas inviter à la télévision, même si avant on les voyait souvent passer à l’écran, on les savait être des dominantes culturelles en France » fin de citation.
 
Mais la liberté de la presse peut aussi naître de peu de choses. Que l’on mette à notre disposition des locaux sur Paris pour y installer bureaux et studios, et cette liste noire pourrait tout aussi bien devenir la grille de programme de ProRussia.tv. Internet n’a pas de frontière, et n’est pas soumis au CSA…


http://www.prorussia.tv/Dmitri-Kisselev-le-seul-journaliste-au-monde-interdit-officiellement-de-travail-en-Occident_v860.html

 

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Notre France est occupée, colonisée,

et une Police de la Pensée veille.

 

Le drame français: C'est aujourd'hui un pays colonisé - R-sistons vidéo 16
16:05

 

Un écrivain français ne plaît pas au Lobby juif,

alors il est en prison pour ses écrits !

 

Soutenez le en achetant ses livres : 

http://herveryssen-leslivres.hautetfort.com/

 

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 Si le Mind Control peut harceler des cibles individuelles qui déplaisent à la dictature, que ce soit pour des raisons politiques, personnelles, ethniques, religieuses ou autres, le Mind Control peut aussi influer sur les politiques nationales et internationales des Etats.

le Mind Control peut par exemple éliminer politiquement des hommes politiques compétents pour les remplacer par des fous ou des corrompus faciles à manipuler, il peut provoquer guerres civiles et massacres dans divers pays du tiers monde, il peut favoriser le néofascisme et le nazisme, sans que personne ne puisse protester puisque le Mind Control est secret.

 

La montée de l'extrême droite raciste en Occident depuis plus de 30 ans ,n'est pas due au hasard. Elle provient d'un complot fasciste appuyé sur le Mind Control et a pour projet de prendre le pouvoir en infiltrant ses agents partout, en supprimant progressivement les libertés, de manière à ensuite gagner des élections truquées qui constitueront un voyage sans retour.

 

Le fascisme du Mind Control manipule de plus les votes de l'ONU en prenant directement le contrôle des cerveaux des diplomates et en les faisant voter contre leurs intérêts.

 

Le Mind Control peut aussi provoquer massacres et génocides, en Afrique ou Moyen-Orient, en manipulant le mental des miliciens, militaires, politiques locaux, en les rendant fous furieux, en les poussant au crime, pour finalement intervenir et jouer au pompier pyromane.

 

La terreur du Mind Control détruira probablement rapidement toutes nos "démocraties"  si personne ne dénonce le phénomène.

 

Il est temps de lever la loi du silence et de libérer les otages du Mind Control.

http://edouardjean.canalblog.com/archives/2013/12/08/28611750.html


  

Replies to This Discussion

Le Mind Control satellitaire peut aussi manipuler les chefs d'Etats, élus, journalistes, membres des services de sécurité, pour les faire agir contre l'intérêt de leur pays. Par exemple, les pressions satellitaires empêchent les gouvernants de faire payer les riches, de développer l'industrie, de combattre la fraude fiscale. Le Mind Control est la créature de la ploutocratie fasciste qui dirige le monde, celle qui provoque crises économiques, guerres coloniales, krachs boursiers. Le Mind Control renforce le racisme, divise pour régner, tente de bloquer l'émergence du tiers monde.

 

Le Mind Control n'est pas seulement un problème d'atteinte aux libertés individuelles : c'est l'instrument d'un complot plus vaste qui vise à livrer le monde aux fascistes, qui en feront un enfer pour la plupart des gens et un paradis pour la petite clique de nazis qui dirige le système et persécute le reste du genre humain.

     Le Mind Control est la cause de nombreux génocides qui ont eu lieu ces 30 dernières années. Au Rwanda, au Congo, au Libéria, au Cambodge, au Liban, en Algérie, partout des massacres ont été planifiés par les maîtres du Mind Control, en utilisant les ondes électromagnétiques satellitaires pour manipuler des groupes armés et provoquer des carnages. C'est la même logique qui semble être mise en œuvre en Centre-Afrique, où les forces coloniales tentent de provoquer un génocide de musulmans tout en faisant mine de venir pacifier le pays.

Il faudra qu'un jour les criminels du Mind Control qui manipulent des pantins qui commettent des atrocités dans le tiers monde soient jugés pour leurs actes. Les massacreurs anonymes cachés derrière leurs écran doivent cesser de nuire.

Le Mind Control est aussi utilisé à manipuler les terroristes dans le monde entier. Les attentats pilotés par le Mind Control servent de prétexte à la suppression progressive de toutes les libertés. Les attentats "islamistes" en Occident servent de plus à développer l'islamophobie et à faire progresser l'extrême droite.

En RCA, en Syrie, le Mind Control est à l'œuvre pour inciter les gens à se massacrer.

 

http://peacepink.ning.com/group/francophone/forum/topics/mind-control-et-g-nocides

 

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Laurent LOUIS révèle QUI dirige la presse en Belgique ! (valable aussi pour la France)

 

 

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  • : Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.
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  • Eva R-sistons
  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.
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