Au seuil de génocides planétaires,
Lettre ouverte aux journalistes
Par Eva R-sistons
Chers confrères, chères conseurs
Je sais combien il est difficile d'être journaliste aujourd'hui.
Je sais que vous manifestez régulièrement
pour l'indépendance de la presse.
Je sais que loin d'être entendus,
votre professionnalisme est quotidiennement bafoué.
Et même ceux qui pourtant sont aux ordres
sont aujourd'hui critiqués par le Pouvoir !
Je sais aussi que le journaliste, en 2009,
doit se soumettre ou se démettre.
Je sais, par exemple,
qu'il doit interrompre avec zèle
l'intervenant qui tente de critiquer le Gouvernement
et qu'au contraire, tout doit être fait
pour déconsidérer l'Opposition.
Les Médias français
orchestrés par les inconditionnels d'Israël
sont devenus les moins libres d'Europe,
et ils n'ont rien à envier
à ceux des Républiques bananières.
Pire encore,
ils tournent en dérision l'Actualité la plus tragique,
comme le samedi à 13 h 15 sur France 2
ou à Télé-Matin,
ils divertissent,
pour empêcher les Français de penser.
Une presse sioniste
est une giffle quotidienne
à la démocratie, à la liberté,
à l'indépendance,
au pluralisme, à la neutralité,
et même à la dignité humaine.
Cependant, chers confrères ou consoeurs,
aujourd'hui l'Oligarchie
prépare des crimes contre l'humanité:
En programmant crises, pandémies ou guerres.
Elle désigne nos ennemis
et elle proclame ouvertement
que nous devons nous lancer dans des chocs de civilisation
et même que la population doit être réduite.
Alors, je vous pose une question:
Comme en 40, serez-vous des collabos ?
Serez-vous complices de la future "Shoah" de l'humanité,
serez-vous complices d'un génocide planétaire,
sanitaire, économique ou militaire,
orchestré par des psychopathes
insouciants du devenir de l'humanité,
indifférents à la souffrance des populations,
seulement préoccupés par l'épaisseur de leurs portefeuilles
et la hauteur des postes ?
Oui, accepterez-vous de désinformer
pour berner les peuples
et aider vos maîtres à les conduire à l'abattoir,
en les amenant même, oh comble du cynisme,
à désirer ce qui les perdra ?
Confrères ! Conseurs !
Allez-vous être des Merlin l'Enchanteur
pour ceux qui, devant leur écran ou dans leurs journaux,
vous font confiance ?
Allez-vous trahir vos concitoyens
pour être agréables
aux plus grands criminels de l'histoire de l'humanité,
prêts à appuyer sur le bouton nucléaire
pour réduire le nombre de consommateurs
des ressources limitées de la planète
et dominer les espaces vitaux,
prêts, aussi, à injecter le poison fatal
à ceux qui sont selon eux en surnombre,
et sans aller si loin,
prêts à sacrifier les emplois à leurs dividendes,
l'économie à la finance,
et même à monopoliser entre leurs mains
tout ce qui vit,
les plantes comme les animaux,
les ressources comme les biens communs ?
Demain, vos maîtres
adorateurs de Mâmon, de Mars et de Lucifer,
vont vous demander de vanter les mérites
de la vaccination fatale comme de la guerre nucléaire contre l'Iran,
et vous obéirez aux ordres ?
Vous accepterez d'être les instruments
de la mort de millions d'humains ?
Vous pourrez vous regarder dans la glace ?
Alerte ! Les criminels et leurs complices
se retrouvent un jour
devant un Tribunal de Nuremberg ou de Dieu,
et ils ont l'éternité pour regretter leurs forfaits abominables !
Il est temps, aujourd'hui, de mesurer votre responsabilité.
Serez-vous les instruments des malheurs des peuples ?
Accepterez-vous de plaider pour l'intolérable,
accepterez-vous de devenir complices de l'infâme ?
Journalistes,
vous êtes à la croisée des chemins.
Vous pouvez choisir la voie de la trahison de la confiance,
la voie des prophètes de la mort.
Vous pouvez, aussi, refuser de faire la promotion
de l'infâme financier, sanitaire ou guerrier.
Réfléchissez bien:
Votre responsabilité est immense.
Demain, il sera peut-être trop tard !
Alors, laquais des monstres au pouvoir,
ou frères et soeurs de vos concitoyens ?
Nous ne pouvons pas décider à votre place.
Nous ne pouvons que subir les conséquence de vos choix,
ou nous réjouir de vous voir
devenir des instruments de libération.
Que celui, ou celle, qui a des oreilles, entende.
Eva R-sistons à l'abomination d'une presse
au service des marchands de mort
et des promoteurs de l'apocalypse.