Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 04:08
 

Les dessous d’une ratonnade israélienne en région parisienne. 

 

Eva : Affaire gravissime, qui salit la France de Voltaire !  Que font les associations de Droits de l'Homme ? Pourquoi ce silence assourdissant des Médias ? Pourquoi aucune personnalité n'a participé au défilé ? Parce que la victime est un Français de confession musulmane et que les assassins sont  d'origine israélienne ou membres de la Ligue de Défense juive ? Que se serait-il passé si la victime était juive, et l'agresseur Musulman ? Tous les Médias se seraient emparés de l'affaire, les personnalités auraient dénoncé à qui mieux-mieux l'acte raciste, et les Associations de Droits de l'Homme auraient élevé la voix.

 

La France se vautre dans l'immonde. Le deux poids deux mesures est scandaleux !

 

Amis Lecteurs, souvenez-vous de ce jour. Demain, lorsque l'inverse se produira, soyez prêts à rappeler cette Affaire...

 

Cette France-là n'est pas la nôtre. Elle est abjecte !

 

Eva R-sistons à l'intolérable

   


Les dessous d’une ratonnade israélienne en région parisienne. 
Le cri d'indignation d'un réalisateur TV :
 
Sept cents personnes ont manifesté de la Place de la République à Bastille pour réclamer une procédure judiciaire transparente et équitable après l’assassinat en groupe commis par cinq ou six nervis contre un vigile d’origine marocaine, Saïd Bourarach, marié à une Française du « corps traditionnel de la France », père d’un enfant né de ce mariage et éducateur d’un autre enfant né d’un précédent mariage de son épouse.
 
 L’affaire a commencé par une altercation d’une personne qui voulait entrer dans le magasin dont Mohammed surveillait l’entrée, après l’heure de fermeture.
 Mohammed, conformément aux ordres reçus n’a pas laissé faire.
 
 La personne refoulée est revenue quelques temps plus tard avec des « amis ». Le chien de Mohammed a été jeté dans le canal de l’Ourc. Mohammed a été battu à mort et jeté lui aussi dans le canal.
 
 Il s’agit visiblement d’un assassinat prémédité puisqu’il a eu lieu à un autre moment que l’altercation de départ. Il a le caractère d’une vengeance avec retard.
 
 L’assassinat a fait deux orphelins et une veuve… je le répète faisant partie du « corps traditionnel de la France ».
 
 Les assassins ont été arrêtés par la police. Un d’entre eux serait membre de la Ligue de Défense Juive. Un autre serait titulaire d’un passeport israélien.
 
 L’affaire a donc tout logiquement pris une autre tournure : une ratonnade menée par un Israélien et des illuminées sionistes en terre de France.  
 
 D’où l’appel à manifester de l’Union des Associations Musulmanes du 93. Il est étonnant d’ailleurs que la participation n’ait pas été plus importante. Et il est remarquable que nombre de ténors des droits de l’homme, que des non musulmans connus n’aient pas été vus à ce défilé qui fut somme toute bon enfant.
 
 Les droits de l’homme ne valent donc pas pour protéger les citoyens français de culte musulman ou originaire des anciennes colonies… à une ou deux ou trois générations près ?
 
 Aux dernières nouvelles, la justice aurait déjà libéré deux des complices. Par ailleurs, le parquet ne communique pas et les médias dominants font peser un lourd silence en ignorant superbement l’affaire.
 
 
Cela oblige à penser à des affaires analogues du passé :
 
 Un nervis sioniste a poignardé un commissaire de police à Paris lors d’une manifestation de soutien à Israël. Les autorités ont manqué de vigilance et le coupable s’est enfui en Israël. L’État français qui aide beaucoup Israël sur les plans économiques et politiques n’a pas usé de ses moyens de pression pour faire revenir le coupable et le juger en France.
 
 Plus près de nous, un groupe de jeunes de la Ligue de Défense Juive sont allés au domicile d’une femme, Ginette Skandrani-Hess, connue pour son passé écologique et son soutien aux droits du peuple palestinien. Ils ont forcé l’entrée. Ils l’ont massacrée : plusieurs jours au coma, des séquelles graves. La police a bien fait son travail. Mais, là aussi, manque de vigilance, un des coupables s’est enfui en Israël. Il n’est pas réclamé avec la puissance de pression de la France.
 Ceux qui sont restés en France ont été condamnés à des peines relativement légères pour des coups et blessures ayant entraîné une incapacité durable et pour une tentative d’assassinat en groupe.
 
 Je ne suis pas de ceux qui réclament des peines sévères contre les délinquants. Ni des procès cinéma comme ce fut le cas lors de l’affaire de XXX.
 
 Je suis de ceux qui demandent tout simplement que les coupables soient jugés en France et que la procédure soit transparente, que les faits matériels ne soient pas ostensiblement minimisés.
 
 
Le fait qu’Israël devienne un pays-refuge pour tous les voyous dits « juifs » est intolérable. La France, l’Union Européenne donnent suffisamment d’argent à Israël pour exiger qu’il ne soit plus une ile des pirates.
J’ai encore à l’idée le grand scandale dit « du sentier » où des personnes malhonnêtes ont détourné des millions de francs, puis au moment de leur jugement, se sont réfugiées en Israël.
 
 Ce laxisme de l’État français envers cette catégorie de délinquants est de nature saper la confiance des Français dans leurs concitoyens qui se disent religieusement judaïque ou ethniquement Juifs : ils peuvent faire n’importe quoi et se barrer en toute impunité en Israël. Ce qui n’est pas le cas des autres Français.

 
 Il faut qu’on m’explique comment on peut récupérer Carlos et laisser courir l’assassin d’un Français d’origine marocaine.
 
 Une explication serait que « le peuple français a une dette éternelle envers les Juifs du monde entier parque durant la guerre 39-45, le régime issu de la défaite a été raciste et a envoyé 80 000 Juifs vers les camps d’extermination en Allemagne ».
 
 Ce raisonnement ne tient pas la route. Pas du tout.
 
 D’abord, il n’y a pas de dette éternelle.  
 La Cour constitutionnelle a déjà répondu à des enfants de victimes qui réclamaient de nouveaux dédommagements que la France avait suffisamment payé et la haute Cour a détaillé cela (procédure contre la SNCF).
 
 Ensuite je ne vois vraiment pas en quoi les jeunes Français d’aujourd’hui auraient aujourd’hui ne serait-ce qu’une trace de responsabilité ou de conviction raciste. La jeunesse française, dans son ensemble, est propre. ON peut dire que parfois, elle est paumée ; c’est la faute aux adultes qui lui ont laissé un monde sans perspectives.
 
 Enfin, je ne vois aucune relation entre ce qui s’est passé en France, en Europe et la création d’Israël sur le territoire d’un autre peuple que ce soit en Afrique comme envisagé ou en Palestine : on ne rembourse pas ses dettes sur le dos d’autres peuples, en aidant à commettre des crimes contre l’humanité ailleurs, contre d’autres. En l’occurrence la Société des Nations et l’ONU de 1948 et avant ne sont pas des références morales :
c’étaient des organisations racistes. L’Onu a évolué ; elle compte à présent 197 pays au lieu des trente initiaux dont plus de la moitié étaient sous contrôle étranger direct.
 
 La décision de promouvoir le sionisme en France semble plus logiquement procéder d’un calcul politique en vue de rassembler des gens venus d’horizons différents autour d’une arabophobie, d’une islamophobie, d’un africanophovie, d’une asiaphobie en vue de priver une partie importante des citoyens français de leurs droits et de leur part légitime du gâteau national.
 
 Cela rappelle que Monsieur Fillon, premier ministre, a déclaré devant le CRIF en 2009, que juste après les crimes de guerre d’Israël à Gaza, il avait donné ordre à tous les Parquets de France de condamner sévèrement tous les actes antisionistes en les identifiant à de l’antisémitisme.  
 
 Certains parquets comme celui de Mulhouse ont été prompts : ont été condamnés à Bordeaux des Français qui réclamaient le boycott des produits d’Israël, un pays qui pratique officiellement la ségrégation raciale et religieuse ; pourtant la France avait boycotté l’Afrique du Sud raciste.
Pourtant des Juifs d’Afrique du Sud ont déclaré que le régime israélien est semblable en tout à celui de l’apartheid et des bantoustans.
 
 Un autre cas que je connais bien celui de la publication Alterinfo. Cette affaire a fait l’objet de plusieurs articles.
 
 Enfin, un journaliste – moi – a été injurié publiquement lors de cette procédure (une affaire dans l’affaire). J’ai invoqué le fait que nous sommes dans un État de droit et que cela ne se faisait pas. J’ai été menotté, mené en garde à vue en attendant d’être déféré en audience immédiate pour « outrage à magistrat ».
 Les preuves de l’outrage ont manqué.
 Au bout de huit heures de garde à vue non régulière - faux horaires, directives données au médecin pour retarder la visite médicale, absence de l’avocat réclamé en vue d’une assignation en référé d’heure à heure
- j’ai été relaxé.
 
 Il faut croire que mes griefs ont été reconnus puisque dans les jours qui suivirent le substitut du parquet fautif avait été muté bien loin, dans une île exotique. Mais il n’avait été ni jugé ni condamné pour ses abus de pouvoir, la privation abusive de liberté - regardez dans le Nouveau Code de procédure Pénal : c’est très grave !
 
 Mais le parquet est revenu à la charge contre moi. J’ai été convoqué en audience correctionnelle.  
 
 J’ai pris connaissance des pièces à charge : la date du procès verbal constatant l’outrage à magistrat était fausse. Mes propos ont été déformés lors d‘une enquête de pieds nickelés menée exclusivement à charge.
 J’ai donc en toute confiance dans la justice française déposé une plainte pour abus de pouvoir et privation de liberté, garde à vue irrégulière, etc.
 J’ai aussi demandé un complément d’enquête et que soit au préalable saisi un juge d’instruction. J’ai demandé aussi que l’affaire soit dépaysée vers une autre circonscription judiciaire pour ne pas être jugé par des collègue, subordonnés et supérieurs directs des personnes mises en cause.

 
 J’ai répété ces demandes lors de l’audience de correctionnelle.  
 Enfin, comme il y avait eu plusieurs mensonges de la part des fonctionnaires de la justice, j’ai demandé que l’audience soit enregistrée simultanément sur deux appareils : j’avais deux magnétophones. Un pour le président et un pour moi : pas moyen de tricher.
 
 Six mois après les évènements, je trouve toujours que mes arguments étaient modérés, mais très forts juridiquement.
 
 Le président a refusé. Il a refusé d’attendre qu’un juge d’Instruction soit désigné. Il a refusé le dépaysement. Il a donné acte à l’enquête de police ubuesque qui servait de base à l’audience correctionnelle.
 
 J’ai don refus de participer à cette farce et quand il m’a demandé de décrire ma vie, je me suis tû. Je suis toujours resté correct.
 
 Il aurait pu me dire de m’assoir et continuer la tâche qu’il s’était assignée. Au lieu de quoi, il m’a fait sortir de la salle : alors que je m’étais déplacé de Paris à Mulhouse pour assister « à mon jugement », me voilà mis à la porte de la salle d’audience ! sans pouvoir argumenter sur le fond.
 
 C’est jurisprudentiellement inouï ! Et j’ajoute que le président de la Cour n’était autre que le président du Tribunal de Grande Instance de Mulhouse. Il m’ dit : « j’ai décidé de présider personnellement l’affaire vous concernant parce que je la trouve significative ».
 
 Quand des gens sont sortis de la salle, ils m’ont appris que j’avais été condamné à un mois de prison avec sursis et à 1000 euros d’amende. Je suis entré dans la salle, tout le monde partait.
 
 J’ai fait appel en attendant de recevoir le texte du jugement.
 
 Quelle ne fut pas surprise de lire que le jugement que j’ai dû réclamer à plusieurs reprises que « Monsieur Ouahhabi a été présent à l’audience, il a pu présenter sa défense sur le fond et il a eu la parole en dernier ».
 
 Bien sûr, sans ces précisions, aucun jugent ne peut être valable au regard des instances internationales de défense des droits de l’homme.
 Mais dans ce cas d’espèce, il s’agissait d’un faux en écriture, établi en vue de justifier un jugement inéquitable, dans le but de sanctionner pénalement un honnête citoyen qui avait été victime d’un abus de pouvoir pour le punir de son soutien au peuple palestinien contre les crimes de guerre d’Israël.
 
 Un faux en écriture est un délit. Celui qui commet un délit est un délinquant.  
 Le faux a été commis par Monsieur le président du Tribunal de Grande Instance de Mulhouse. Sa compétence, ses déclarations à l’audience lui interdisent de plaider la négligence et encore moins l’incompétence. Sa responsabilité est totale et entière.
 Cela ne peut se comprendre que par la volonté de répondre favorablement au désir de Monsieur Fillon, Premier ministre.  
 Cela dit, il est déjà arrivé que des magistrats zélés soient publiquement désavoués en haut lieu (affaire du professeur de philosophie déféré en justice pour avoir crié dans la gare de XXX : « Sarkozy, je te vois ! »)
 
 Pourquoi donc cette politique du gouvernement de Monsieur Sarkozy se lance-t-il dans la stigmatisation d’une partie de sa population en vue de voler au secours d’un pays étranger par ailleurs officiellement raciste, théocratique et criminel de guerre ? 
  
(..)

 Au lieu de préoccuper de la sécurité d’Israël, le chef de l’État français doit laisser Israël pourvoir à sa propre sécurité et cesser de l’aider économiquement et politiquement : Israël est un État raciste par son essence, autrement dit fondé sur des principes exactement contraires à ceux de la République Française qui reconnaît l’égalité universelle de tous les êtres humains, sans considération d’origine, de religion, etc.  
 Avec l’Afrique du Sud, la France s'est engagée dans un boycott économique sévère qui a ramené la minorité raciste à laisser place à la démocratie.
Pourquoi ne pas le faire avec cet autre État raciste qu’est Israël ?
 
 C’est une attitude ferme qui ramènera les dirigeants israéliens à plus d’intelligence et vers une solution pacifique sur la base des principes universels de respect des droits de l’homme, du droit des peuples, de respect de la souveraineté des États.
 
 Si le gouvernement ne corrige pas sa politique actuelle, il risque d’obtenir la victoire qu’il recherche : la radicalisation des jeunes de banlieues. Tout cela nous amène à craindre sérieusement l’apparition prochaine d’une ligue de défense des français musulmans et des blacks Panthers Françaises.
Sarkozy pourra alors mobiliser le ban et l’arrière ban de l’extrême droite et solidifier toutes les droites contre les Français les plus pauvres, ceux qui sont originaires des anciennes colonies. Cela pourra lui offrir un mandat supplémentaire, mais il y aura des morts, des dégâts comparables sinon plus graves que ceux de la bande d’Action directe. Il convient donc de réfléchir à deux fois avant de confirmer cette voie : Monsieur Sakozy cessera alors d’être le Président de tous les Français, mais « le Président des Juifs », le « Président d’une France raciste »… comme le fut en 39 un certain amoureux d’une certaine France.
 
 Abdellah Ouahhabi
 Réalisateur TV
 
 
Au fait, je lis à l'instant ceci :
 
 
Je ne buvais jamais du coca-cola, donc pas de problème ! Mais par contre j'aime le chocolat et les pamplemousses,  eh bien je n'achète jamais les Jaffa et le chocolat Nestlé. IBM et l'Oréal se passeront de moi. Il ne me viendra jamais à l'idée de regarder le torchon CNN. Par contre, je découvre les potages Maggie et les Mac Donald's: Ils ne sont pas près de m'avoir pour clients ! Comme Danone et d'autres produits. Je ne tiens pas à financer des violations de Droits de l'Homme ou des crimes. A chacun d'agir selon sa conscience... Pour moi, l'éthique est première: Elle ne cautionnera jamais le crime, l'injustice, les guerres, les violations du Droit. Il faut être cohérent !
 
Eva R-sistons   
Partager cet article
Repost0

commentaires

E
<br /> <br /> Etoile, je suis éprise de justice, tout simplement. Les uns ET les autres. Pas de favoritisme ! Cordialement eva<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
E
<br /> <br /> Stéphanie, les socialistes ne sont pas de gauche, aujourd'hui ! cordialement, eva<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
E
<br /> <br /> Merci Eva pour votre blog et surtout pour votre article sur la mort de SAID que nos mérdias et nos hommes politiques n'ont pas dit un mot ou apporter du soutien à la famille de la<br /> victime.Vous allez voir,si ces assassins sortent en liberté provisoire,en rien de temps,ils se trouveront dans un avion direction L'ENTITÉ SIONISTE qui cache les assassins des Arabes.Et comme<br /> vous savez que là-bas,tué un Arabe n'est pas considéré comme un crime.Puisque leurs soldats plutot leurs tueurs en serie tue le peuple Palestinien depuis 60 ans et le monde laisse faire.La France<br /> est gouvernée par les agents du CRIF/UPJF/LICRA.Et toutesles classes politique disent AMEN<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> <br /> Eva,<br /> <br /> <br /> Suite à mon expérience personnelle, je puis affirmer que, faire de la politique, c'est savoir dire une chose et son contraire, dans la même phrase, dans deux phrases qui se suivent ou dans un<br /> seul discours.<br /> <br /> <br /> J'ai eu un patron (PME) soit-disant socialiste (se présentant à des élections législatives) dont c'était la grande spécialité.<br /> <br /> <br /> Non seulement il disait, mais il bafouait allègrement, les lois de l'époque en me faisant travailler la nuit jusqu'à 3h du matin et reprendre le boulot à 7h, tout ça, pour un syndicat dont je<br /> tairais le nom. C'était au milieu des années 70 ....<br /> <br /> <br /> J'ai bien râlé auprès de ce syndicat en leur demandant d'apporter leur travail un jour plus tôt, mais "ils" s'en foutaient complètement !<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
E
<br /> <br /> Merci Stéphanie pour tes encouragements, cordialement, eva<br /> <br /> <br /> Dubruel, j'ai trouvé ça bien:<br /> <br /> <br /> (http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://dubruel.over-blog.com/)<br /> <br /> <br /> Dans les définitions du Littré, au mot « Politique », on peut<br /> lire :<br /> <br /> <br /> « La politique est-elle autre chose que l’art de mentir ? »<br /> <br /> <br /> La Bruyère<br /> <br /> <br /> « La politique est l’art de tromper les hommes »<br /> <br /> <br /> D’Alembert<br /> <br /> <br /> « Napoléon s’écrie qu’en politique, il ne faut jamais reculer, ne jamais revenir sur ses pas, se bien garder de convenir d’une erreur. Cela<br /> déconsidère. Lorsqu’on s’est trompé, il faut persévérer, cela donne raison. »<br /> <br /> <br /> Mirabeau<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre

Présentation

  • : R-sistons à la désinformation
  • : Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.
  • Contact

Profil

  • Eva R-sistons
  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.
  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.

Recherche

Archives

Pages