Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.
Boycottée par tous les médias de masse parce qu’elle est la seule à poser la vraie question et la seule à apporter la vraie solution, l’UPR ne se développe que par des réseaux entre citoyens qui ont compris que c’est l’essentiel qui désormais est en jeu : la survie de la France et de la République.
http://www.upr.fr/aider/actions
.
Qui est François Asselineau ?
.
.
Les congressistes ont pu écouter successivement :
Les deux intervenants ont présenté rapidement leurs mouvements respectifs et les problèmes auxquels ils ont à faire face en Finlande et en Grèce. Les participants au Congrès ont pu constater que les analyses et des propositions de ces deux mouvements sont parfaitement convergentes avec celles de l’UPR et que les problèmes auxquels ils ont à faire face sont également très semblables aux nôtres :
Ce dépôt de plainte est relatif à l’agression dont ont été victimes plusieurs militants de l’UPR – et plus spécialement Stevann Labbé – qui distribuaient paisiblement des tracts contre le Traité transatlantique et pour la sortie de l’UE, à l’occasion de la Fête du travail Place de la Bastille.
(et silence scandaleux des meRdias !)
http://www.upr.fr/actualite/france/depot-plainte-suite-lagression-violente-perpetree-groupe-antifas-1er-mai-contre-militants-upr-paris
.
.
MAIS DE QUOI ONT-ILS DONC SI PEUR ?
POURQUOI L’UPR EST-ELLE LE PARTI POLITIQUE LE PLUS CENSURÉ DE FRANCE ?
FAITES DÉCOUVRIR AU PLUS GRAND NOMBRE POSSIBLE DE CITOYENS LES RÉPONSES À CES 2 QUESTIONS,
GRÂCE À UNE VIDÉO DE 27 MINUTES CONÇUE PAR JEAN-BERNARD SIMIAN ET L’UPR VAR
La censure qui frappe l’UPR dans les médias de grande diffusion atteint un degré rarement vu dans la société française. François-Xavier Grison et Martin des Brest passent des dizaines d’appels téléphoniques par jour et se heurtent, toujours et partout, à la même loi du silence et aux mêmes faux-fuyants hypocrites.
Tel journaliste ne répond jamais aux messages laissés sur son répondeur ; tel rédacteur en chef nous annonce que les programmes sont « malheureusement surbookés, on vous invitera en juin… » ; tel autre feint de n’avoir jamais entendu parler de l’UPR alors que nous avons les preuves que plusieurs journalistes de sa rédaction ouvrent systématiquement tous nos communiqués de presse ; un quatrième fait semblant de ne pas voir la différence entre l’UPR d’un côté, le Parti du plaisir ou celui de la choucroute garnie de l’autre.
Les médias français de grande diffusion font ainsi comme si les analyses de l’UPR, le programme de l’UPR, la spécificité de l’UPR, les 4870 adhérents de l’UPR, et les dizaines de milliers de sympathisants de l’UPR, n’existaient pas.
Cette censure devient tellement flagrante et indécente que j’ai appelé personnellement, aujourd’hui même, le secrétariat de M. Olivier Schrameck, président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA), pour hausser le ton.
J’ai signalé que, malgré nos demandes et nos appels téléphoniques répétés, nous n’avons toujours pas de réponse à notre lettre-dossier du 24 avril.
J’ai rappelé que toute lettre mérite réponse, surtout lorsqu’elle émane d’un parti politique qui compte désormais 2 fois plus d’adhérents que le NPA, qui est l’un des rares partis à présenter des listes dans les 8 circonscriptions interrégionales, et qui est assurément le seul et unique parti à proposer de sortir de la prétendue « construction européenne ».
J’ai insisté sur la nécessité de faire respecter la loi et la Constitution. J’ai rappelé que les médias audiovisuels publics étaient financés par les contribuables, et notamment par nos dizaines de milliers de sympathisants.
J’ai enfin souligné que la dégradation de la situation politique et économique est telle que, si l’on ne laisse pas l’UPR s’exprimer, si l’on continue de cacher l’existence même de notre mouvement à la grande majorité des Français, si l’on censure la solution de sortie de crise pacifique et sereine que nous proposons, alors c’est inéluctablement la paix civile qui finira par voler en éclats dans les années qui viennent.
J’ai donc redemandé de la façon la plus solennelle une audience en urgence à M. Schrameck, en compagnie d’autres têtes de liste de l’UPR, et une intervention immédiate du CSA pour obliger les médias de grande diffusion à se plier enfin à la loi et à la démocratie.
Dans cette attente, nous ne restons pas les bras croisés. Nous venons de mettre en ligne sur notre site une vidéo remarquable, conçue par l’un de nos adhérents du Var – Jean-Bernard Simian -, qui explique en 27 minutes pourquoi l’UPR est devenue le parti politique le plus censuré de France.
Cette vidéo est à diffuser au plus grand nombre : j’invite tous nos adhérents, sympathisants, et tout Français épris de justice et de démocratie, à la visionner et à la diffuser par tous les moyens possibles, tous les forums en ligne, tous les médias alternatifs envisageables.
François ASSELINEAU
.
.