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Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.

Alerte ! Ne faisons pas confiance à David Pujadas, "roi des laquais"

 

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Pujadas, sayanim roi des laquais

Par eva R-sistons

 

En écrivant cet article, je regarde la télévision, je zappe. Me voici sur "Place aux idées" de P. Poivre D'Arvor - spécial Europe. Débat ? Idées ? Pas du tout ! A chaque instant, même lorsqu'il s'agit de juguler la crise, ou l'austérité pour les peuples, un seul slogan, avec l'Invité Jean-Claude Trichet : Plus d'Europe, aller plus vite, aller plus loin ! Et on appelle ça de l'information... il s'agit en fait de propagande pour l'horreur européenne § fatale aux peuples ! C'est tout simplement scandaleux, c'est du bourrage de crâne pour que finalement la situation en Grèce (profitable aux banksters) soit celle de tous les pays européens, bref c'est du conditionnement pour nous préparer à accepter la dictature du Nouvel Ordre Mondial !

 

§ :

L'horreur européenne, colère d'eva - R-sistons vidéo 12  
13:30

 

Le sayanim Pujadas n'est pas un journaliste au sens d'informateur neutre, impartial, honnête, mais un valet des Lobbies (propagande éhontée pour le gaz de schiste, par ex), de l'Oligarchie militaro-financière en faisant l'apologie de la Droite, du moins-disant social, de la flexibilité, de la "nécessaire" austérité, de l'Europe de la "paix", des guerres pour la "démocratie", du "rêve" américain, de la protection des citoyens juifs, ou même des Tibétains pour le compte de la CIA, etc, et en diabolisant l'Islam, Bachar-el-Assad, l'Iran, la Russie de Poutine, la Chine, Cuba, Chavez, et j'en passe. Et surtout, ce pseudo journaliste, clairement très sioniste, est pour moi au service des intérêts israéliens. Il fait donc la promotion des hommes choisis par le CRIF pour diriger la France : En particulier Copé (interviewé en pleine compétition politique contre François Fillon) afin de le mettre en avant, de "booster" sa candidature. A l'inverse, l'ancien Premier Ministre est invité ce mardi soir au Journal du 20 h pour... être ridiculisé, car le travail de Pujadas, sur une Chaîne publique et avec l'argent des contribuables, consiste à promouvoir la Droite contre la Gauche, les guerres impérialistes contre la paix, et dans ce cas, les candidats agréés par le CRIF, c'est-à-dire des Sayanims (comme lui) plutôt que des Français bien de chez nous, comme Royal, Aubry, Duflot ou Fillon !

 

C'est un détournement de la télévision à des fins de pure propagande servant en définitive les intérêts d'israël.

 

Au 20 h de ce mardi, Pujadas a tenté de décrédibiliser Fillon, de le ridiculiser, de le faire passer pour une girouette, ou un indécis ne sachant pas s'il doit se présenter ou pas lors de l'élection du dirigeant de l'UMP. Ce n'est pas du journalisme, c'est de la vomissure sur notre dos, au détriment de la France, et avec l'argent des contribuables ! Cet homme n'a rien à faire sur nos écrans, il est l'ennemi de la Vérité, de l'Information, des intérêts de notre pays et des Français puisqu'il est juste là pour promouvoir les intérêts de l'Oligarchie, de la Droite la plus atlantiste et sioniste, du libéralisme militaro-financier, de l'Europe des banksters, et d'une façon générale, des intérêts de Tel-Aviv (Je le répète, DERNIER exemple, mardi 19.12 en tentant de déstabiliser Fillon - donc au profit du candidat du CRIF, J.F. Copé, qui est au service d'israël comme DSK, Valls, Fabius, Delanoë-Hidalgo, ou même Hollande menant la guerre CONTRE la Syrie avec des Salafistes terroristes pour ensuite "offrir" le pays aux adeptes du Talmud !).

 

Alerte ! Sayanim aux commandes de la désinformation

 

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Et c'est aussi le même Pujadas qui a consacré toute une émission Des Paroles et des Actes à Manuel Valls pour lui permettre de se justifier, de se mettre en valeur, et de préparer l'opinion à l'accepter, lui foncièrement réactionnaire et ultra-autoritaire, à représenter la France de gauche à la prochaine présidentielle et une fois élu, à tuer définitivement au PS tout ce qui reste de gauche, de social, de progressiste.         

 

POLITIQUE – Il est, et de loin, le plus populaire des membres du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Pour la troisième émission de la saison, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, était l'invité de "Des paroles et des actes", jeudi 6 décembre sur France 2.

Apprécié aussi bien par les sympathisants de gauche (72% d'opinions positives selon le dernier baromètre Ifop) que par une large majorité des sympathisants de l'UMP (64%), Manuel Valls voit son nom régulièrement cité pour remplacer, en cas de besoin, Jean-Marc Ayrault à la tête du gouvernement.

http://www.francetvinfo.fr/manuel-valls-est-l-invite-de-des-paroles-et-des-actes-sur-france-2_181723.html

 

Regardez comment le sayanim Pujadas présente le sayanim Valls: Comme "le plus populaire et le plus apprécié" (Rappel: Primaires socialistes, c'est lui qui a eu le moins de voix !), avec comme le souligne Ségolène Royal, "des sondages bidons", sur mesure pour conditionner l'opinion à accepter les hommes choisis par le CRIF, et en l'annonçant déjà comme possible "futur remplaçant d'Ayrault" ! Il est vrai que les rusés et habiles agents d'israël se sont arrangés pour rapprocher Valls du premier cercle du pouvoir, via l'épouse de cet Espagnol (opportunément naturalisé Français) devenue l'amie personnelle de la petite copine de Hollande, Valérie Trierweiler.

 

Pujadas reçoit la Laisse d'or du journaliste le plus servile

Lire l'article ici : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article754

ou voir plus bas

 

Ce n'est plus du journalisme, c'est de la propagande, c'est de la prostitution, et c'est une insulte à la profession comme une menace pour nos intérêts.

 

Nous ne pouvons pas continuer à laisser des sayanims nous manipuler et nous dire ce que nous devons penser, ou choisir !

 

Eva R-sistons

 


 

La Fabrique de l\'opinion publique. La politique économique des médias américains - Edward-S Herman, Noam Chomsky..

 

Communiqué

David Pujadas reçoit sa laisse d’or

jeudi 15 juillet 2010, par Comité Valmy


 

Le 30 juin 2010 vers 21 h 30, alors que le présentateur du journal télévisé de France 2 David Pujadas quittait les bureaux de France Télévisions, une délégation l’attend sur le trottoir pour lui remettre le trophée le plus convoité du Parti de la presse et de l’argent (PPA) : la Laisse d’or.


L’objet, composé d’un collier en métal robuste et d’une lanière en cuir véritable, avait été acheté le jour même dans une quincaillerie parisienne et enduit d’une fine mais alléchante couche de peinture dorée. Une boîte de cirage, une brosse et un plumeau multicolore doté, selon son fabricant, du pouvoir d’« attirer la poussière » complétaient la panoplie.

En décernant ce kit au présentateur du « 20 heures » de France 2, les organisateurs entendaient récompenser le « journaliste le plus servile », comme ils l’ont expliqué au Plan B, qui passait par là. Selon eux, Pujadas mérite la Laisse d’or pour son amour des euros (12 000 euros de salaire mensuel), sa haine des syndicalistes [1] et son dévouement pour les puissants, réaffirmé récemment dans le film culte de Denis Jeambar, Huit journalistes en colère (Arte, 9.2.10), qui le montrait fustigeant la surmédiatisation des humbles : « Le journalisme des bons sentiments, c’est aussi une bien-pensance. C’est l’idée que, par définition, le faible a toujours raison contre le fort, le salarié contre l’entreprise, l’administré contre l’État, le pays pauvre contre le pays riche, la liberté individuelle contre la morale collective. En fait, c’est une sorte de dérive mal digérée de la défense de la veuve et de l’orphelin. »


La cérémonie fut brève mais solennelle. Au moment où le journaliste « en colère »s’apprête à enfourcher son scooter, le comité des fêtes surgit d’un arrêt de bus pour l’acclamer, le couvrir de confettis et lui enrouler sa laisse autour du cou (qu’il a fort bas). Le récipiendaire ne cache pas son émotion, laquelle redouble lorsque ses hôtes entreprennent de dorer intégralement son scooter en le vaporisant de peinture aérosol. « Vive le laquais du Siècle ! Vive le roi des laquais ! », exulte la foule en liesse, cependant que la monture du présentateur se métamorphose en carrosse royal (voir photo).


Sans doute intimidé par cette profusion d’hommages, et soucieux manifestement d’y convier les vigiles, David Pujadas prend alors ses jambes à son cou pour s’engouffrer dans l’immeuble de France Télévisions, où le sas de sécurité le retient une bonne trentaine de secondes, le temps pour l’assistance de se disperser dans la bonne humeur. On le verra ensuite donner l’ordre aux vigiles de recouvrir la selle plaquée or de son carrosse d’une bâche en plastique. Après quoi il grimpera dessus et quittera fièrement les lieux dans une explosion de dorures et de vrombissements.


David Pujadas n’a pas souhaité donner plus de retentissement à son embouffonnage. Mais que le public se rassure : les images de la scène figureront dans le prochain film de Pierre Carles…


LE PLAN B, samedi 3 juillet 2010

Notes

[1] Exprimée notamment lors de son interview en direct de Xavier Mathieu, le porte-parole CGT des grévistes de l’usine Continental de Clairoix, le 21 avril 2009. Lire à ce propos « Des journaux télévisés face aux “violences” des salariés » sur le site d’Acrimed, http://www.acrimed.org/article3132.html.

 

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Lundi 17 décembre 2012

Les peuples vaincront les impérialisme et l'oppressionLa dangerosité de l’État d’Israël apparaît comme une évidence. Les exactions commises soit directement par lui, soit par des alliés ou des mercenaires nous le rappellent quotidiennement. La presse du régime, dans une vaste entreprise de diversion, ne cesse de mettre en avant le programme nucléaire iranien, sans dire que Téhéran a toujours manifesté son intention de ne pas détenir l’arme atomique… mais sans dire non plus que l’État sioniste détient, lui, quelque quatre-vingts têtes nucléaires (rapport 2009 du SIPRI) et que sa capacité de production de matières fissiles ne cesse d’être développée.

 

En l’état actuel des connaissances militaires, on estime à 2.000 km la portée des missiles (classiques) que détient la République islamique, alors que celle des missiles d’Israël est estimée à 4.500 km. Toute l’Europe (excepté l’Islande), l’Afrique jusqu’à l’Angola et le Mozambique, et une grande partie de la Russie, de la Chine et des pays de l’Extrême-Orient se trouvent ainsi directement à portée des missiles de Tsahal. Paris, Londres, Rome, Berlin, Moscou, Delhi et même Bangkok pourraient ainsi être potentiellement détruits. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle de nombreux États (et pas forcément ceux dont la presse occidentale fait ses choux gras) entament des recherches sur l’atome. Avoir l’arme atomique ne signifie pas bien évidemment l’utiliser, mais donne par rapport à celui qui en est privé un indéniable instrument de chantage. Pour le moment, seuls le continent américain et l’Australie semblent être hors de portée des missiles atomiques. Mais on peut légitimement se demander jusqu’à quand les États-Unis vont tolérer que leur allié sioniste, connu de surcroît comme étant très capricieux vis-à-vis de Washington, accroisse encore et encore la puissance et le rayon d’action de ses armes nucléaires. Inutile en revanche d’atteindre une quelconque réaction de la part des bourgeoisies européennes : elles sont bien trop lâches pour le faire.

 

Les liens qui unissent les États-Unis à l’État d’Israël sont étroits. Il est vrai que la présence dans le monde bancaire et la finance d’un grand nombre de juifs très puissants assure à Israël de nombreux avantages, bien que la haute finance n’ait traditionnellement pas de patrie.

 

Israël est un pays trop petit pour être économiquement viable. Il doit donc étendre son territoire au détriment des autres, d’où son impérialisme particulièrement virulent. Il a besoin, en outre, d’un continuel apport extérieur. Des problèmes ne tarderaient pas à surgir par exemple si les États-Unis étaient contraints, du fait de la crise, de réduire le montant des aides.

 

Israël n’est pas vraiment le cœur du système capitaliste. C’est un laboratoire où on expérimente des solutions politiques et militaires extrêmes, où on fait le sale travail que les États-Unis et les autres puissances occidentales préfèrent déléguer. L’État hébreu a aussi le « devoir » d’expérimenter de nouvelles armes sur le dos des Palestiniens ou des Libanais, sans que d’ailleurs l’indignation et le discrédit ne s’abattent sur les fabricants de mort. Les États-Unis, mais aussi la France, la Grande-Bretagne et l’Italie ne manquent décidément pas d’air.   

 

Dans le passé, Israël avait pour mission d’empêcher l’unification des pays arabes qui pouvait se réaliser autour de l’Égypte de Nasser et de rendre impossible la consolidation des régimes laïcs et nationalistes, favorisant concomitamment la montée des courants confessionnels et portant à leur paroxysme les conflits religieux. L’État juif remplaça opportunément les puissances colonialistes anglaise et française sur le déclin.

 

Ces « fonctions » sont très importantes pour la bourgeoisie mondialiste,  mais ne suffisent pas à faire d’Israël le cœur du capitalisme. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les plus importantes places financières se trouvent à Wall Street et à la City et pas à Tel-Aviv.

 

L’adversaire numéro un du mouvement ouvrier reste l’impérialisme étasunien, parce qu’il est depuis des décennies en mesure d’intervenir militairement et quasiment n’importe où (mais pour combien de temps encore ?) pour mâter tout mouvement révolutionnaire qui ne courberait pas l’échine devant lui. Cette tâche contre-révolutionnaire par excellence était auparavant accomplie au temps de Marx par la Russie tsariste, au temps de Lénine par l’Angleterre et durant les soixante dernières années par les États-Unis.

 

L’impérialisme est un phénomène commun à tous les pays capitalistes qui ont atteint un certain niveau de « maturité financière », et concerne principalement ceux qui réussissent à maintenir une façade démocratique, en premier lieu les États-Unis. C’est d’ailleurs en vertu des valeurs démocratiques que l’impérialisme, étatsunien ou occidental, justifie ses interventions à travers le monde. Nos efforts doivent converger dans la lutte contre ce monstre ; elle ne pourra être réalisée qu’en mobilisant les masses et en s’appuyant sur elles.

 

Cela ne signifie pas qu’on doive sous-estimer l’impérialisme israélien. Et c’est en mettant d’ailleurs en évidence la nature impérialiste de l’État d’Israël et en mettant à mal ses mythes fondateurs qui consistent à substituer au Dieu d’Israël ce même État qu’on démasquera le sionisme. Quand Moshe Dayan écrit le 10 août 1967 dans le Jerusalem Post : « si l’on possède la Bible, si on se considère comme le peuple de la Bible, on devrait également posséder les terres bibliques, celles des Juges et des Patriarches, de Jérusalem, d’Hébron, de Jéricho et d’autres lieux encore », il estime que son pays n’existe que comme l’accomplissement d’une promesse faite par Dieu Lui-même. Il serait donc logiquement ridicule de demander des comptes à Israël sur sa légitimité. C’est là le cœur de la théorie sioniste.

 

Là où l’impérialisme étasunien met en avant la déesse démocratie pour asservir, opprimer et anéantir les peuples, l’État hébreu brandit le drapeau du Dieu d’Israël pour voler les terres palestiniennes, pratiquer une politique inique de colonisation et assassiner en toute impunité. Différents dans leur essence, l’impérialisme et le sionisme sont pourtant égaux dans l’ignominie.  Les peuples du monde n’ont besoin ni de l’un, ni de l’autre. L’impérialisme et le sionisme n’ont aucune raison d’être.

 

Capitaine Martin

 

 

 

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