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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 09:28

Neda, le martyrologue iranien
ou le crime de Moussavi

Les professionnels du « choquage » à géométrie variable sont unanimes pour lancer des cris d’orfraie. Tous les mamamouchis de la bien-pensance qui n’osaient dire un mot pendant l’offensive israélienne à Gaza, ce crime contre l’humanité qui terrassait par jour plus de 100 gazouis, s’offusquent aujourd’hui, marchent, appellent à manifester contre la « répression » iranienne. Même Barack Obama demande que cesse cette répression. Pourtant, on ne l’a pas entendu sur Gaza. C’est vrai, il était encore candidat. « Nous appelons le gouvernement iranien à mettre fin à tous les actes de violence et d’injustice contre sa propre population » dit-il fièrement.

Les vertus démocratiques dont se pare Mir Hossein Moussavi, qui, rappelons-le, fut premier-ministre iranien, se passe de commentaire. Connaissant le régime qu’il a servi depuis belle lurette, l’homme se drape subitement d’une virginité absolue, aidé dans celà par tous les détracteurs de Mahmoud Ahmadinajad. Il poursuit indubitablement, la fracture de la société iranienne, entre ses partisans issus de la bourgeoisie, ces riches commerçants de la capitale, et le reste de la société, faisant croire qu’il a des millions de supporters. Or, samedi dernier à Téhéran, ils n’ont pas dépassé les 3000 manifestants mais, sans vergogne, la presse occidentale continue de nous désinformer.

Twitter s’embrase. Le pseudo Barack Obama perse aka Mir Hossein Moussavi communique sur Facebook, insistant sur le fait que, il ira jusqu’au bout de sa logique guerrière, faisant semblant hypocritement d’appeler ses partisans à la modération alors qu’en filigrane il manipule honteusement les foules. Comment peut-on expliquer que ces soi-disant démocrates avides de réformes brûlent-ils tout sur leur passage ? Evidemment sur ces faits, la presse occidentale garde un silence complice. Les manifestations toujours violentes de ces gens se résument à casser, cramer, crier à tue-tête en brandissant des slogans en anglais, puisqu’ils ne s’adressent pas aux iraniens mais aux Anglais et aux Américains.

Prêts à brader leur pays pour un plat de lentilles, Moussavi et ses partisans multiplient les bévues. Demain, sans aucune surprise, il appellera sans doute ses amis occidentaux à intervenir. C’est ainsi que cet apprenti sorcier a déjà envoyé à la mort, un peu plus de 17 iraniens. C’est beaucoup et peu à la fois mais, il est grand temps que les autorités iraniennes mettent hors d’état de nuire cet homme qui n’aime pas son pays. Voir ces monstres brandir aujourd’hui la mort de Neda, cette jeune iranienne tuée par balle, personne ne sait surtout d’où vient cette balle, des partisans de Mahmoud Ahmadinejad ou de ceux de Moussavi que déjà, la presse s’emballe, attribuant de facto, et sans la moindre enquête ni preuve, en désignant le coupable, le grand méchant loup que vous connaissez.

Là, aussi, comme par enchantement, entre le voyeurisme et la frayeur, les mensonges et les indignations, bizarrement, les amis de Moussavi saluent « ces iraniennes voilées » qui luttent pour leur patrie. Rien n’est inventé, simplement, une lecture « internétique » entre les réseaux sociaux Twitter, Facebook, Youtube, blogs et médias traditionnels depuis hier. Après 8 jours de mensonges éhontés, les psittacidés crient au scandale, affirmant désormais que, après avoir bien répétés leur propagandastaffel tels de bons élèves de Goebbels, les journalistes ne pourront plus faire leur travail sur place. Bonne nouvelle enfin, dans ce torrent invraisemblable d’ineptie où, on voit des personnes à qui l’ont accorde de l’hospitalité et qui se permettent, d’insulter leurs hôtes...Que diable !

En nous prenant pour des ânes avec une violence inouïe, certains médias qui veulent nous abêtir et nous crétiniser avec de faux-semblants insipides, ne seront certainement pas au bout de leur peine quand, enfin, tout le monde comprendra leur jeu. Ce n’est pas du journalisme, c’est finalement de la daube, du sarcasme, de la couardise puérile. C’est dans l’air du temps, plus personne ne réfléchit, Pierre reprend Paul qui reprend Jean ainsi de suite. Tel article, ou tel mensonge si vous préférez, repose sur les dires d’un tiers, qui deviennent des paroles d’Evangile pour peu qu’elles soient anti-Ahmadinejad. Soutenir le président iranien ? Non, mais, dénoncer le mensonge ambiant relève d’une salubrité des esprits pollués, chaque jour davantage. Ils ne doivent et ne peuvent faire de leurs pensées nauséabondes, un paradigme sociétal.

Dans ce concert de klaxon, la voiture sans frein de Moussavi qui lutte pour lui et sa petite caste de nantis se crashera bientôt. Lutter d’ailleurs pour soi-même et non pour son peuple comme on le constate de plus en plus, ne peut que conduire à sa propre fin, avant même que les forces de l’ordre ne s’occupent rapidement de ses forces du désordre. Et, bien sûr, la vieille technique épurée des adversaires de ceux qui essayent un tant soit peu de penser, recouper et chercher à comprendre, est de les traiter de fous. Belle façon de décrédibiliser les arguments des autres, en jouant les vierges effarouchées baptisées dans les fonts baptismaux d’une vertu mensongère.

En se fourvoyant dans une cause perdue d’avance, encouragé par ceux qui de loin cherchent par tous les moyens illégaux à déstabiliser l’Iran, Moussavi dans une ostentation ridicule, veut sans doute jouer le rôle de martyr de la cause iranienne mais, c’est peine perdue car, les réseaux sociaux ont fait de Neda, le martyrologue iranien. Il est plus que jamais disqualifié, après avoir déjà envoyé à la mort, 17 iraniens. Beau palmarès pour quelqu’un qui semble aimer son peuple. Balivernes. Il ne sera jamais Gandhi, Patrice Lumumba et autre Steve Biko. C’est un loser.

Allain-Jules

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/neda-le-martyrologue-iranien-ou-le-57931?debut_forums=400#forum2148124

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 07:50

                         



UMP, grand vainqueur (pour légitimer sa politique future) : 10,8 %.
10,8 %, vous appelez ça une victoire, vous ???






Autres schémas sur :
http://eldiablo.over-blog.org/article-32981457.html



                                           
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 01:50

Le château de Versailles en 1722

Le château de Versailles en 2009.
Avec le roitelet Sarkozy 1er,
les médias carpettes,

et une France avilie.
Par Eva R-sistons





Pauvre Sarkozy ! Il me fait de la peine, il est pathétique ! Si petit moralement, si complexé au fond, qu'il a besoin pour grandir à ses yeux, pour se rehausser, de monter une mise en scène avec "entrée triomphale" (sic) à Versailles même, tout seul au milieu des gardes, montrant au monde entier son appétit (ne les a-t-il pas tous, d'ailleurs ?) d'être perçu comme le monarque qu'il ne sera jamais ! Et dire que c'est ce "nabot" comme le qualifient certains, qui commence à placer ses pions de fils sur l'échiquier politique, pour instituer ensuite une dynastie ! Lui ! Alors que pour tant et tant de Français, et d'individus à l'étranger, il est insupportable, grotesque, pitoyable, vulgaire, mesquin, et si inique ! Je l'avais qualifié, dans le passé, de plus grand "casseur" de notre pays... de tout ce qui fait la France ! Et en même temps, ce sieur-là, à la mentalité tragi-comique de parvenu, se pique  de vouloir instaurer en France une monarchie "sarkozienne" ! Comme si on n'avait pas assez d'un Sarkozy ! Il nous en faudrait d'autres ? Mais tant de Français, aujourd'hui, ont honte de vivre dans un pays dirigé par un tel individu, aussi ridiculement minuscule ! 



Eh bien ce petit monsieur, tout petit-petit dans un pays qui cultive le souvenir des grands de Gaulle, Mitterrand ou Chirac, ce monsieur-là a monopolisé pour lui tout seul le palais de Versailles, une "fantaisie" de cinq cent mille euros s'il vous plaît, alors même que les malheureux smicards ne seront pas augmentés d'un centime, et que les collectivités territoriales seront littéralement dépouillées (d'autant qu'elles sont dirigées par l'Opposition, hé, hé !), eh bien ce lilliputien de Président a fait un discours incroyablement terne, petit, minuscule, sans envergure, n'apportant rien de nouveau, et promettant à la France de préserver son modèle social au moment même où il en détricote tous les aspects, les uns après les autres !



Mais va-t-on tolérer longtemps une telle mascarade, un tel show, une telle infâmie ? Une imposture à un tel coût, en temps de crise ?



Et les médias léchants parlent de victoire aux Européennes, de grand vainqueur, pour lui permettre de continuer à tuer la France, à faire le malheur des Français, en toute liberté ? Ca, une victoire ? Avec à peine plus de 10 % de voix ? Mais jusqu'où se moquera-t-on de nous ? Peuple de France, il est temps que tu retrouves ta fierté !



Et ces médias indignes, comment relatent-ils l'événement ? En se pâmant devant  ce Président si peu président, et tellement laid ! Tiens, Public Sénat, par exemple. Qui est chargé de commenter le pitoyable show versaillais ? Mais voyons, Nicolas Baverez, le plus ultra-libéral des économistes, et le libéral politologue Stéphane Rozès, pur produit de l'Establishment ! Et à LCP, Denis Janbaar, autre grand libéral devant l'Eternel ! Et vous voulez autre chose que de la désinformation, de la manipulation, de la propagande ? Mais nos médias sont en-dessous de tout ! Et avec de surcroît, pour présenter le show versaillais, des animateurs comme la jolie poupée de service, bien alignée sur la Pensée unique, toute de bleue vêtue, et comme celui qui se permet de toiser et de déconsidérer un homme de l'envergure d'un Mélenchon, quand par bonheur il l'invite enfin ! Bref, si on fait le total des invités et des journaleux, cela donne, au mieux, quatre ou cinq supporters de Sarkozy et du libéralisme, pour un socialeux ! Je dis socialeux, car lorsqu'on fait venir un traître comme Joffrin ou un pseudo socialiste comme Valls, toujours prêt à dénigrer ses pairs (c'est d'ailleurs pour cela qu'il a la côte auprès des médias sionisés, et aussi parce qu'il ne peut, comme le sinistre Con-Bandit, que "libéraliser" davantage ce qui ne l'est que trop, déjà), on ne peut s'attendre qu'à un pastiche de Gauche ! Quant à C dans l'Air, le débat pour commenter la politique de Sarkozy a toujours lieu entre libéraux supporters du Président. Stalinien ! Calvi s'offre même le luxe de qualifier Sarkozy de "superstar". C'est un journaliste, ça ???



On se demande d'ailleurs à quoi servent les journaleux d'aujourd'hui: Pas à informer, en tous cas ! Mais à s'évertuer à interrompre tout embryon de début de soupçon de critique à l'égard du pseudo monarque sarkozien, à s'évertuer à désamorcer tout ce qui de près ou de loin met le "roi" à nu !  Les seules critiques tolérées, aujourd'hui, sont sur la forme.  L'Elite dégénérée veille au grain, ou plus exactement à ses comptes-en-banques ! 



On en est là. Un faux monarque, une grenouille qui veut se faire aussi grosse qu'un boeuf, un parterre de journaleux obséquieux, léchants, et en rupture totale avec la déontologie de la profession, et une France perdant son âme.


C'est sans doute la page la plus triste de l'Histoire de notre pays qui est en train de s'écrire sous nos yeux. Des yeux de veaux ????

Eva R-sistons à l'horreur !


 
http://laplote.over-blog.fr
 
TAGS : Sarkozy, Versailles, France, dynastie, monarchie, de Gaulle, Chirac, Mitterrand, Européennes, LCP, Public Senat, Denis Janbaar, FR2, Nicolas Baverez, Stéphande Rozès, Melenchon, Joffrin, Cohn-Bendit, libéralisme, Gauche, smicards, collectivités territoriales, Yves Calvi, C dans l'Air...


 


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Sarkozy à Versailles, le bilan.  
Par Eva R-sistons à l'intolérable


Un  mot essentiel :  "La crise nous rend plus libre d'imaginer un autre avenir".

Pour Sarkozy, la crise est un atout ! (De même que la passivité de la Gauche).

Avez-vous lu mon spécial Conseil National de la Résistance (article précédent) ? C'est le fameux modèle social que désormais Sarkozy va, en dépit des discours, remettre en cause. Il a les mains libres, grâce à sa "victoire" (moins de 11 % aux Européennes), grâce à la crise (prétexte), grâce à l'absence d'opposition, détricotée elle aussi (Celle des Verts version Cohn-Bendit n'en sera pas une. Comme avec SES Grunen allemands, désormais, aussi alignés au Gouvernement Merckel que les Syndicats français au Medef). 

 

Donc, le programme du CNR, ce sera fini. Adieu le modèle social, en dépit des discours. Le rôle de l'Etat sera inversement proportionnel à celui de "l'hyper-Président". On taillera dans les dépenses publiques, le nombre de fonctionnaires, les collectivités territoriales. Sans état d'âme, sans opposition, et sans syndicat (les manifestations ne seront plus suivies, et pour cause).

En clair, Sarkozy se servira de la crise pour faire accepter ses réformes "modernes", tuant la classe moyenne, l'Etat, les services publics, la Retraite et la Santé telles que nous les connaissons... et le Droit du Travail. Tout cela au bénéfice de la République des copains-coquins ! 

Et à propos de République, Sarkozy a évoqué la liberté, l'égalité, mais pas la fraternité: A la place, ce sera ... la sécurité ! Au prix du flicage de tous les citoyens, de la fin de nos libertés, et... de la démocratie, bien sûr ! Dès Versailles, d'ailleurs, la démocratie a été piétinée : Le Monarque a parlé, il n'a pas participé au débat, n'a même pas eu la politesse de l'écouter. Bref, nous avons assisté à un show pour flatter l'égo démesuré du Président. A un prix scandaleux en période de crise ! Honteux...

La France n'en sort pas grandie, bien au contraire.

Et les Français seront les dindons de la farce. Des veaux ????

Eva R-sistons à cet hyper Président qui tue la démocratie, les libertés, les opposants, le modèle social français, l'indépendance nationale, l'Etat, et la France.

NB : La question de la burqua arrive à propos pour faire passer au second rang la casse sociale, les mécontentements (et Sarkozy espère se concilier les faveurs de l'électorat féminin, flatté), et préparer l'opinion à la guerre contre l'ennemi iranien fabriqué de toutes pièces. Illustration: FR2 Télé-Matin, on retient du Congrès engageant notre (non-) avenir, la question du port du voile !!!! Putains de médias sionisés vendus aux ennemis de l'humanité ! (Si, intéressante remarque du journaliste: "On entend tous les 3 ans parler du voile, surtout en période... électorale ! Le débat est otage des enjeux politiques". Voilà un journaliste qui va être viré....!)

http://r-sistons.over-blog.com/article-32986765.html




Sarkozy à Versailles:
L’art du trompe-l’œil et du vrai-faux changement 
Le discours de Guaino avant les actes de Fillon
 



Le président de la République n’ignore pas la gravité de la crise économique, qui risque de mettre à mal sa crédibilité politique. C’est pourquoi il multiplie les discours exceptionnels, à Genève (voir A Genève, Sarkozy dénonce «le capitalisme financier», Libération, 16 juin) ou à Versailles, ce 22 juin, où il prétend tirer les conséquences de la crise, sans changer de politique économique et sociale.

 

Ce discours est habile. C’est celui de son conseiller spécial, Henri Guaino, par lequel il refuse la politique de la rigueur, chère à son premier ministre, qui ne dit mot, mais n’en pense pas moins car il sera maintenu à la tête du gouvernement pour continuer les réformes libérales annoncées pendant la campagne présidentielle (voir l’article de Philippe Cohen, ce 22 juin, sur le site de Marianne Sarkozy retrouve Guaino et oublie Fillon).

 

Le quotidien Le Monde se laisse prendre au jeu du président avec ce titre, ce 22 juin : Sarkozy veut mettre la France "en mouvement" grâce à l'emprunt.

 

Comme il le dit, "L'Europe doit changer" car "elle ne pourra plus fonctionner après la crise comme avant". Dans cette intervention devant le Congrès, c’est la seule allusion à l’Europe, comme s’il ne savait pas le poids de l’Union européenne sur nos choix nationaux (voir Parlement européen : c'est là que l'on rêve des Etats-Unis d'Europe - 21 juin 2009).

 

En fait, le président cherche à enfumer l’atmosphère pour mieux faire accepter sa politique libérale. Jusqu’à présent, cela lui a bien réussi dans ses relations avec les organisations syndicales (voir Sommet social : le président Sarkozy est peu crédible face à la crise - 20 février 2009).

 

Les priorités de la seconde partie de son quinquennat seront la réforme des collectivités locales, le rendez-vous sur les retraites de 2010 et la "qualité de la dépense publique". Il n’est pas sûr qu’il parviendra à ses fins aussi facilement que pendant ces deux années passées.

 

Voici le commentaire critique que m’a transmis Jacky Eouzan (MRC 22) :

 

En venant à Versailles devant le congrès, Nicolas SARKOZY voulait plus qu'un symbole, il voulait un plébiscite. Il l'a eu quant à la forme. Quant au fond, outre la construction de prisons tout un symbole, il nous a annoncé un emprunt pour renflouer les caisses, qui sera une nouvelle fois remboursé par les classes moyennes puisque les privilégiés seront protégés par le bouclier fiscal.

Il veut nous faire croire que cet emprunt va servir à financer des emplois industriels, alors qu'il aille le dire à Gandrange dont les ouvriers savent ce que les promesses de Nicolas 1er veulent dire, qu'il aille le dire à Bruxelles dont ont sait que toutes les mesures de protection nationale sont exclues en fonction des traités existants et le seront d'avantage encore après l'application du traité de Lisbonne.

Mais il y a pire, il va s'attaquer aux retraites par répartition et au régime de la sécurité sociale. C'est à dire aux acquis du Conseil National de la Résistance. A qui fera-t-il  croire que ce que le  Conseil National de la résistance a réussi à construire, alors que la France était à genoux après la seconde guerre mondiale, que le pays était à reconstruire, et qu'il allait supporter le prix d'une première guerre coloniale (Indochine), nos aînés ont réussi a construire un système de solidarité nationale quasi unique au monde, qui a supporté une seconde guerre coloniale ainsi que la décolonisation, et qu'aujourd'hui encore, alors que nous sommes la cinquième puissance économique du monde, nous serions incapables de maintenir. 

En réalité, ce Gouvernement  a trouvé judicieux d'endetter le pays pour mieux creuser encore et plus les déficits publics. Cette réunion de Versailles qui n'apporte rien à personne entre dans cette ligne de déficit puisqu'elle coûte entre 400.000 et 500.000 euros. Elle n'aura servi qu'à flatter le narcissisme de Nicolas 1er tout en justifiant les sacrifices à venir.


http://mrc53.over-blog.com/article-32980543.html

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 01:32



Sur le blog d'Anne Wolff  http://les-etats-d-anne.over-blog.com/article-32822604.html

jeudi 6 décembre 2007

Et non, ce n'est pas de l'actualité, rien que cette éternelle répétition du même qui semble si difficile à comprendre que chaque fois, elle fait sensation et provoque l'étonnement. Comment la  CIA manipule les situations politiques de nations souveraines. Comment il y a des casseurs infiltrés dans les manifestations. Et c'est le Canard Enchaîné qui en fait un scoop ! Hombre! Que faut-il donc pour vous ouvrir les yeux. Voici la fin du commentaire posté par Citoyen sur un autre article de Laurence Kadafides le trente juillet 2008. Allez le lire dans sa totalité, ce sont exactement les mêmes commentaires qui se font échos aujourd'hui. Rien n'a changé. Si que cela change et vite : la dictature, elle s'installe à grand pas et se dote des moyens de réprimer les insoumis. et le processus s'accélère sans cesse. Il faut sa réveiller ! Balayer les doubles discours, les mensonges, les dernières nouvelles de l'agonie du système en 10 versions. Là, c'est l'actualité, vomme une grande fuite en avant qui est en train de tuer l'information !!!!



L’histoire du Bilderberg racontée à Y.Calvi et J.F.Khan - Le blog de Anne Wolff

La question se pose seulement, combien d’entre nous sont vraiment prêts à ouvrir les yeux et voir le dessin dans sa totalité, car inévitablement cela implique une remise en question de nous-mêmes, de nos certitudes et de notre conception du monde tout court qui aura pour risque de s’écrouler.

Dominer sa peur, croire assez en soi pour sortir du système, reprendre son pouvoir personnel, assumer ses responsabilités et agir en conséquence n’est certainement pas une chose aisée, mais je pense que le jeu en vaut la chandelle.





 Laurence Kalafatides

 





L’instrumentalisation des médias dans les coups tordus de la CIA est une habitude qui remonte à la création de l’Agence elle même. Sans surprise, l’opération de déstabilisation du gouvernement du Venezuela à l’occasion du référendum sur la constitution utilise cette vieille méthode. Il n’y aurait donc, rien de neuf à l’ombre de la barbouzerie ? Si, une chose, tout de même. Pour la première fois nous avons assisté à une opération de manipulation de l’opinion publique, dûment munis du mode d’emploi délivré par ...la CIA.

 


Le 26 novembre, le gouvernement vénézuélien rendit public un document que ses services de renseignement s’étaient procuré. Il s’agissait d’un mémorandum expédié le 20 Novembre par un membre de l’Ambassade des Etats-Unis à Caracas au Directeur de la CIA à Washington. Dans ce rapport, l’agent, Michael Middleton Steere, faisait le point sur l’OPERATION TENAZA (tenaille), opération clandestine ayant pour objectif de faire échouer le référendum constitutionnel du 2 Décembre et de favoriser un coup d’Etat.

Dès le 28 novembre, l’information tournait en boucle sur internet en espagnol, en anglais et en français. Toute personne un tant soit peu intéressée par l’actualité du Venezuela ne pouvait passer à côté de la nouvelle. Pour la presse “mainstream”, ce document n’exista tout simplement pas. Et pour cause, dans son analyse du mémorandum, la juriste américano-vénézuélienne Eva Golinger, révélait : “ la CIA a suscité une campagne publicitaire pour le NON, avec un budget de plus de 8 millions de $ pour les opérations psychologiques, le paiement des enquêteurs engagés par la CIA et la collaboration des agences et médias internationaux...”.

 


Cette mise à l’index aurait dû conduire la presse à revenir à des propos un peu plus mesurés, ne serait-ce que pour sauver la face et conserver le peu de crédibilité qui lui reste encore. Il n’en fut rien. Au contraire, la campagne de désinformation ne fit que s’amplifier.

Selon le mémo de la CIA, “Les meilleurs succès [ de l’opération tenaille] ont été obtenus dans le secteur de la propagande et des opérations psychologiques. Les apports des réseaux privés nationaux, de la Société interaméricaine de presse ( SIP) et des agences internationales ont été déterminants.”

 


La lecture de la presse française des derniers jours permet de mesurer à quel point cela est vrai. On n’étudiera pas ici les mensonges concernant la constitution soumise à référendum. Ils ont été fort bien analysés par ailleurs. On ne s’étendra pas non plus sur la roublardise de reporters sans frontières là encore fort bien décryptée.

L’étude porte sur l’analyse d’un échantillon de 60 dépêches et articles de journaux publiés entre le 2 novembre et le 3 décembre . Les dépêches proviennent des principales agences de presse : Reuters, Associated Press ( AP ) Agence France Presse ( AFP ) et Euronews. Les articles sont principalement tirés des quotidiens suivants : Le Monde, le Figaro, Libération, plus quelques uns piochés au hasard.

 


De l’indépendance des instituts de sondage et des médias

Dans son mémorandum du 20 novembre, Michael Middleton Steere faisait le point :“ les tendances des intentions de vote se maintiennent. Selon les diverses évaluations réalisées, y compris les nôtres le OUI a un avantage de 10 à 13 points (soit 57% pour le OUI et 44 % pour le NON) A cette date, la CIA estime que cette situation est irréversible... Il est important d’enraciner dans l’opinion l’idée de la victoire du NON et nous continuons à travailler dans ce sens avec les sondeurs que nous avons recruté.”

 


Les “sondeurs recrutés” firent bien leur travail. La presse aussi. Sur 35 articles étudiés les 30/11- et 1 et 2/12, certains donnèrent un "très léger avantage au non" ( 5 mentions ) d’autres prédirent que " le oui et le non sont à égalité" ( 3 mentions ) les autres pronostiquèrent un "résultat très serré" ( 15 mentions ). Malgré l’évaluation de la CIA, la victoire du oui ne fut jamais évoquée, en revanche dans 16 articles on put lire que "pour la première fois Hugo Chavez est face à la menace d’un revers électoral". De ce scrutin très serré découlait, toujours selon la presse, la "crainte d’un risque de violence" ( 9 mentions ), de même que la "crainte d’une fraude électorale" (5 fois).

Les manifestations des étudiants d’opposition étaient listées comme faisant partie des "actions programmées”. Comme prévu, la presse se fit le porte voix de la contestation. Dès le lancement de la campagne officielle pour le référendum, début novembre, les journaux lancèrent l’alerte : "Venezuela :la tension monte avant le référendum". Pas moins de 21 articles entre le 2 et le 30 novembre firent état de "manifestations d’étudiants opposés au régime, qui incarnent le mouvement de protestation". Une de ces manifestation ayant dégénéré en affrontement l’on dénombra entre 2, 4 ou 8 blessés selon l’auteur de l’article. En plus des étudiants, “ces manifestations regroupaient des opposants tels que : Action Démocratique, Commando National de la Résistance, Drapeau Rouge, Justice d’abord”. Faut-il s’en étonner ? Ces quatre associations étaient répertoriées dans le mémo de Michael Middleton Steere comme faisant partie du dispositif de la CIA pour conduire les opérations de déstabilisation.

De la même manière, la CIA prévoyait : “ d’augmenter la pression dans la rue dans les jours précédant le 2 Décembre”. Cela fut fait et la presse ne ménagea pas sa peine pour nous en informer. Les 30 novembre et le 1° décembre, 10 articles affirmaient qu’Hugo Chavez faisait face à un "mouvement de contestation sans précédent", au point "qu’une mer de partisans du NON a submergé une place du centre de la capitale". A partir du 1 décembre, la tension monta encore d’un cran et l’opposition estudiantine se vit renforcée par "les couches populaires, bastion du Chavisme ( 5 mentions les 1 et 2 /12 ).

Les USA pauvres victimes

 


Le 3 septembre 2006, un article du Guardian révélait qu’entre 2002 et 2006, les USA ont versé par l’intermédiaire de l’Agence US pour le Développement International ( USAID ) plus de 26 millions de $ à des organisations diverses présentes au Venezuela. Cet argent à servi entre autre à financer des programmes comme : “ campagne pour un leadership démocratique” ou “ analyse de la nouvelle constitution”... Mais aussi des “programmes éducatifs” et des “spots publicitaires sur les chaînes privées”... . En janvier 2007, Le Monde, déjà engagé dans la campagne anti-Chavez, bavardait sur les états d’âmes US : “ Le secrétaire d’Etat adjoint, John Negroponte [1] a dénoncé “le danger que représente Hugo Chavez pour les démocraties latino-américaines”.” Dans la foulée, le quotidien relevait qu’en “novembre 2006, Negroponte qui travaillait encore à la CIA, avait créé une cellule spéciale pour surveiller Cuba et le Venezuela”.

Sauf a avoir le cerveau esquinté par TF1, il est difficile de ne pas faire le lien entre les 26 millions de $ de l’USAID, la cellule de Negroponte et le plan tenailles. Mais la dénonciation par le président Chavez de l’opération Tenaza reçu un traitement médiatique particulièrement pervers.

 


Très en colère - on le serait à moins - le président du Venezuela affirma son intention de cesser d’approvisionner en pétrole les USA, ci ceux-ci poursuivaient leur opération de déstabilisation. Sur 13 dépêches et articles publiés le 1 décembre, 8 titrèrent “Chavez menace les Etats-Unis”. De plus, lorsque l’opération Tenaza fut mentionnée ( 6 fois ) ce fut pour mieux traiter Hugo Chavez de paranoïaque par le biais de formules aussi subtiles que : “ Hugo Chavez, tente de convaincre ses concitoyens que le pays est menacé” ou “ Le dirigeant vénézuélien accuse fréquemment les Etats-Unis d’être derrière des conspirations visant à le renverser, ce que Washington dément.”

Tout au long de la campagne, le leitmotiv de l’opération d’intoxication fut la phrase “ réforme constitutionnelle qui permet au chef de l’Etat de se présenter indéfiniment à la présidentielle”. Censée prouver qu’Hugo Chavez est un dictateur en puissance, cette formule à l’emporte pièce fut inscrite, parfois deux fois, dans chacun des 60 articles.

Propaganda awards

Incontestablement le premier prix du concours de propagande revient au correspondant de l’AFP : Philippe Zygel

Sur les 13 dépêches publiées en 4 jours ( 30/11 - 3/12 ) il qualifia par 12 fois Hugo Chavez d’“ancien officier putschiste”, puis mentionna 9 fois son “amitié avec Fidel Castro” et 4 fois son “ amitié avec le président iranien Ahmadinejad

La phrase : “ peine à convaincre même dans les quartiers pauvres, bastions du régime” fut répétée 5 fois. La “crainte de risque de violence” revint 6 fois et le “risque de fraude” 2 fois.

Quant à la phrase “ constitution qui lui permet de se présenter indéfiniment à la présidentielle et de censurer la presse encas de crise, tout en érigeant le socialisme en modèle économique ( ou : économie collectiviste ) il ne résista pas au plaisir de l’écrire dans chacune des 13 dépêches

Dans son mémo , Michael Middleton Steere notifiait : “nous travaillons à la critique de la Commission Electorale Nationale et à ses relations avec une série de tricheries de manière à créer dans l’opinion le sentiment de fraude, entre autre au moyen d’encre spéciale


La dépêche du 2 décembre (15h08) de Philippe Zygel dû faire rougir de plaisir la CIA. En effet, celle-ci fut entièrement consacrée à la “polémique sur l’encre utilisée lors du référendum”, polémique qui aurait “ alimenté la crainte de fraude”. Cependant, il se fit plus modéré dans la dépêche de 23h 29 : “ une polémique avait toutefois été lancé dans certains bureaux de vote où l’indélébilité de l’encre apposée sur le doigt des électeurs [...] a été mise en doute. Un soupçon rejeté par l’autorité électorale.” Aucune autre agence de presse ni aucun journal n’évoquèrent cette “polémique”

Nul ne sait comment vont évoluer les événements au Venezuela après le résultat du référendum. Mais une chose est certaine, durant toute la campagne du référendum sur la constitution, la presse française aura contribué au lynchage médiatique international du Président Hugo Chavez. Ce faisant, elle aura admirablement servie la CIA.

[1] JOHN NEGROPONTE Ambassadeur des Etats-Unis auprès des Nations-Unies Spécialité : couverture des escadrons de la mort au Honduras John Negroponte était dans les années 80 ambassadeur au Honduras et là, tout en appliquant les méthodes apprises au cours de ses années comme agent de la CIA au Vietnam, il a parrainé le terrorisme militaire le plus sauvage, couvrant la persécution et l’exécution de dizaines de milliers de personnes tant dans ce pays qu’au Nicaragua et au Salvador. Durant son séjour à Tegucigalpa, le personnel de l’ambassade nord-américaine s’est multiplié par dix et s’y est créée la « station » de la CIA la plus importante d’Amérique latine à cette époque.
Il a été désigné par Bush comme ambassadeur des États-Unis à l’ONU



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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 23:28



Twitter, Facebook, téléphones portables, les jeunes internautes.. utilisés abusivement par l'Occident contre l'Iran comme armes pour attaquer un Etat souverain, à des fins prédatrices, impérialistes.


Twitter
est un outil de
réseau social et de microblogage qui permet à l'utilisateur d'envoyer gratuitement des messages, appelés des tweets (gazouillis en français), de 140 caractères maximum par Internet, par messagerie instantanée ou par SMS.

Twitter permet de rester en contact avec ses amis, dire ce que l'on est en train de faire, où l'on est. Le service peut également être utilisé pour faire la veille, ou permettre aux entreprises de communiquer http://fr.wikipedia.org/wiki/Twitter

_________________________________________________________________________________


Utilisations abusives, par Eva R-sistons


Facebook, Internet, téléphones portables
, tout est utilisé avec la complicité de Washington, "qui intervient pour rétablir les réseaux" (LCP, ce lundi 22 juin), en interférent directement dans les affaires d'un pays pour le modeler, bien peu démocratiquement, dans le sens de ses intérêts, en utilisant la crédulité des Internautes, de préférence jeunes.  Londres, Washington, Tel-Aviv, et l'Europe couchée devant eux, rêvent de mettre en place un régime à leur botte, comme en Afghanistan ou dans le Caucase, servant leurs intérêts, plus précisément celui des multinationales, et non celui des autochtones: L'indépendance du régime iranien, sa fierté nationale faisant ombrage à Israël qui rêve de dominer toute la région, le fait, aussi, qu'il propose un autre modèle de société que celui de l'Occident, plus vertueux, non prédateur, tout cela est insupportable aux yeux d'un Occident ne tolérant aucun non-alignement, surtout s'il se double de la possession de ressources juteuses à piller, telles que le pétrole .

L'ingérence de l'Occident, justement dénoncée par l'Iran, est intolérable : Il ose parler au nom de la démocratie, alors qu'il la bafoue en intervenant directement dans les affaires d'un Etat souverain. D'ailleurs, son véritable objectif est de faire revenir au pouvoir le fils du Shah de sinistre mémoire pour le peuple iranien.  

Quant aux atteintes à la liberté de la presse, compte tenu du fait que l'Occident se sert des médias, d'Internet, des téléphones portables, pour destabiliser l'Iran, on peut comprendre qu'elle soit actuellement restreinte pour des raisons d'Etat. Et l'Occident est-il si bien placé pour donner des leçons de morale, alors qu'en France, par exemple, les médias sont complètement verrouillés, astreints à délivrer uniquement la "bonne parole" du Gouvernement, ne tolérant aucune critique à l'égard de celui-ci, même s'il porte quotidiennement atteinte aux intérêts des Français, et de l'indépendance de notre pays ?  

Il est navrant de constater que ce sont surtout les jeunes internautes qui soient utilisés dans un combat qui les dépasse, dans l'intérêt seulement d'Etats criminels, semant partout conflits, divisions, guerres, pandémies, crises, et préparant une guerre mondiale et même l'élimination d'une partie de l'humanité à des fins uniquement égoïstes ! Ces mêmes jeunes qui sont un peu partout manipulés, via des officines bien peu démocratiques, des ONG bien peu humanitaires, des évangélistes bien peu animés d'amour authentiquement chrétien, ou d'associations juives charitables très intéressées, comme en Ukraine au moment de la Révolution Orange...

Il est temps que ce scandale cesse. L'imposture doit être dénoncée : L'Occident, via ses médias peu scrupuleux et des officines à vocation double, se sert des jeunes, des Internautes, pour étendre son emprise dévastatrice sur le monde. En destabilisant des régions entières, particulièrement si leur sous-sol contient des richessses convoitées, et donc à voler, à piller.

Sur LCP-Public Sénat comme sur toutes les chaînes de désinformation, on dénonce que les journalistes soient réduits au silence, mais en France, ils le sont aussi. Philippe Val, récompensé pour son  alignement honteux sur la Pensée Unique, en est la dernière démonstration. Fait du Prince, il se sépare d'un journaliste qui a eu l'heur de lui déplaire, l'heur d'être indépendant.

Avant de s'en prendre à des Etats souverains, on ferait bien de nettoyer devant notre porte. Et celle-ci, dans notre pays, est très sale ! La démocratie, en France, est quotidiennement piétinée dans les Médias.

La vérité doit éclater.

Eva R-sistons à l'intolérable de médias pourris, gangrénés, au service d'intérêts occidentaux prédateurs et criminels. Et particulièrement hypocrites !

N.B. Complément d'enquête (FR2) , de Benoît Duquesne. Infâme, comme toujours ! Non content de désinformer et d'être totalement, servilement, soumis au Gouvernement, le voici qui à l'instant même délivre un message pour détourner les Français des problèmes du présent, provoqués par le gouvernement le plus anti-social de toute son histoire : Il incite les Français à se plonger dans l' Histoire du passé, pour éclipser les affres dans lesquelles le capitalisme financier les plonge. Et au passage, bien entendu, comme il se doit pour une télé complètement sionisée, il en profite pour à nouveau, encore et toujours, ressasser le passé de la Shoah. Simple prétexte à l'émission, peut-être ? Etant entendu que la Shoah nous est imposée comme l'événement central de l'Histoire du monde, alors qu'il n'est qu'un épisode malheureux parmi tant d'autres, particulièrement, aujourd'hui, sur les terres palestiniennes où les victimes de la Shoah perpétuent dans un silence médiatique absolument scandaleux, un des génocides les plus terrifiants qui soient, puisqu' entre autres, il condamne tout un peuple incarcéré chez lui à une agonie lente. Du jamais vu ! (Eva)



 


Rappel Thierry Meyssan :


(Rappel) La CIA et le laboratoire iranien

La nouvelle d’une possible fraude électorale s’est répandue à Téhéran comme une traînée de poudre et a poussé dans la rue les partisans de l’ayatollah Rafsanjani contre ceux de l’ayatollah Khamenei. Ce chaos est provoqué en sous-main par la CIA qui sème la confusion en inondant les Iraniens de messages SMS contradictoires. Thierry Meyssan relate cette expérience de guerre psychologique.

En mars 2000, la secrétaire d’État Madeleine Albright a admis que l’administration Eisenhower avait organisé un changement de régime, en 1953, en Iran et que cet événement historique explique l’hostilité actuelle des Iraniens face aux États-Unis. La semaine dernière, lors de son discours du Caire adressé aux musulmans, le président Obama a officiellement reconnu qu’« en pleine Guerre froide, les États-Unis ont joué un rôle dans le renversement d’un gouvernement iranien démocratiquement élu ».


À l’époque, l’Iran est contrôlée par une monarchie d’opérette dirigée par le chah Mohammad Reza Pahlavi. Il avait été placé sur le trône par les Britanniques, qui avaient forcé son père, l’officier cosaque pro-nazi Reza Pahlavi, à démissionner. Cependant, le chah doit composer avec un Premier ministre nationaliste Mohammad Mossadegh. Celui-ci, avec l’aide de l’ayatollah Abou al-Qassem Kachani, nationalise les ressources pétrolières . Furieux, les Britanniques convainquent les États-uniens qu’il faut stopper la dérive iranienne avant que le pays ne sombre dans le communisme. La CIA met alors en place l’Opération Ajax visant à renverser Mossadegh avec l’aide du chah, et à le remplacer par le général nazi Fazlollah Zahedi, jusque là détenu par les Britanniques. Il installera le régime de terreur le plus cruel de l’époque, tandis que le chah servira de couverture à ses exactions en posant pour les magazines people occidentaux.


L’opération Ajax fut dirigée par l’archéologue Donald Wilber, l’historien Kermit Roosevelt (le petit-fils du président Theodore Roosevelt) et le général Norman Schwartzkopf Sr. (dont le fils homonyme a commandé l’opération Tempête du désert). Elle reste un modèle de subversion. La CIA imagine un scénario qui donne l’impression d’un soulèvement populaire alors qu’il s’agit d’une opération secrète. Le clou du spectacle étant une manifestation à Téhéran avec 8 000 figurants payés par l’Agence pour fournir des photos convaincantes à la presse occidentale .


L’Histoire se répéterait-elle ? Washington a renoncé à attaquer militairement l’Iran et a dissuadé Israël de prendre une telle initiative. Pour parvenir à « changer le régime », l’administration Obama préfère jouer la carte —moins dangereuse, mais plus aléatoire— de l’action secrète. À l’issue de l’élection présidentielle iranienne, de vastes manifestations opposent dans les rues de Téhéran les partisans du président Mahmoud Ahmadinejad et du guide Ali Khamenei d’un côté, aux partisans du candidat malheureux Mir-Hossein Mousavi et de l’ex-président Akbar Hashemi Rafsanjani de l’autre. Elle traduisent un profond clivage dans la société iranienne entre un prolétariat nationaliste et une bourgeoisie qui déplore d’être tenue à l’écart de la globalisation économique . Agissant en sous-main, Washington tente de peser sur les événements pour renverser le président réélu.
 

Une nouvelle fois, l’Iran est un champ d’expérimentation de méthodes innovantes de subversion. La CIA s’appuie en 2009 sur une arme nouvelle : la maîtrise des téléphones portables.


Depuis la généralisation des téléphones portables, les services secrets anglo-saxons ont multiplié leurs capacités d’interception. Alors que l’écoute des téléphones filaires nécessite la pose de bretelles de dérivation, donc des agents sur place, l’écoute des portables peut se faire à distance grâce au réseau Échelon. Toutefois, ce système ne permet pas d’interception des communications téléphoniques via Skype, d’où le succès des téléphones Skype dans les zones de conflit . La National Security Agency (NSA) vient donc de démarcher les fournisseurs d’accès internet du monde entier pour obtenir leur concours. Ceux qui ont accepté ont été grassement rétribués.


Dans les pays qu’ils occupent —Irak, Afghanistan et Pakistan—, les Anglo-Saxons interceptent la totalité des conversations téléphoniques qu’elles soient émises par des portables ou qu’elles soient filaires. Le but n’est pas de disposer de retranscription de telle ou telle conversation, mais d’identifier les « réseaux sociaux ». En d’autres termes, les téléphones sont des mouchards qui permettent de savoir avec qui une personne donnée est en relation. Partant de là, on peut espérer identifier les réseaux de résistance. Dans un second temps, les téléphones permettent de localiser les cibles identifiées, et de les « neutraliser ».


C’est pourquoi, en février 2008, les insurgés afghans ont ordonné aux divers opérateurs de stopper leur activité chaque jour de 17h à 03h, de manière à empêcher les Anglo-Saxons de suivre leurs déplacements. Les antennes-relais de ceux qui ont contrevenu à cet ordre ont été détruites .


À l’inverse, —hormis un central téléphonique touché par erreur—, les forces israéliennes se sont bien gardées de bombarder les relais téléphoniques à Gaza, lors de l’opération Plomb durci, en décembre 2008-janvier 2009. Il s’agit là d’un changement complet de stratégie chez les Occidentaux. Depuis la guerre du Golfe prévalait la « théorie des cinq cercles » du colonel John A. Warden : le bombardement des infrastructures de téléphonie était considéré comme un objectif stratégique à la fois pour plonger la population dans la confusion et pour couper les communications entre les centres de commandement et les combattants. Désormais, c’est le contraire, il faut protéger les infrastructures de télécommunications. Durant les bombardements de Gaza, l’opérateur Jawwal  a offert du crédit à ses abonnés, officiellement pour leur venir en aide, de facto dans l’intérêt des Israéliens.
 

Franchissant un pas, les services secrets anglo-saxons et israéliens ont développé des méthodes de guerre psychologique basées sur l’usage extensif des portables. En juillet 2008, après l’échange de prisonniers et dépouilles entre Israël et le Hezbollah, des robots ont lancé des dizaines de milliers d’appel vers des portables libanais. Une voix en arabe mettait en garde contre toute participation à la Résistance et dénigrait le Hezbollah. Le ministre libanais des télécom, Jibran Bassil , avait déposé une plainte à l’ONU contre cette flagrante violation de la souveraineté du pays .


Sur le même modèle des dizaines de milliers de Libanais et de Syriens ont reçu un appel automatique en octobre 2008 leur proposant 10 millions de dollars contre toute information qui permettrait de localiser et de délivrer des soldats israéliens prisonniers. Les personnes intéressées pour collaborer étaient invitées à joindre un numéro au Royaume-Uni .


Cette méthode vient d’être employée en Iran pour intoxiquer la population en répandant des nouvelles choquantes, et pour canaliser le mécontentement qu’elles suscitent.
 

En premier lieu, il s’est agit de répandre par SMS durant la nuit du dépouillement la nouvelle selon laquelle le Conseil des gardiens de la Constitution (équivalent de la Cour constitutionnelle) avaient informé Mir-Hossein Mousavi de sa victoire. Dès lors, l’annonce, plusieurs heures plus tard des résultats officiels —la réélection de Mahmoud Ahmadinejad avec 64 % des suffrages exprimés— paraissait un gigantesque trucage. Pourtant, trois jours plus tôt, M. Mousavi et ses amis considéraient la victoire massive de M. Ahmadinejad comme certaine et s’efforçaient de l’expliquer par des déséquilibres dans la campagne électorale. Ainsi l’ex-président Akbar Hashemi Rafsanjani détaillait ses griefs dans une lettre ouverte. Les instituts de sondage US en Iran pronostiquaient une avance de M. Ahmadinejad de 20 points sur M. Mousavi . À aucun moment, la victoire de M. Mousavi n’a paru possible, même s’il est probable que des trucages ont accentué la marge entre les deux candidats.


Dans un second temps, des citoyens ont été sélectionnés ou se sont fait connaître sur internet pour converser sur Facebook ou s’abonner à des fils de dépêche Twitter. Ils ont alors reçu, toujours par SMS, des informations —vraies ou fausses— sur l’évolution de la crise politique et les manifestations en cours. Ce sont ces dépêches anonymes qui ont répandu les nouvelles de fusillades et de morts nombreux ; nouvelles à ce jour non confirmées. Par un malencontreux hasard de calendrier, la société Twitter devait suspendre son service durant une nuit, le temps nécessaire à la maintenance de ses installations. Mais le département d’État des États-Unis est intervenu pour lui demander de surseoir à cette opération . Selon le New York Times, ces opérations contribuent à semer la défiance dans la population.


Simultanément, dans un effort nouveau la CIA mobilise les militants anti-iraniens aux USA et au Royaume-Uni pour ajouter au désordre. Un Guide pratique de la révolution en Iran leur a été distribué, il comprend plusieurs conseils pratiques, dont :

- régler les comptes Twitter sur le fuseau horaire de Téhéran ;
- centraliser les messages sur les comptes Twitter @stopAhmadi, #iranelection et #gr88 ;
- Ne pas attaquer les sites internet officiels de l’État iranien. « Laissez faire l’armée » US pour cela (sic).

Mis en application, ces conseils empêchent toute authentification des messages Twitter. On ne peut plus savoir s’ils sont envoyés par des témoins des manifestations à Téhéran ou par des agents de la CIA à Langley, et l’on ne peut plus distinguer le vrai du faux. Le but est de creer toujours plus de confusion et de pousser les Iraniens à se battre entre eux.


Les états-majors, partout dans le monde, suivent avec attention les événements à Téhéran. Chacun tente d’évaluer l’efficacité de cette nouvelle méthode de subversion dans le laboratoire iranien. À l’évidence, le processus de déstabilisation a fonctionné. Mais il n’est pas sûr que la CIA puisse canaliser les manifestants pour qu’ils fassent eux-mêmes ce que le Pentagone a renoncé à faire et qu’ils n’ont aucune envie de faire : changer le régime, clore la révolution islamique.



envoyé par www.nouvelordremondial.over-blog.org 

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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 22:48
France Inter:
Philippe Val vire
Frédéric Pommier
de la revue de presse

Pour les syndicats, le journaliste paye le fait d'avoir cité
Siné Hebdo dans sa revue de presse.


475 réactions


RAPHAËL GARRIGOS et ISABELLE ROBERTS

Philippe Val.

Philippe Val. (VALERY HACHE / AFP)

C'est la première décision de Philippe Val depuis qu'il a pris officiellement, jeudi, la direction de France Inter: virer Frédéric Pommier, qui présente la revue de presse de la station chaque matin à 8h30 depuis septembre dernier. Val n'aura pas traîné: jeudi matin, il se présente à la rédaction d'Inter et c'est deux heures, après lors d'un pot, qu'il informe Pommier de sa décision.


Ce lundi, Val est allé s'expliquer face à la rédaction d'Inter. Selon un témoin, le nouveau directeur de France Inter a plaidé que la revue de presse n'est pas ce qui convient le mieux à Frédéric Pommier, et qu'il a, dans l'exercice, un problème de hiérarchisation de l'info. Val a assuré que son éviction n'a rien à voir avec Charlie Hebdo. Car il y a quelques mois, alors que son nom n'était pas encore évoqué pour la direction de France Inter, Philippe Val s'était accroché avec Frédéric Pommier. Présent dans le studio de la matinale (Val y était chroniqueur), il reproche, racontent des témoins de la scène, à Pommier de citer Siné Hebdo et pas Charlie Hebdo.


Pas d'autre poste


Après avoir reçu vendredi la demande de clause de conscience signée du SNJ-FO, et un communiqué du SNJ prévenant qu'il refuserait «les oukazes», Val a inauguré lundi son premier tract intersyndical. «Stop!», s'intitule-t-il. Et l'intersyndicale d'affirmer qu'elle n'acceptera «aucun règlement de compte personnel, aucune suspicion illégitime, aucun procès d'intention, aucune mise au rancart d'un membre de la rédaction pour des motifs non professionnels.»

Pour les syndicats, l'affaire est entendue: «Notre confrère paye surtout le fait d'avoir cité Siné Hebdo dans la revue de presse. Philippe Val, à l'époque directeur (et actionnaire) de Charlie Hebdo, lui en avait vertement et devant témoins fait le reproche.» «La liberté éditoriale ne se discute pas», poursuit l'intersyndicale qui conclut: «Les syndicats SNJ, SNJ-FO, SNJ-CGT et SUD demandent solennellement à la direction de France Inter de revenir sur cette décision inacceptable pour toute la rédaction».


Philippe Val promet un autre poste pour Frédéric Pommier. «Mais il fallait lui trouver quelque chose avant de lui annoncer qu'il arrêtait la revue de presse, tempête un journaliste. Virer un gars au bout de deux heures, c'est délirant, ça ne se passe pas comme ça à Inter».

http://www.liberation.fr/medias/0101575566-france-inter-philippe-val-vire-frederic-pommier-de-la-revue-de-presse


 

http://laplote.over-blog.fr/article-32964850.html


publié par
samtelam (libre panseur) Avant-hier 19H18

Ben Philippe, t' as oublié quand  t' étais chansonnier avec ton copain Font? tu nous faisais rigoler avec tes chansons à 2 balles. Puis ensuite, y' a eu le Charlie qui nous faisait jubiler tous les mercredis et maintenant tu te conduis comme un mauvais DRH. Un type t' agace, et tu le vires. T' as viré de bord ou tu fais ton spectak oubliant Debord...?


http://www.liberation.fr/medias/0101575566-france-inter-philippe-val-vire-frederic-pommier-de-la-revue-de-presse



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Val secoue le Pommier

Le 22 juin 2009 à 18h15 Envoyez à un ami   Imprimez 
 
- Remercié, Frédéric Pommier, le responsable de la revue de presse de la Matinale sur France Inter. A peine quelques jours après son arrivée à la tête de la station, Philippe Val provoque l’ire… des syndicats de la Maison ronde. Qui voient dans ce geste le premier acte d’une mise au pas de la radio.
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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 04:45

Sommaire:
- Extraits d'un article sur le désamour de l'Occident
- L'Occident, les médias, le sionisme, des forteresses à briser pour que les peuples puissent s'émanciper. Par Eva R-sistons
 


Dees


La plupart de la planète est convaincue que le 11/09 est une magouille gouvernementale US, et cette opinion commence à transpirer sérieusement en occident.

La "guerre froide" est d'origine 100 % américaine. En effet, la diplomatie soviétique se serait très bien intégrée dans un système de "concert" des nations, comme il existait entre 1871 et 1914.
Mieux, elle était demanderesse.

Les américains et plus largement, les anglos depuis 1914 ne reconnaissaient que deux espèces : les valets et les ennemis.

Bien sûr, il y a des gradations dans la soumission, certains ont droits à des faveurs,
apporter la chaise d'affaire, par exemple. Les autres sont des paysans, des serfs.

Mais cette
conception occidentale s'affaiblit, à mesure que s'affaiblit leur économie, leur puissance militaire, leur emprise sur le monde.

La dernière réunion de Ekaterinenbourg, montre une évolution : faute d'obtenir des occidentaux réalistes, le monde de l'OCS, complété par une bonne partie du reste du tiers monde, recherche son équilibre SANS les USA et leur caniche européen.

Ce qui guette désormais ce monde, jadis dominant, c'est l'implosion et la marginalisation totale.

Les USA, finalement, c'est loin de tout. ça peut très bien retourner à son état initial d'il y a 4 siécles : le néant. Faut il rappeler que les Vikings la découvrirent, mais la route commercialle créée n'avait aucun intérêt.

Pour l'Europe, à force de jouer au C... (avec un grand C), elle peut se retrouver aussi, péninsule marginalisée, chose qu'elle fut par le passé.


http://lachute.over-blog.com/article-32859270.html
http://bridge.over-blog.org/article-32882331.html




La forteresse de l'occident, des Médias, du sionisme
par Eva R-sistons


L'Occident commence à être marginalisé. C'est une réalité.

Son vrai visage apparaît tel qu'il est au reste du monde.

Hideux.

Prédateur.

Carnassier.

Menteur.

Hypocrite.

Voleur.

Colonialiste.

Impérialiste.

Va-t-en guerre

Sans scrupules ...

"La logique capitaliste est une logique d'appropriation, de pillage, de privatisation des biens communs".

Cette logique-là, le monde n'en veut plus.

Les peuples sont de moins en moins dupes.

Le 11 septembre est une magnifique imposture.

La guerre de Yougoslavie est une imposture.

La guerre d'Irak est une imposture.

La guerre d'Afghanistan est une imposture.

Et maintenant, les émeutes en Iran, comme celles des "gentils" moines bouddhistes au Tibet il y a peu, sont une vaste manipulation orchestrée par la CIA et le Mossad, en coulisses.

Tout est mensonge, duperie, escoquerie, les manifestants sont souvent des figurants, comme en Irak avec la statue de Sadam Hussein déboulonnée, et les agitateurs sont souvent des professionnels, dûment financés. Ils provoquent des incidents à l'origine des guerres mondiales, des conflits, des destabilisations de régions entières, simples prétextes pour accomplir les projets qui d'un côté, rempliront les poches de banquiers cupides, de l'autre sèmeront souffrances, pleurs, désespoir, dévastations, ruines, handicaps, morts....

Le monde n'en peut plus d'être racketté et trompé par l'Occident sans foi, sinon en paroles, ni lois. Pratiquant un deux poids deux mesures insupportable aux peuples. Accusant l'Iran des pires falsifications, et se taisant sur celles, bien réelles, de régimes alliés (comme en Tunisie). Montrant du doigt les manifestations en Iran, et faisant silence sur celles qui ont lieu en Georgie.

A l'ONU, c'est la fronde des peuples contre leurs spoliateurs et leurs assassins. L'Occident se voit réduit à organiser une piteuse mise en scène, à Durban 2, derrière un clown pathétique. Mais ses shows, ses pantomines, ses gesticulations, ses engagements pour la liberté ou pour la démocratie, trompent de moins en moins de monde.

 

Oui, à force de cynisme, de prédations, de cupidité, à force de complots contre l'humanité - en organisant crises, pandémies, guerres sous de faux prétextes... -, l'Occident se déconsidère de plus en plus aux yeux des peuples. Et se marginalise de lui-même.

 

Il ne règne plus en maître. Il doit partager le pouvoir. Des pans entiers lui échappent. Partout, les peuples s'organisent pour défendre leurs intérêts contre le monstre qui sévit sur la planète, alléché par le pétrole ou le sang : Comme en Asie, ou en Amérique latine. Il n'est pas jusqu'au continent africain qui échappe de plus en plus aux Occidentaux, pour s'en remettre au savoir-faire patient, non militarisé, des Chinois.

Oui, le monde échappe à la domination de l'Occident.

Pour perpétuer son hégémonie, il tente une dernière manoeuvre, désespérée : En décrétant, en établissant un Nouvel Ordre Mondial sous son égide, une dictature bancaire planétaire assortie de l'élimination d'une grande partie de l'humanité.

 

Mais ces derniers soubresauts ne font pas illusion: L'hégémonie s'effrite, des géants apparaissent, russe ou chinois, des peuples s'émancipent, les guerres se soldent par des échecs, le Système imposé bien peu démocratiquement à la planète s'effondre, le navire coule... Les plaies apparaissent au grand jour. Le désavoeu des peuples est total.

 

Si l'Occident parvient encore à se maintenir à flots, jusqu'à quand, d'ailleurs ? C'est parce qu'il repose sur un pilier fondamental, qui doit être sans cesse dénoncé : Celui des Médias, n'informant plus, se contentant de répercuter la "bonne parole", de falsifier les événements qui ne lui conviennent pas, et bien sûr de faire une propagande éhontée pour ses propres objectifs, ou son Système, ou ses représentants. Les Parlements sont remplis de leurs impostures.

 

 Au coeur du Système, au coeur de l'infâme machine occidentale à broyer les peuples, au coeur de toutes les manipulations ou de tous les mensonges, se trouvent les Médias. On le voit encore avec l'Iran, véhiculant tous les mensonges orchestrés par l'Oligarchie pour maintenir son hégémonie, écraser les opposants, venir à bout des non-alignés surtout s'ils se targuent de fierté nationale et prônent un autre modèle de développement.

 

 L'Occident a trois principales composantes, anglaise, première, ancestralement coloniale, carnassière avec sa City; l'Amérique, avide, orgueilleuse, impétueuse, sans scrupules, en dépit de sa religiosité affichée; Israël, machiavéliquement active, présente partout, sous couleur de morale, hypocrisie suprême. Et désormais, cet Occident s'est adjoint le laquais européen, aux ordres, futur supplétif de toutes les aventures impériales en gestation, grâce à des Sarkozy, des Kouchner, des Berlusconi, des Barroso, ou des dirigeants des ex pays de l'Est. L'"Elite" auto-proclamée creuse sans cesse son divorce avec les populations: Témoin l'abstention phénoménale aux élections, véritable symbole du rejet des politiques menées et des élus ne représentant que leurs ambitions. Votent seulement les inconditionnels de l'Europe vassalisée, personnes âgées abonnées aux messes du dimanche, et tous les aveugles anesthésiés par la propagande quotidienne.

Le peuple juif lui-même abusé par ses dirigeants fanatiquement sionistes, d'un sionisme qui n'a plus rien à voir avec le rêve d'une terre protectrice, et qui s'arc-boute sur des principes scandaleusement militaro-financiers opposés aux grandes valeurs du judaïsme biblique, ce peuple juif place ses meilleurs atouts dans le monde des Médias, au service, justement, de l'idéologie diabolique qui sévit sur la planète, celle-là même que les peuples récusent de plus en plus, horrifiés par ses conséquences en matière de justice ou de paix. Jamais la faim n'a autant progressé dans un monde qui peut nourrir tous ses enfants, jamais les inégalités ne se sont autant creusées, jamais les conflits n'ont été aussi barbares, jamais les guerres n'ont été aussi dévastatrices, jamais les populations n'ont été autant meurtries. Au nom d'hypocrites modernités, démocraties...

Je le répète: Pour mettre en échec ce Système occidental, scandaleusement prédateur et sanguinaire, il faut s'en prendre à son coeur: Les Médias. C'est par eux que toutes les impostures sont possibles, c'est par eux que toutes les manipulations se propagent et se perpétuent.

Il est temps de DEMASQUER le principal adversaire des peuples, le Système médiatique, confisqué par les néo-sionistes qui salissent le judaïsme et pervertissent la planète.

Sans cela, le Système qui dévaste le monde nous emportera tous, même ses concepteurs. Celui qui sème le vent, récolte toujours la tempête.  Un croyant évangélique vient juste de m'envoyer ce texte, si opportun :

 

Evangile selon LUC chapitre 19 versets 41 à 44
"Comme il approchait de la ville, Jésus, en la voyant, pleura sur elle, et dit: Si toi aussi, au moins en ce jour qui t'est donné, tu connaissais les choses qui appartiennent à ta paix! Mais maintenant elles sont cachées à tes yeux.
Il viendra sur toi des jours où tes ennemis t’environneront de tranchées, t’enfermeront, et te serreront de toutes parts; ils te détruiront, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas connu le temps où tu as été visitée".

Le commentaire de ce Lecteur était :

"Les prophéties bibliques sont claires. Israël sera lâché par ses alliés, et les peuples monteront contre ce pays. Il n'a pas fini de souffrir... même si ses dirigeants arrivent à paraitre odieux, le peuple n'a-t-il pas droit à notre compassion ? Cela se terminera par Harmaguédon et la confusion de peuples de la terre."

Est-il possible d'éviter toutes ces futures atrocités envers le peuple Juif, qui d'ailleurs a suffisamment souffert, envers nos frères et soeurs en humanité, juifs ou non-juifs ? La haine, le racisme, le fanatisme, l'injustice, les mensonges, les convoitises, les prédations, l'idolâtrie de Mâmon, les conflits, les guerres... vont-ils enfin cesser ? La Sagesse doit triompher !

J'ose le dire: Cela passera inévitablement par la fin du monopole des marchands d'armes sur les Médias, par la fin des manipulations incessantes sur nos consciences pour nous vassaliser toujours plus, pour nous faire accepter l'Ordre injuste et nous amener à nous sacrifier le coeur léger (Marie Drucker et son incitation scandaleuse à "Mourir pour la patrie" !)  pour quelques grandes familles obsédées par l'Argent, complètement dégénérées. Cela passera aussi, inévitablement, par une juste représentation de toutes les communautés, de toutes les tendances, de tous les points de vue, au sein des Rédactions, pour qu'elles ne soient plus jamais confisquées par un Clan au serice des intérêts d'Israël, et plus généralement de cet Occident judéo-chrétien lui-même dégénéré par le culte du veau d'Or.

Je le dis gravement: La Paix, la Justice, la Vérité, sont au prix d'une refondation complète de nos Médias.

Pour que plus jamais, justement, une victoire des urnes ne soit dénaturée, comme en Iran, au service d'intérêts peu avouables, et au moyen de scandaleuses mises en scène ou complots.

Mes amis, il est temps de démasquer les vrais fautifs: Ce sont les Médias. Ils sont au coeur d'un Système pourri, et si nous voulons un jour que l'humanité retrouve la Liberté, la Paix, et s'achemine vers plus de Justice, il faut exiger une autre presse, une autre information.

Le combat pour l'indépendance de l'information doit devenir prioritaire.

Eva R-sistons à l'intolérable pour que l'humanité puisse un jour s'épanouir sans entraves.

NB Eva: Cet article est une introduction  au J'accuse que je prépare depuis deux mois. Nous devons voir les problèmes tels qu'ils sont, les cerner dans leur vérité, car si nous n'identifions pas l'origine véritable des problèmes de la planète, nous ne pourrons pas vraiment en combattre les conséquences.

 

Commentaire reçu :

Aujourdhui on commence à distinguer la forme de ce qui a été méticuleusement et patiemment construit par
l'élite obscure pour mettre en place son puzzle  totalitaire..  Tout s'accélère depuis un certain 11 Septembre. D'ailleurs, l'élite ne s'en cache plus. Nouvel Ordre Mondial par ci, Nouvel Ordre Mondial par là, c'est la chansonnette du moment. Les Nazis en avaient revé, les néos nazis  l'ont fait . Les vrais néos nazis n'ont pas le crane rasé. Ils portent de jolis costards taillés sur mesure, se réunissent depuis des lustres dans leurs clubs et sociétés opaques et secrètes et ont placé toutes leurs marionettes aux commandes. Le scénario est bien huilé. Créer les problèmes et proposer la solution. La solution ? Quelle solution ? Le New World Order, of course… 

Après que la populace, lobotisée par 8 ans de propagande  sur fond de guerre contre la terreur fabriquée et accessoirement de lutte contre la délinquance entretenue,  ait docilement acceptée de se soumettre aux lois ultra sécuritaires, nos néos nazis sont persuadés que ladite populace, déboussolée par la crise savamment concoctée par la clique des banksters est maintenant prete a accepter la solution finale… se soumettre définitivement et si possible sans broncher.

 

Commentaire n° 2 posté par Lenz aujourd'hui à 04h35
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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 04:29


LA  CENSURE

Regardez à quoi ressemble la censure sur France Inter !

VIDEO  ICI :

http://suntzu.vox.com/library/video/6a00fa96a53a4c0002011015fb559d860b.html
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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 22:29

 


Hé hé, aujourd'hui,

dans des médias orchestrés par les néo-sionistes,
quand on est islamophobe,
on est récompensé
pour bons et loyaux services !!!!
Ils savent reconnaître leurs zélés-z'amis !

Et tant pis pour la neutralité... !

Belle presse bien diversifiée, tiens donc !!!!


Eva R-sistons

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 21:48

Etant actuellement en Espagne, je me plais à lire de temps en temps des livres en français pour me rattacher à notre langue que nous chérissons tant. Bref, mes parents étant de passage pour me voir, ils m’ont ramené un livre de société, sur la France : Le divorce Français de F. De Closets, un journaliste relativement connu. Je vais essayer de vous en faire une petite fiche de lecture.

 

Dans ce livre bien écrit, l’auteur essaye d’expliquer la situation actuelle de la France par les épisodes des dernières décades. Il estime en effet que nous sommes plongés dans une sorte
d’immobilisme dû à une fracture entre les élites et le peuple. Il considère que ce mariage est indispensable au bon fonctionnement de notre Nation et que les deux parties doivent absolument apprendre à se faire (ou refaire) confiance. En tant que journaliste aguerri, il prend plusieurs exemples du passé pour montrer à quel point nous avons dérivé vers un affrontement de ces deux conjoints ! L’avantage du passé est qu’il est possible d’avoir du recul et d’analyser ce qui c’est réellement passé, nous explique l’auteur. Voici quelques exemples : Course à l’armement nucléaire décidée par les plus grands stratèges (qui avoueront plus tard leurs erreurs), programmes d’énergie nucléaire refusées par le peuple par peur et ignorance de cette technologie (alors que c’est l’alternative actuelle la plus adéquate mais j’en reparlerais !), l’affaire Humbert où une véritable lutte s’installe entre le peuple (en faveur de l’euthanasie) et les élites (contre une législation en raison d’idéologies philosophico-religieuses), etc.

Cette œuvre est bien construite et reste ouverte : elle n’essaye pas de vous convaincre mais de vous exposer les faits tels qu’ils sont. Il expose, à l’appui, chiffres et citations des acteurs de principaux de chaque affaire. L’objectif est de comprendre les mécanismes des erreurs pour mieux les éviter par la suite. Bref,
une œuvre qui nous laisse un peu réfléchir et nous fait prendre conscience des enjeux des décennies à venir !

Je vous la recommande sans hésiter, une lecture enrichissante !


http://benjamin.cosse.over-blog.fr/article-32929018.html


Mon point de vue : Ce divorce est bien plus profond. C'est celui des Français et des Elus, qui comme dans bien des pays ne les représentent pas, oui élus du peuple pour défendre, au final, les intérêts de l'Elite, et divorce, aussi,  par exemple, du peuple et des médias menteurs, de plus en plus désavoués, et délaissés par les lecteurs et les télespectateurs. Voilà la réalité ! Médias, vous n'êtes plus crédibles, alors on préfère la vérité d'Internet à vos salades ! Eva R-sistons


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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 21:12


Nouveau show sarkozien,
habilement exploité.
par Eva R-sistons



"C'est un rendez-vous HISTORIQUE que Nicolas Sarkozy fixe au Parlement. Pour la 1e fois, le Président s'adressera directement aux Parlementaires",  est-il sans cesse claironné sur les Chaînes Parlementaires sionisées. "C'est un événement !"

Non, c'est un Non-événement ! Coûteux (jusqu'à un milliard d'euros !), pompeux (à Versailles ! Sarkozy a la folie des grandeurs, c'est bien connu), inutile, puisqu'il servira seulement de nouveau moyen de communication pour relancer une popularité mise à mal par une politique furieusement anti-sociale ! Et la démocratie n'y gagnera rien, puisque le Président n'écoutera pas le débat qui s'en suivra, avec les Elus du peuple, d'ailleurs non autorisés à se prononcer par un vote.

Gageons que les médias-laquais dérouleront un tapis rouge à cet événement, pour redorer l'image d'un Président affaibli par sa défaite aux Européennes (11 % seulement des électeurs ont voté pour lui, moins de 27 % des votants, alors que l'UMP n'a plus de réserve !) !

En d'autres termes, cet "événement", terriblement coûteux en pleine crise, servira seulement les intérêts de Sarkozy 1er. Et le bon peuple sera une fois de plus floué, comme du temps du "grand" roi Louis XIV !

Eva R-sistons aux mensonges et à la propagande insidieuse !
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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 20:31

Siège d’Arte, 4 quai du Chanoine-Winterer à Strasbourg - Wikipedia.org



Etonnant ! Fidèle à lui-même, Arte, dirigée par des néo-sionistes, et courroie de transmission de l'Occident, du Pouvoir, et d'Israël, montre son VRAI visage, de façon caricaturale, à l'occasion des émeutes en Iran, provoquées par des agents de l'Etranger, GB en tête, toujours derrière les plans contraires aux intérêts des peuples, avec les frères siamois américano-israéliens.  Alors que FR2, aux mains des néo-sionistes, ose cette fois aborder la vérité, la question de l'ingérence étrangère en Iran, en relayant bien évidemment comme tout média digne de ce nom devrait le faire, les accusations, légitimes, de l'Iran, Arte-Info du soir, scandaleusement, fait une allusion à l'ingérence, mais pour discréditer aussitôt la réalité, en la commentant ainsi, au Journal du soir: "C'est bien connu, la meilleure défense, c'est l'attaque !"

Non, M. Clément, vous salissez dans le média que vous dirigez, la neutralité que la fonction de journaliste exige. Vous la salissez en couvrant, au moins, la désinformation de vos journalistes, au plus en l'impulsant.

Le Présentateur conclut le Journal en disant : " Continuez de regarder le monde autrement, sur Arte ". En effet, le regard d'Arte est celui d'un vulgaire média de propagande, non de la vérité. Aux télespectateurs d'en tirer les conclusions qui s'imposent, s'ils veulent être informés...

Eva R-sistons à l'intolérable de la désinformation partisane, mensongère, MANIPULATRICE.

N.B. : Au journal de 20 heures de ce dimanche soir, FR2 a dressé un portrait de l'opposant iranien. Comme celui-ci se désolidarise d'une certaine façon de l'Occident, en avertissant : "Nous n'avons pas besoin de VOS interventions", il est maintenant présenté comme un dignitaire du régime, seulement plus modéré. D'ici à ce qu'on prépare les esprits à une alternance dictée par l'Occident, du type fils du Shah, à nouveau, docile marionnette des multinationales, ou même, faute de mieux (en adorant aujourd'hui ce qu'on "brûlait" hier), les Moudjahidines du peuple, d'obédience soi-disant marxiste... ! Tout est bon pour se  débarrasser du régime iranien si critique vis-à-vis de l'Occident, si indépendant, et seule puissance régionale pouvant faire ombrage à Israël, ce qui est insupportable à ce dernier, prêt à rayer le pays de la carte pour ne pas avoir à subir cet affront !



______________________________________________________________

lachute.over-blog.com
Iran...


l'Iran est une vieille histoire de la manipulation américaine. Déjà, le renversement du Docteur Mossadegh était une entourloupe de fort honorable gabarit.
Il s'en est suivie une dictature militaire-pipole qui finit en 1979, et dont les américains n'ont jamais accepté le résultat.
Les manifestations, les accusations de fraudes, le nombre de morts, tout cela, c'est de la manipulation d'un appareil qui dysfonctionne. Le boss Obama est inquiet, pendant que des
officines subventionnées (à surnommer pathé marconi : "la voix de son maitre") à visages angéliques "droa-de-l'ôme", coassent sur ces sauvages pas bien civilisés, pas capable d'organiser une élection honnête, où les 2/3 des électeurs préférent aller faire autre chose, et dont, de toute façon, on se torche avec les résultats de ses votes, quand ils non conformes.
Ces vrais, ces iraniens, ils sont impossibles. Un président est réélu, "en trichant", dit on, sans apporter la moindre preuve, peut être en oubliant qu'il s'est adressé aux classes populaires et non à la bourgeoisie, gourmande de globalisation.
Il ne faut pas oublier, qu'une bonne partie de la classe dirigeante iranienne était collaborationniste au pouvoir du Shah-cia, et que pour elle, "c'était le bon temps".
Deux choses sont à signaler aujourd'hui : la plupart de la planète est convaincu que le 11/09 est une magouille gouvernementale US, et cette opinion commence à transpirer sérieusement en occident.
La "guerre froide" est d'origine 100 % américaine. En effet, la diplomatie soviétique se serait très bien intégrée dans un système de "concert" des nations, comme il existait entre 1871 et 1914.
Mieux, elle était demanderesse.
Les américains et plus largement, les anglos depuis 1914 ne reconnaissaient que deux espèces : les valets et les ennemis.
Bien sûr, il y a des gradations dans la soumission, certains ont droits à des faveurs,
apporter la chaise d'affaire, par exemple. Les autres sont des paysans, des serfs.
Mais cette
conception occidentale s'affaiblit, à mesure que s'affaiblit leur économie, leur puissance militaire, leur emprise sur le monde.
La dernière réunion de Ekaterinenbourg, montre une évolution : faute d'obtenir des occidentaux réalistes, le monde de l'OCS, complété par une bonne partie du reste du tiers monde, recherche son équilibre SANS les USA et leur caniche européen.
Ce qui guette désormais ce monde, jadis dominant, c'est l'implosion et la marginalisation totale.
Les USA, finalement, c'est loin de tout. ça peut très bien retourner à son état initial d'il y a 4 siécles : le néant. Faut il rappeler que les Vikings la découvrir, mais la route commercial crée n'avait aucun intérêt.
Pour l'Europe, à force de jouer au C... (avec un grand C), elle peut se retrouver aussi, péninsule marginalisée, chose qu'elle fut par le passé. 
Il existe deux sortes d'amis : le premier qui t'aide à faire une bêtise, le second qui cherche à dissuader de la commettre. Visiblement, l'UE est pressé de faire la bêtise avec son maitre...

Dernière magouille US : Twitter. Bien entendu, rien ne garantit la véracité des informations, et c'est plutôt une attaque de désinformation totale. Bien entendu, elle devrait échouer. 1979 a été une révolution, et les générations qui ont fait ces révolutions (et la guerre Iran-irak, après), dont beaucoup sont encore en vie, sont des durs à cuire. Il en faut plus pour les impressionner.
Dans les "images fortes" diffusées en occident, sur l'Iran, l'Irak, en beaucoup d'occasions, les manifestants étaient des figurants...

Par Patrick REYMOND

http://lachute.over-blog.com/article-32859270.html


http://bridge.over-blog.org/article-32882331.html


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Commentaires reçus :
http://r-sistons.over-blog.com/article-32827201-6.html#comment43872353



Encore un indice que cette campagne médiatique sur l'Iran était préparée à l'avance (avril 2009), cette émission de F. Taddieu, avec l'ignoble Alexandre Adler :


http://www.dailymotion.com/video/x95fuq_alexandre-adler-rony-brauman-jean-b_news


A la fin de la vidéo, il présuppose que si Ahmadinejad est élu, c'est en bourrant les urnes (parmis les innombrables bétises qui sortent de sa bouche). Les faucons de son expèce avaient déjà scénarisé ce "bourrage d"urne". Il se peut qu'effectivement des partisans de Moussavi aient bourré les urnes en faveur de... Ahmadinejad (dans les villes acquises à Moussavi), afin de rendre suspecte son élection.

Heureusement qu'il existe des gens comme Rony Brauman et Bricmont (j'adore son très sec : "si vous représentiez au moins une petite communauté d'intellectuels, ce serait déjà bien" à Adler ).
Commentaire n° 2 posté par Annie hier à 10h18
Encore un indice de la manipulation médiatique occidentale :

http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/iranprop.php?q=WRHARTICLES/iranprop.phpare



les gens de la BBC vraiment tordus, ils ont pris une photo avec Ahmadinejad acclamé par la foule, ont effacé Mahmoud, et ont titré une "foule supportant Moussavi" ! Un peu comme l'effacement de la bague de Rachida Dati !
(...)

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 20:21
pourquoi devrais-je mépriser le choix des iraniens?" par thierry meyssan

Pourquoi devrais-je mépriser le choix des Iraniens ?
par Thierry Meyssan*

voltairenet.org


De nombreux lecteurs ont réagi avec colère au dernier article de Thierry Meyssan. Il se devait de leur répondre. Malheureusement incorrigible, non seulement celui-ci ne fait pas amende honorable, mais il persiste et signe.


21 juin 2009

Depuis

Beyrouth (Liban)

 

Mon récent article, « La CIA et le laboratoire iranien », m’a valu un abondant courriel, principalement injurieux. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas reçu tant de protestations outrancières. La plupart de mes correspondants me reprochent d’être aveuglé par un « anti-américanisme viscéral » au point de défendre la « dictature des mollahs » et d’ignorer la vague de jeunes Iraniens luttant à main nue « pour la liberté ». À y regarder de plus près ces courriels sont peu argumentés, mais empreints d’une passion irrationnelle ; comme si on ne pouvait parler de l’Iran sans être emporté par ses émotions.


C’est que l’Iran n’est pas un État comme les autres. À l’instar de la France de 1789 et de l’URSS de 1917, l’Iran de 1979 a lancé un processus révolutionnaire qui conteste des aspects fondamentaux du modèle « occidental » triomphant ; et il l’a fait à partir d’une foi religieuse. Trente ans plus tard, nous, « Occidentaux », continuons à ressentir la parole du Peuple iranien comme une condamnation morale de notre mode de vie, c’est-à-dire de la société de consommation et de l’impérialisme. A contrario, nous ne parvenons à trouver le repos qu’en nous persuadant que la réalité n’est qu’un rêve et que nos rêves sont la réalité. Les Iraniens aspireraient à vivre comme nous et en seraient empêchés par un affreux clergé enturbanné.


Pour expliquer l’Iran moderne à ceux qui veulent la comprendre, je ne sais par où commencer. Trente ans de propagande ont forgé tant d’images fausses qu’il faut déconstruire une à une. La tâche est grande pour s’extraire du mensonge et le moment ne s’y prête guère. Je voudrais juste soulever quelques observations préalables.


La révolution islamique a accompli de grands progrès : les châtiments corporels sont devenus exceptionnels, le droit à remplacé l’arbitraire, les femmes sont de plus en plus éduquées, les minorités religieuses sont toutes protégées —à l’exception malheureusement des Baha’is—, etc. Sur tous ces sujets, où nous trouvons le régime actuel exécrable, les Iraniens pensent, eux, qu’il est autrement plus civilisé que la cruelle dictature du Shah imposée par Londres et Washington.


La révolution islamique a encore beaucoup à accomplir et doit en outre maîtriser ce système politique si oriental qui, pour donner une place à chacun, multiplie les structures administratives et conduit à la paralysie institutionnelle.
 

Bien sûr, à l’époque du Shah, il y avait aussi une bourgeoisie occidentalisée qui trouvait la vie plus belle. Elle envoyait ses enfants suivre des études en Europe et gaspillait sans compter aux fêtes de Persépolis. La révolution islamique a aboli ses privilèges. Ses petits-enfants sont aujourd’hui dans la rue. Avec le soutien des États-Unis. Ils veulent reconquérir ce dont leurs familles ont été privées et qui n’a rien à voir avec la liberté.


En quelques années, l’Iran a retrouvé le prestige qu’elle avait perdu. Son Peuple s’enorgueillit d’avoir prêté assistance aux Palestiniens et aux Libanais auxquels il a offert la reconstruction de leurs maisons détruites par Israël et des armes pour se défendre et retrouver leur dignité. Il a secouru les Afghans et les Irakiens, victimes de régimes pro-occidentaux puis des Occidentaux eux-mêmes. Cette solidarité, les Iraniens l’ont payée au prix fort avec la guerre, le terrorisme et les sanctions économiques.


Pour ma part, je suis démocrate. J’attache de l’importance à la volonté populaire. Je n’avais pas compris pourquoi il fallait proclamer la victoire de George W. Bush avant de dépouiller les votes des citoyens états-uniens en Floride. Je n’avais pas non plus compris pourquoi, avec la bourgeoisie de Caracas, il fallait féliciter Pedro Carmona d’avoir placé Hugo Chavez en prison, quand le Peuple vénézuélien l’avait élu. Je ne comprends pas pourquoi il faut appeler Mahmoud Abbas, « Monsieur le président », alors qu’il empêche l’élection de son successeur en faisant séquestrer les représentants du Peuple palestinien dans les geôles israéliennes. Je ne comprends pas pourquoi on prépare l’application du Traité constitutionnel européen, sous une autre dénomination, alors que les électeurs l’ont rejeté. Et aujourd’hui, je ne vois pas au nom de quels fantasmes, je devrais encourager la population des quartiers nord de Téhéran à piétiner le suffrage universel, et à imposer Mousavi quand le Peuple a majoritairement choisi Ahmadinejad.


Thierry Meyssan

Analyste politique, fondateur du Réseau Voltaire. Dernier ouvrage paru : L’Effroyable imposture 2 (le remodelage du Proche-Orient et la guerre israélienne contre le Liban).


http://www.voltairenet.org/article160696.html


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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 19:02



Cotes de popularité, par Eva R-sistons


Elles ne dépendent pas des individus, mais des Médias. A force d'entendre  parler de Super Sarko, du dynamique Sarko, de la victoire de l'UMP aux Européennes (au lieu de dire la vérité : 11 % des électeurs, moins de 28 % des votants, Sarkozy devrait être destitué, son pouvoir est illégitime; de Gaulle est parti avec bien plus de voix, mais lui avait du panache, ce n'était pas un affreux roquet qui casse la France, et la dessert par sa vulgarité, à l'étranger !), les électeurs finissent pas devenir aveugles. Par exemple, sur le fait que Sarkozy, comme Kouchner Dr Folamour, sont des va-t-en guerre au service des USA et d'Israël, ou que D. Strauss-Kahn sert d'abord Israël, selon ses dires, tout en faisant le malheur des peuples au FMI, le joli socialiste !!!!

Honte aux médias menteurs, de propagande, manipulateurs, qui font ou défont, un Sarkozy ou un Cohn-Bandit, au gré des intérêts du gouvernement et des consignes du Nouvel Ordre Mondial, tout en préparant les esprits à la guerre contre l'Iran.

Nos médias sionisés sont une POUBELLE, et vus comme tels à l'étranger.

eva R-sistons à l'intolérable




______________________________________________________________




L'UMP fait une razzia aux Européennes,
Barack Obama repart à la Maison Blanche, charmé par la France, et l'Opposition n'est plus qu'amour pour le Président. Tout réussit à Nicolas Sarkozy. La crise? Connait pas. Lire la suite l'article

Photos/Vidéos liées

Nicolas Sarkozy : le Président fait un raz-de-marée dans le coeur des Français


«Aie confiance... ». Selon un sondage publié aujourd'hui dans le quotidien gratuit Métro, les cotes de popularité de Nicolas Sarkozy et de
François Fillon remonte fortement en juin.


La proportion de Français satisfaits de l'action de Nicolas Sarkozy augmente de quatre points à 45%. A l'inverse, seulement 54% des personnes interrogées disent être mécontentes de l'action du chef de l'Etat, soit une baisse de trois points.

Dans le sillage du héros de l'Elysée, le Premier ministre François Fillon bénéficie lui aussi d'une hausse de quatre points à 47% de Français satisfaits, la proportion des mécontents reculant de trois points à 49%.


Les ministres les plus populaires sont Bernard Kouchner (Affaires étrangères) et Jean-Louis Borloo (Ecologie) à 60% de satisfaction, devant Michèle Alliot-Marie (Intérieur) à 53%, Hervé Morin (Défense) à 48% et Roselyne Bachelot (Santé) à 46%. Rama Yade, la petite préférée, a disparu du classement. Et Rachida Dati, l'ex-favorite, quitte le gouvernement...Baromètre Metro-Krief Group réalisé par OpinionWay par téléphone du 8 au 11 juin auprès d'un échantillon de 1.006 personnes, constitué selon la méthode des quotas et représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Marge d'incertitude de deux à trois points au plus.


Lundi 15 juin 2009

http://fr.news.yahoo.com/75/20090615/ten-nicolas-sarkozy-le-prsident-fait-un-511feee.html

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 18:53
 

http://www.laurence-ferrari.com/

TF1 : de l'info à l'enfer... il n'y a qu'un pas


C'était devenu le fer de lance de Laurence Ferrari dans sa course à la crédibilité : avec elle, contrairement à Patrick Poivre d'Arvor, il n'y avait plus de clivage entre les journalistes à l'antenne et journalistes de terrain. Elle expliquait même avoir installé son bureau au centre de la rédaction... contrairement à son prédécesseur.
Lire la suite l'article



Problème, la rédaction de l'information n'est pas du tout du même avis. Le Parisien révèle ainsi que mardi, la société des journalistes (SDJ) - soit 90% de la rédaction de la Une - s'est rassemblée en assemblée générale extraordinaire. Ils ont ainsi dénoncé : "le management par la peur" qui tétanise la rédaction "depuis plusieurs mois".

"On demande ouvertement à des chefs de service quels sont leurs poids morts, on procède par harcèlement, indique le communiqué. On nous saoule de travail, il faut de la productivité Il vaut mieux ne pas bouger un cil en ce moment."

"L'âge, le nombre de sujets produits... et le comportement", tout est passé au peigne fin. Les temps sont durs et la chaîne doit écrémer ses effectifs. Deux entretiens préalables au licenciement ont été adressés à deux journalistes. La panique gagne les premiers étages de la tour de TF1. La SDJ dit la qualité du journal "menacée" et dénonce la baisse des moyens.

Jean-Claude Dassier, le patron de l'information, n'a pas souhaité s'exprimer. Ses derniers mots lors d'une conférence de la rédaction : "Il faut se rendre compte de la réalité du marché. On ne peut pas se tourner vers le passé et souhaiter que rien ne bouge".

Et depuis ? Dassier est donné partant de TF1. Il prendrait la place Pape Diouf président de l'OM fraîchement limogé... C'est donc un problème qu'il ne devrait pas avoir à gérer !

En revanche qui va le remplacer ? Axel Duroux n'arrivera qu'en septembre (voir news) à la tête de ce navire, qui avec ce départ, va avoir un nouveau trou dans sa coque...


Plus d'infos sur purepeople.com

 

http://fr.news.yahoo.com/51/20090619/ten-tf1-de-l-info-l-enfer-il-n-y-a-qu-un-0111c6b.html

 

 

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 18:34
D-Day,commémoration:
Américains sauveurs,
ou prédateurs criminels ?




Bush et les Nazis :

Dans cette vidéo, vous trouverez les copinages de la famille Bush avec les nazis pendant la dernière guerre mondiale.

Bush milite pour le new world order, et pour lui c'est une excellente occasion de se procurer encore plus d'argent sur les guerres présentes et futures.

Nous possédons vraiment une élite hors pair, dans cette société américaine exemplaire.

http://www.dailymotion.com/video/xkn03_bush-et-nazis_family


http://le-new-blog-info.over-blog.com/

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De toutes façons, les Américains, venus en sauveurs à la FIN de la guerre, 300.000 morts. Les Russes, véritables libérateurs, plus de vingt millions de morts.  On est en train de réécrire l'Histoire (comme dans les manuels d'histoire), sous la férule des néo-sionistes, on est en train de la FALSIFIER.

Et les Américains ont raflé la mise, ensuite : Ils ont bâti leurs hégémonie sur les décombres de l'Europe. Industrie de la reconstruction, plan Marshall, etc....

Je rappelle aussi que de grand industriels de la Chimie, américains, étaient  partie prenante avec les Nazis.. On a retrouvé des Labos américains à côté des camps de concentration !

Il est temps de rétablir la vérité !

Eva R-sistons




Commentaire rempli d'humour, d'un grand écrivain :


REVISIONNISME HISTORIQUE !


Eva tu es une méchante dame ! les américains sont venus à notre secours en 14...euh, en 17, je veux dire en fait en 18 (attends hé, le temps de former ces grands dadais et c'est déjà l'armistice : Lafayette nous voilà ! bon avec un léger retard, c'est vrai.

Ils sont venus à notre secours dès 40, heu, en fait ils ont eu un ambassadeur chez Pétain jusqu'en 42...bon c'est vrai que c'est politiquement incorrect de dire que c'est Hitler qui leur a déclaré la guerre et non l'inverse, mézenfin, ce n'est que dans les westerns que la cavalerie us arrive à l'heure.Tu as dit bombardements aveugles, viols, Amgot (ben oui, il fallait bien diriger directement la France et les français, un peu comme l'Irak).Quoi, tu me dis Eva que le plan Marshall n'était pas désintéressé, qu'il y a eu des contreparties ! oh ben alors, les bras m'en tombent.Imagine le soldat us sur le front de l'est, confronté à l'hiver, aux privations, lui qui a besoin de son coca et de son appareil à fabriquer le cônes de glace : pulvérisation garantie, la wehrmacht avec ses unités blindées les aurait pilés(cf Kasserine, première confrontation contre les allemands), ils n'auraient pas eu le temps de s'aguerrir(même la campagne d'Italie a tourné à leur confusion tellemnt que les anglais se marraient derrière leur dos).Au contraire, le soldat soviétique, au prix de sacrifices inouïs, au prix de pertes horribles n'a pas craqué : comme l'avait dit un grognarde de Napoléon "les russes, il ne suffit pas de les tuer, il faut en plus les pousser dans le fossé une fois morts".Rien n'a changé !

En fait tu as raison, c'est d'un véritable révisionisme historique qu'il s'agit.


MORSLI, http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/article-32928789-6.html#anchorComment

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 18:19





9 000 milliards de dollars à la FED disparus
et le silence des médias



9 000 milliards  de dollars soit  9 billions en Francais , ou 9 trillions en norme
US  ou encore  9 000 000 000 000 $ (en chiffres ça parle tout de suite plus) l'équivalent de 30 000 dollars pour chaque americain  ou plus serieusement

1500 dollars pour chaque habitant de la planete ( sachant que nombre d'eux ne gagnent pas plus 1 dollars par jour )

quatre fois ce que le trésor USA doit à la Chine. C’est 100 000 euros pour chaque Français

voila le triste resultat du vol de la FED dont on vient de decouvrir le pot aux roses et étonnement : Silence dans le medias (depuis le 6 mai 2009)

Pourtant on avait fait un foin du diable concernant l'affaire Kerviel : 5 milliards

ou dernierement l'affaire Madoff : 50 milliards

Au regard de la somme faramineuse, vraiment des petits joueurs

Pourquoi une telle omerta dans l'information ? il y a t'il un mot d'ordre lancé pour ne pas faire de vagues sur cette histoire  donc la source est une video/ débat surealiste entre  le rep Alan Grayson  et une inspectrice generale de la FED au sénat americain :

Je vous joins la vidéo pour ceux qui comprennent la langue, pour les autres un résumé traduit, et de toutes façons il suffit de voir l’air embarrassé, et les incohérences de l’inspectrice de la FED pour comprendre.


VIDEO

ON NE SAIT PAS OU EST PASSE L'ARGENT!!!!!!
DANS L'HISTOIRE DE LA FINANCE AMERICAINE IL N'Y A PAS DE PRECEDENT
COMME CELUI-CI.

-Inspecteur Sherman, vous êtes bien inspecteur à la fédérale réserve?

-Absolument

-Vous avez conduit une enquête je suppose sur le rôle de la FED dans
l'aide accordée a LEHMAN BROTHERS ?

-Dans cette affaire particulière, nous n'avons pas conduit d'enquête

-Avez vous diligente une enquête sur les trillions de $ qui ont disparu
de vos livres comptables aux dire de Bloomberg?

-Nous avons actuellement regardé pour évaluer les risques

-Cela je le comprends mais avez vous fait une enquête spécifique sur ce
sujet précis?

-(hésitation) Nous sommes dans le processus de commencer quelque chose
a ce sujet.

-Vous êtes l'inspecteur général, alors connaissez vous l'identité de
ceux ou celui qui sont receveur des fonds?

-Concernant cette transaction nous n'avons pas encore enquêté sur ce
point précis.

-Etes vous au courant de la disparition de ces trillions de $ qui ont
disparu de vos livres comptables?

-Nous n'avons pas conduit d'enquête spéciale dans notre juridiction à
ce sujet pour la clarifier, et nous n'avons pas juridiction non plus
pour certains détails de l'enquête.

-Madame, 9 trillions de $ ce qui représente $30,000 par chaque habitant
américain, incluant toutes couches de population, vous me dites ne
pas être responsable de l'enquête, alors qui l'est?

-(hésitant) qui est responsable concernant l'enquête.............
pouvez vous reposer la question!

-Qu'avez vous fait concernant la disparition de cette argent sur vos
livres aux dires de Bloomberg, pour un montant de 9 trillions de $,
dans les 8 derniers mois?

-Je dois regarder l'article de Bloomberg, articles d'ailleurs que je
n'ai pas lu.

-Madame ce n'est pas la question! Je repose la question, ou sont passés
les 9 trillions de $ disparus de vos comptes?

-A ce point nous conduisons une enquête a haut niveau

-Avez-vous conduit cette enquête depuis septembre dernier?

-Nous sommes en train de collecter les informations pour savoir ce qui
se passe concernant ce sujet.

-Vous êtes en train de me dire que personne ne suit la trace d'une
façon régulière de la disparition de cet argent!!

-Je ne sais pas et nous ne sommes pas en position de pouvoir dire si
c'est une perte ou quoique ce soit d'autre

-Mon temps est écoulé Mrs Chairman, mais je suis choque que personne a
la FED ou même l'inspecteur générale ne puisse avoir trace de tout ceci.

Après Vous n’auriez pas vu mon or?, voici une nouvelle péripétie d’une dimension inimaginable.

On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars

Disparus, volatilisés, plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA. Je n’ose imaginer les motivations et les mécanismes qui se cachent derrière ce qui constitue – à mon très humble avis – un détournement de fonds organisé par quelques banksters privilégiés, qui ont compris que le système qu’ils ont mis en place court à sa perte et va s’effondrer.

Pendant que la population devra trimer dur pour tenter de réparer les dégâts et rebâtir une nouvelle société sur les ruines du mercantilisme et du monétarisme mis en place par les autorités américaines à la botte de ces mêmes bangsters, ces derniers auront probablement déjà pris la poudre d’escampette après avoir accumulé des fortunes qu’ils auront précautionneusement fait sortir du pays et placés dans des actifs tangibles.

Cette fortune accumulée par les bangsters constitue la plus grande escroquerie jamais mise en place, le système pyramidal d’exploitation de la population le plus monstrueux qui n’ait jamais été manigancé, et qui leur permettra de se mettre bien à l’abris en attendant que les conséquences du Tsunami s’estompent, mais plus grâve encore, leur permettra ensuite de refaire surface une fois que la crise touchera à sa fin, dans plusieurs années au minimum, pour perpétuer leur domination sur le système économique grâce aux fortunes qu’ils auront accumulées, et céder en héritage à leurs descendants un contrôle élargi du pouvoir politique.

La catastrophe se rapproche à grandes enjambées et il devient selon moi urgent et impératif de fuir les marchés d’action à toutes jambes. La baisse soudaine du dollars US la semaine dernière et la hausse simultanée des taux sur les obligations à long terme du trésor US (voir l’analyse On ira pas plus haut!) sont les signes précurseurs d’une crise monétaire et financière en voie d’accélération, dont on ose à peine imaginer les conséquences.

En 2001, le 10 Septembre, c’est-à-dire la veille des funestement célèbres attentats du 11 Septembre 2001, Donald Rumsfeld déclarait que le Pentagone avait égaré de manière inexpliquable la somme de 2300 milliards de dollars US.

VIDEO
 

a titre informatif : 500 milliards de dollars US correspond environ au budget annuel de la defense : 9 000 milliards ! de quoi faire tourner la machine de
guerre pendant 18 ans 

http://www.lepost.fr/article/2009/05/27/1552985_9-000-milliards-de-dollars-a-la-fed-disparu-et-le-silence-des-medias.html

 

On peut donc logiquement s'attendre à l'effondrement du dollar américain d'ici la fin de l'année 2009. Ce serait ainsi le deuxième volet de la crise financière actuelle, et de loin le plus destructeur...

 

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 08:03


publié par
roland (Dazibaouebmaster) Hier 11H03

Manifestation à TéhéranPar emcee (des bassines et du zèle)

Iran: pourquoi tant d'émeutes?

On se le demande, en effet. Et une telle médiatisation relève de l'obsession. Les médias n'ont pas fait tant de raffut, chez nous en France, quand les manifestations – pacifiques - le soir de l'élection de qui nous savons ont été durement réprimées.

"Quand je vois ce que disent les médias sur mon pays que je connais bien, je me dis que je ne dois rien croire de ce qu’ils disent sur d’autres pays que je ne connais pas ! "
Daniel Ortega

J'ajouterai: quand je vois ce que les médias disent de sujets que je connais bien, je me dis que je ne peux pas croire qu'ils parlent vrai sur des sujets dont je n'ai pas la maîtrise.
Et quand je vois que les mêmes médias sont tous tributaires de groupes ou de personnes dont les intérêts sont inversement proportionnels à ceux des peuples, je doute sérieusement de l'objectivité et du philanthropisme qu'ils seraient tentés de revendiquer.
Est-ce du cynisme? du complotisme? Peut-être.

Mais il y a tout de même des indices qui peuvent laisser perplexe.
Car toute l'histoire de l'impérialo-capitalisme est émaillée d'exemples finalement avérés de mensonges, de manipulations, de propagande, d'assassinats de chefs d'état ou d'opposants, de faux prétextes de guerre, d'installation de marionnettes aux bottes de l'occident (avec à leur tête les US), d'alliance avec des dictateurs sanguinaires, de diabolisations de dirigeants récalcitrants, de coups fourrés de la CIA et d'autres services secrets, d'embargos et de blocus scandaleux, j'en passe. Et pourtant, là encore, il y a eu une discrétion médiatique de rosière.

Pourquoi ce qui se passe en Iran est-il brusquement exempt de cette retenue?

Et l'abominable président sortant iranien, si impopulaire comme le disent les médias, seul contre tous, aurait-il eu la possibilité de truquer les élections au point de gagner par 62% des voix, alors qu'en fait le pouvoir de l'argent (dont la famille Rasfanjani) et la puissance des US étaient derrière le conservateur réformiste Moussavi?
J'ai des doutes.
Pas vous?


Voici un article un peu différent sur le sujet.
"The Iranian Election and a Hysterical Media"
Publié par
Dissident Voice, le 15 juin 2009

Les élections iraniennes et l'hystérie des medias occidentaux

Et voici l'hystérie et les mensonges éhontés. A la suite des élections présidentielles en Iran, divers commentateurs et prétendus journalistes des Etats-Unis réagissent comme si la fin du monde était proche. Même si personne n'en a la certitude et que tout le monde n'a à se mettre sous la dent que ce qu'en disent les experts des médias occidentaux et un candidat furieux, pratiquement toutes les sources de la presse traditionnelle disent que l'élection d'Ahmadinejad résulte d'une fraude.
Ni cela a été confirmé par une source objective, ni il n'y a de preuves qui aillent plus loin que les spéculations de la clique des médias qui, soit cherchent à répandre une rumeur, soit sont tellement sûrs de ce qu'ils croient être la nature foncièrement vile du personnage qu'ils sont incapables d'imaginer qu'il ait pu être réélu.
L'article de Bill Keller dans le New York Times en est une bonne illustration.


Dans ce texte, Ahmadinejad est une fois de plus traité à tort de négationniste et le soutien des électeurs a été attribué essentiellement à des paysans misogynes et à des fonctionnaires qui d'une façon ou d'une autre profitaient de ses bienfaits. Les partisans du candidat réformateur conservateur Moussavi y étaient présentés sous un jour beaucoup plus favorable.
Ce qui n'a pas été du tout effectué dans l'article de Keller et dans beaucoup d'autres articles dans les medias traditionnels aux Etats-Unis (et dans les magazines progressistes comme The Nation), c'est une analyse véritable à la fois de la classe sociale des partisans de chaque candidat et le rôle que joue Washington dans la perception qu'ont les médias de la politique iranienne. L'affirmation la plus honnête dans tout l'article de Keller, c'est: "Samedi, c'était la colère qui couvait, les espoirs anéantis depuis les rues de Téhéran jusqu'aux milieux politiques des capitales occidentales".
Keller et ses collègues journalistes partent du principe que les désirs des capitales occidentales, surtout Washington, doivent être importants pour les Iraniens.
Alors que c'est peut-être le cas pour une minorité de personnes dans les milieux universitaires et ceux des affaires, le fait est que l'occident, et en particulier Washington, n'est pas bien vu par la majorité de la population iranienne.
Non seulement ils sont au courant des décennies d'intervention occidentale dans leurs affaires intérieures, mais de savoir que des milliers de soldats US continuent de ferrailler dans deux pays voisins de l'Iran les incite à rejeter et détester Washington. Pourquoi devraient-ils faire quoi que ce soit pour lui complaire?

Et pourtant, dans l'esprit des médias américains, ce sont les besoins de Washington qui sont au centre des débats.
Quant à l'analyse sur les classes sociales …
A tort ou à raison, Ahmadinejad séduit apparemment la majorité des paysans et des ouvriers en Iran. Tout comme, pendant la révolution française, Marat et les Jacobins étaient suivis par les paysans et les pauvres dans les villes tandis que Brissot et les Girondins étaient soutenus par les commerçants et les classes instruites, le soutien à Ahmadinejad vient de ceux qui ont besoin de pain pour manger alors que celui à Moussavi provient de ceux qui ont du pain à revendre, mais qui veulent plus de libertés civiles.
Alors qu'il est sûrement vrai que la politique d'Ahmadinejad a créé autant de problèmes économiques qu'elle n'en a résolus, le fait est que ses partisans croient à sa promesse de campagne de 2005 de récupérer les bénéfices du pétrole pour les mettre directement dans leur assiette. Les déclarations de Moussavi concernant la réduction des subventions sur les marchandises qui profitent aux pauvres lui ont fait plus de tort parmi cette tranche de la population que ne veulent bien l'admettre ses partisans.
Dans un article du Washington Post, publié la veille des élections, il était dit (en plus du fait qu'Ahmadinejad avait gagné les élections avec un score "étonnant" de 62% des voix) que sa politique économique comprenait "la distribution de prêts, de subventions et d'aides pour des besoins locaux". Une de ces mesures concernait une assurance pour les femmes qui fabriquent des tapis à leur domicile et qui travaillaient sans protection sociale avant qu'Ahmadinejad ne prenne le pouvoir.
Ses détracteurs, parmi lesquels Moussavi, prétendent que "sa politique de dépenses libres a alimenté l'inflation et dilapidé la manne de pétrodollars sans faire baisser le taux chômage".
Il y a d'autre éléments en jeu ici, parmi lesquels la corruption légendaire de certains leaders non élus en Iran et le rôle que joue la crise économique internationale dans l'économie de chaque pays – facteur dont l'Iran n'est pas exempt. De plus, la nature spécifique d'une économie islamique qui mêle Etat et intérêts privés crée un conflit permanent entre ceux qui veulent tout nationaliser et ceux qui veulent tout privatiser.

En considérant ce que cela signifie pour les relations entre Washington et Téhéran, ils ne cesseront pas de suivre la voie, quelle qu'elle soit, que Washington souhaite leur voir prendre. Tel-Aviv, qui a condamné le résultat des élections, n'aurait pas modifié son ambition d'écraser Téhéran quel que soit le vainqueur des élections. Le fait qu'Ahmadinejad ait été réélu facilite, évidemment, la tâche à Tel-Aviv pour poursuivre la diabolisation de la seule véritable menace qui pèse sur son hégémonie sur la région.

La vérité cependant, c'est que le président iranien n'a, en fin de compte, aucun pouvoir sur la voie choisie pour la politique étrangère en Iran. Ce pouvoir reste entre les mains du Conseil des gardiens de la Constitution et du pouvoir législatif. M. Obama serait bien inspiré de poursuivre ses efforts de négociations sans conditions. Il serait également bien avisé de mettre un terme à toute activité clandestine menée actuellement contre le gouvernement iranien.

Quant aux médias occidentaux, ils feraient bien de s'informer sur la véritable nature de la politique et de la société iranienne au lieu d'opter pour l'idée que "ce qui est le mieux pour Washington est le mieux pour l'Iran". En revanche, ces médias devraient s'intéresser au point de vue opposé à celui de Washington dans tous leurs reportages concernant la scène internationale.

Pour la gauche, la réponse est claire. La situation en Iran a changé. C'est ce qui est ressorti avant les élections de la popularité apparente de Moussavi et d'autres réformateurs agréés officiellement. Les contestations concernant le résultat des élections en sont encore plus la preuve.
Toutefois, ni Ahmadinejad ni Moussavi ne représentent une véritable rupture avec le pouvoir du bazar et du conseil religieux dont il désigne les membres. Le souhait de libertés civiles supplémentaires doit aller de pair avec le besoin d'une justice économique. Ces deux aspirations sont, semble-t-il, antinomiques aujourd'hui. Apparemment, seul un mouvement de gauche serait capable de réunir les deux dans un pays divisé entre villes et campagnes; la bourgeoisie, les ouvriers et les habitants des campagnes. C'était le cas avant la prise de pouvoir lors de la révolution iranienne par les forces religieuses conservatrices en 1980 et cela pourrait être à nouveau le cas.

Ron Jacobs is the author of The Way The Wind Blew: A History of the Weather Underground. His most recent novel "Short Order Frame Up" is published by Mainstay Press.

Note perso


Quant aux élections "truquées", si c'est prouvé, elles font grand bruit, contrairement aux élections ouvertement truquées de GW Bush en 2000 et de celles des marionnettes que les US ont installées partout dans le monde.


Sans parler des élections démocratiques qui ne sont pas reconnues par la "communauté internationale", comme en Palestine. Ou celles qui ne sont pas reconnues comme légitimes et estampillées "dictature", comme pour Chavez. Juste deux exemples parmi tant d'autres.


(Voir ici:
Une hystérique propagande contre l’Iran
Voir aussi d'autres billets sur la question sur le site du Grand Soir

US confirms it asked Twitter to stay open to help Iran protesters
Obama administration asked Twitter website to postpone temporary shutdown
(Le gouvernement US a demandé à Twitter de reporter la fermeture temporaire de leur site afin que les contestataires puissent communiquer entre eux. Si c'est pas gentil, ça!)
Oil Horizons for Rasfanjani and the Majors (prévisions de circulation du pétrole)

 


Source: Des bassines et du zèle

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=4432


_______________________________________________________________________________________



Commentaire de Morsli :


J'aime aussi beaucoup l'expression "défier la communauté internationale" accolée à l'Iran et à la Corée du nord : voyons,voyons, la majeure partie de l'humanité, en Afrique, en Amérique latine, en Asie, éprouve de la compréhension pour le fait de vouloir posséder l'arme nucléaire pour dissuader les barbares de les agresser.Qu'on demande aux irakiens s'ils n'auraient pas préférés en être pourvus ! ces baveux de journaleux octroient aux usa, à Israël et à leurs larbins, le statut de représentants de la communauté internationale : nein mein kameraden, vous ne représentez que vous mêmes.Bon week-end Eva.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 08:01
publié par liliM Avant-hier 08H51

17.06.2009

Un blogueur a-t-il le droit de rester anonyme ?

Egypte_louvre_285_scribe.jpgQue seraient les blogs sans les pseudos ? Des blogs, encore, mais plus vraiment les mêmes. Aussi « attention aux abus » nous rappelle une décision de la Haute Cour de justice britannique rendue hier à propos d'un célèbre flic blogueur d'Outre-Manche.

L'histoire est simple. Un inspecteur de police britannique a, en février 2008, ouvert un blog qui, comme tout blog digne de ce nom, est à implication personnelle maximale. Le blogueur ? Jack Night. Jack Night, c'est la tenue de camouflage de ce policier, qui écrit en tant que policier, à propos des affaires de famille de la police et sur les affaires pour lesquelles elle enquête. Et, parce que c'est ça un blog, le flic ne parle pas que des affaires de flics : de la vie, de la société, de la politique.

« J'ai voulu écrire sur là où nous ont mené vingt ans de réformes de la police parce que je pense que les changements ne sont pas toujours bons », avait  déclaré notre inspecteur à The Independent. Un ton et des sujets traités qui ont percuté, avec grosse audience à la clé. Ce mois de mai 2009, Jack Night a reçu le prix Orwell qui récompense les meilleurs auteurs et journalistes politiques. Juste après avoir arrêté le blog, ce mois d'avril.

Il faut dire que l'inspecteur de police publiait des textes tout de même assez proches des affaires réelles, racontait l'ambiance maison avec un véracité très crue, et donnait parfois quelques petits conseils pas méchants pour mieux jouer à cache-cache avec les pandores. Surtout The Times raconte que certaines infos publiées ont pu influer sur le sort d'affaires en cours. De quoi titiller son administration, qui lui a aurait collé un blâme disciplinaire, et The Times, qui est parti à sa trace, a déniché l'inspecteur blogueur, et s'apprête à publier son identité. ecrivain1.jpg

A la parade, son avocat, Hugh Tomlinson, a saisi la Haute Cour de justice britannique pour imposer le respect de l'anonymat.

Et bien pas d'accord, répond le juge Eady : « Bloguer est une activité publique et non privée. » (Blogging is essentially a public rather than a private activity). Aussi, l'intérêt du public de connaître ses sources d'information prévaut face au respect de la vie privée d'un blogueur anonyme. En ajoutant : « Il est dans l'intérêt du public de savoir comment certains officiers de police se comportent et les lecteurs des journaux pourront tirer leurs propres conclusions quant à l'activité de cet officier ».

The Press Association publie des extraits du jugement. Il faut être prudent dans l'analyse, mais le raisonnement du juge, qui se construit en deux temps, me semble tout-à-fait transposable.

- Un blog, aussi personnel soit-il, est une activité de communication publique, et relève, s'agissant du contenu, du régime général de la presse. Ce qui signifie aussi que le blogueur, quand il est tenu par une déontologie, s'exprime dans les limites de ce cadre professionnel.

- Il est certainement possible de communiquer sous un pseudonyme. Mais c'est à la justice, saisie d'une demande particulière, d'apprécier au vu des intérêts en cause, jusqu'où elle peut aller, et notamment lever l'anonymat qu'avait choisi le  blogueur.

Tentons de reprendre pour le flic blogueur. Il est libre d'ouvrir un blog, anonyme ou pas. Mais, en droit français, il doit, en tant qu'agent public, concilier la liberté d'expression et le devoir de réserve auquel il est tenu. Aussi, la révélation, même floutée, d'infos dont il a eu connaissance dans le cadre professionnel, marque la limite et autorise le juge, à revenir de manière proportionnée sur cet anonymat, qui est une facilité mais pas un sanctuaire. Un équilibre pas évident, et les blogs ont fait bouger les lignes, car rien de ne sert d'ouvrir un blog si c'est pour distiller de l'eau tiède.

 

personnage.jpg

Source : publié sur actualités du droit par Giles Devers


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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 07:52


publié par
roland (Dazibaouebmaster) Avant-hier 07H18

PropagandeDe Article 11

Dans l'effroyable combat que se livrent quotidiennement le Bien et le Mal, Le Figaro a choisi son camp. Et le journal, menant pied à pied la lutte contre le laxisme sécuritaire, ne rate pas une occasion d'apporter son soutien au régime et à ses exécutants les plus fidèles, les hommes en bleu. La preuve aujourd'hui, avec un article joliment mensonger sur les rapports entre police et population.


La propagande du régime est un apostolat quotidien.

Et je ne doute guère que ses soutiers les plus zélés remettent quotidiennement leur ouvrage sur le métier, pressés par un constant souci du perfectionnisme et motivés par l'ardent désir de toujours mieux servir le pouvoir, soucieux de prêter main-forte aux audacieux réformateurs qui dirigent ce pays et disposés pour cela à fouler aux pieds quelques principes de pacotilles, qu'il s'agisse d'une quelconque rigueur intellectuelle ou d'éventuelles - et superfétatoires - règles déontologiques.

Ainsi des journalistes du Figaro, dont il se murmure que certains posséderaient même une carte de presse.

Et qui - rendons à la propagandstaffel ce qui revient à la propagandstaffel - ne mégotent pas leurs efforts pour seconder Nicolas Sarkozy.

Faisant preuve d'une inventivité si remarquable en la matière qu'on n'en trouve l'équivalent que dans quelques nations en pointe - in Kim Jong Il memoriam.

Et prouvant avec talent combien une totale absence de scrupules est la meilleure des garanties de réussite professionnelle.


A l'aune de ces considérations générales, gageons que le prétendu journaliste Christophe Cornevin ne devrait pas tarder à atteindre les plus hautes fonctions dans l'appareil gouvernemental de communication.

Tant cet employé du Figaro a su traiter la délicate question des rapports entre police et population avec autant de tact que d'à-propos, qualités si évidentes qu'elles ne saurait manquer d'arracher à son big boss, Serge Dassault aka l'homme-qui-agitait-des-liasses-de-biftons-à-l'oreille-des-électeurs, le sourire de satisfaction complice du meneur d'hommes enchanté de vérifier combien l'équipe qu'il s'est constituée abat un boulot d'enfer, bravo mon petit, ça c'est balancé !

L'article est titré Les plaintes contre des policiers diminuent.

S'appuie sur la publication - aujourd'hui - du rapport de l'Inspection générale de la police nationale.

Évoque notamment le recul de 30 % en cinq ans des enquêtes de la police des polices.

Et dresse un tableau si enthousiaste de l'action policière qu'il donne envie de faire remarquer à son auteur que là, oui juste là, oui au coin des lèvres, il lui reste encore un petit peu de ce truc blanc qui fait - quand même, c'est étrange… - furieusement penser à du liquide séminal.

« Tableaux et courbes à l'ap­pui, le patron de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), Dominique Boyajean, a ainsi révélé que ses services ont ouvert l'an­née dernière 1 348 en­quêtes, soit 30 % de moins qu'en 2004 », se félicite Christophe Cornevin, qui poursuit un peu plus loin : « Le bilan met en évidence que les soupçons de violences visant les po­liciers ont chuté de 19,5 %, passant de 727 en 2007 à 585 l'année dernière. "On vise le zéro défaut, c'est-à-dire une police efficace et irréprochable, confie-t-on à l'IGPN. Pour ce faire, nous sommes de plus en plus pointilleux, dès le recrutement, sur l'idée de déontologie." »

Une police « efficace », dit l'IGPN ?

Une police « irréprochable », dit l'IGPN ?

Mieux, répond le plumitif du Figaro : « Désormais, le moindre dérapage d'un policier, que ce soit dans son métier mais aussi dans sa vie privée, n'est plus guère toléré. »

Avant de souligner que « pas moins de 3 423 sanctions ont été infligées en 2008, soit 3,2 % de plus que l'année précédente ».

Et de terminer par un joyeux cocorico tricolore : « Aujourd'hui, la traque du "dé­rapage" s'exprime sous toutes les formes. »

Chouette !


Le lecteur du Figaro ne saura manquer d'être convaincu par la belle dialectique de l'auteur de l'article.

Lequel mène - reconnaissons-le - brillamment sa barque.

Puisqu'il réussit cet épatant raccourci, que vous ne manquerez pas de savourer à sa juste valeur :

A : S'il y a moins d'enquêtes de la police des polices,

+ B : C'est bien la preuve qu'il y a

+ C : Moins de violences causées par les policiers

+ D : Et

+ E : S'il y a plus de sanctions infligées

+ F : C'est bien la preuve qu'il y a

+ G : Moins de tolérance à l'égard des flics qui font un usage inconsidéré de la matraque, lesquels se trouvent par ailleurs être de moins en moins nombreux. (retour à la proposition A, c'est reparti pour un tour)

Rien à dire : c'est du beau boulot.

Chapeau !


Bien sûr, il se trouvera quelques esprits chagrins - ceusses qui auraient entendu parler de la multiplication de mises en cause de flics d'autant plus enclins à la violence qu'ils savent bénéficier d'une jolie impunité et qui n'ignorent pas combien il est désormais difficile aux citoyens de porter plainte contre des pandores dégainant immédiatement l'accusation d'outrage - il s'en trouvera, disais-je, pour mettre en doute la conclusion du journaliste du Figaro.

Et il s'en trouvera aussi - je n'en doute pas - qui auront la curiosité de consulter quelques autres articles sur ce rapport de l'Inspection générale de la police nationale.

Ces derniers auront une sympathique surprise, celle de constater que la tonalité du papier diffère totalement dans les autres médias.

Pour l'excellente raison que les autres journalistes ont mis l'accent sur la hausse du nombre de sanctions [1], laquelle laisse au lecteur le sentiment justifié que les dérapages policiers ont augmenté, quand Christophe Cornevin a préféré s'appuyer sur la baisse du nombre de plaintes, laquelle pourrait laisser au lecteur le sentiment mensonger que les dérapages policiers ont diminué.

Ainsi que pour la non moins excellente raison que les autres plumitifs ont mis au conditionnel ou au style indirect les grands cris de satisfaction poussés par la hiérarchie policière, quand Christophe Cornevin les a repris à son compte.

En clair : c'est juste un gros pipotage de première.


Vous me direz : rien de neuf sous le soleil de la sarkozye.

Puisque Le Figaro a toujours excellé à faire reluire ces chiffres maquillés dont le régime considère qu'ils sont sa meilleure publicité.

C'est vrai.

Mais ça n'empêche pas de distinguer le plus méritant des communicants gouvernementaux dans un journal qui en compte beaucoup.

Et un homme capable d'écrire que « le moindre dérapage d'un policier, que ce soit dans son métier mais aussi dans sa vie privée, n'est plus guère toléré » mérite à l'évidence une jolie distinction.

Tant elle va contre cette réalité qu'Amnesty Internationale - entre autres associations et intervenants - ne cesse de dénoncer.

Par exemple dans un rapport publié en avril et intitulé "France : des policiers au-dessus des lois" [2].

Ou dans le "Rapport 2009 sur la situation des droits humains dans le monde" qui constate que « les procédures françaises d'enquête après des mauvais traitements par les forces de l'ordre ne sont pas menées de façon conforme aux normes internationales, ce qui se traduit par une impunité de fait » et « regrette l'impunité de fait des auteurs policiers de violence ».

Mais ça, Cornevin ne pouvait pas être au courant.

Hein…


[1] Par exemple, ici, , ou encore ici.

[2] L'intitulé du rapport est suffisamment parlant, n'est-ce pas ?

 


Source: Article 11

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=4400

 

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:47



Iran : l’incroyable désinformation


Très rapidement après l’élection présidentielle Iranienne, les médias Français ont repris à leur compte les accusations de fraude propagées par les partis battus. Pourtant, en approfondissant le sujet, on trouve extrêmement peu d’indices allant dans ce sens.
 
Libération n’hésite pourtant pas à sous-titrer :Comment la communauté internationale a-t-elle réagi à la fraude électorale en Iran ? Le Point donne la parole à des experts affirmatifs : PAROLE D’EXPERT- "Une victoire difficile à comprendre sans fraude massive" . Pourtant dans l’article aucune précision, juste quelques vagues suppositions. L’express voit les choses en grand affirmant que : la réélection en elle-mêmed’Ahmadinedjad, jette aujourd’hui des millionsd’Iraniens dans la rue, et pas seulement à Téhéran, pour que la volonté populaire soit respectée dans unarticle à sens unique.
 
Sur quoi repose cette certitude ? Sur extrêmement peu de choses :
Le peu prudent site Rue89 les énumère :
- Mir Hossein MoussaviMehdi Karoubi et Mohsen Rezaee, les trois candidats battus à l’électionprésidentielle ont d’ailleurs annoncé avoir déposé plainte auprès du Conseil des gardiens de la Constitution,après avoir constaté 646 irrégularités.
Des opposants contestant des résultats, ce n’est pas nouveau. On a aucune précision sur les 646 irrégularités.
 
- Toujours d’après Rue89, The Guardian rapporte que le site Ayandeh, resté neutre pendant la campagne, a constaté un taux de participation qui a dépassé 100% dans 30 villes d’Iran.
En ajoutant plus loin : ces déclarations sont impossibles à vérifier.
En cherchant un peu, on trouve quand même des précisions sur le site "neutre" Ayandeh :
C’est une vitrine de l’Iran Futurist Foundation, une fondation d’Iraniens Américaine, qui adhère apparemment à tous les thèmes défendus par les USA. Pas tout à fait une source sûre.
- Enfin, des information stupéfiantes d’un mystérieux informateur anonyme, fonctionnaire du ministère de l’intérieur, qui aurait été arrêté par les autorités iranienne, et qui parle de bassidji (“volontaires” des milices islamiques) qui auraient pris le contrôle des terminaux de totalisation des votes.
Après quelques recherches, on s’aperçoit que Libération est la seule source de cette information, qu’on ne connaît pas l’identité de la personne, qu’aucune autre source ne parle de cela, que rien ne permet de le confirmer. Tout cela se termine en roman-photo : "Selon « Libération », des témoins l’ont vu se faire empoigner par des policiers le lendemain, alors qu’il s’apprêtait à sauter par la fenêtre du neuvième étage du bâtiment.".
 
Apparemment, les médias Français n’hésitent pas à sauter sur la première info non vérifiée qui passe et à la reproduire stricto-senso : "Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad est de nouveau accusé d’être impliqué dans l’assassinat d’un opposant kurde à Vienne en 1989, révèle ce jeudi un parlementaire autrichien, qui a rendu public un témoignage inédit dans cette affaire." Suivent des explications vagues qui suscitent le rire ou la consternation, au choix.
 
Le gouvernement Français n’est pas en reste. Sarkozy dénonce "l’ampleur de la fraude", alléguant que celle-ci "est proportionnelle à la violence de la réaction" tandis que mr Kouchner se dit "convaincu que quelque chose s’est passé". Rama Yadé va jusqu’à affirmer "L’ambassade de France attaquée", avant de se voir apparemment tancée par mr Sarkozy.
 
Alors, devant un tel déferlement, que faut-il penser ? On a pas beaucoup d’éléments disponibles, mais il y en a qui apparaissent peu à peu.
D’abord, des sondages préélectoraux très favorables à Ahmadinejad :
”Le sondage d’opinion mené à Téhéran ainsi que dans 29 autres capitales provinciales et dans 32 villes importantes du 3 au 4 mai, indique que 58,6% personnes interrogées voteront en faveur d’Ahmadinejad, alors que 21,9% choisiront Mousavi.
Dans un autre sondage plus récent mené à Téhéran, 44,8% de personnes interrogées ont estimé que eu égard au choix entre Ahmadinejad et Mousavi, ils opteraient pour l’actuel président principaliste pendant que quelque 29% éliraient Mousavi. "
 
Le "Payam magazine", le journal de la communauté iranienne de Los Angeles, cité par Courrier International, allait dans ce sens :
"Le président iranien se présente pour un deuxième mandat le 12 juin. Malgré une forte contestation enIran, il a toutes les chances d’être réélu, estime Payam magazine."
 
Alors, truquées les élections ?
 
En cherchant un peu, d’autre vérités apparaissent, comme 7sur7.be :
 
Mais alors qu’une poignée seulement d’observateurs indépendants étaient sur le terrain pour rendre compte du déroulement du vote, les experts de l’Iran qui se sont penchés sur les résultats sont dans l’embarras pour établir une analyse claire de la situation et, le cas échéant, révéler une éventuelle fraude.
Ken Ballen, président du groupe de réflexion "Terror Free Future" basé à Washington, avait conduit il y a trois semaines un sondage par téléphone auprès de 1.001 Iraniens. Cette enquête, conforme aux résultats de samedi, donnaient une confortable avance pour M. Ahmadinejad, avec 34% des intentions de vote, contre 14% pour M. Moussavi
.
"M. Ahmadinejad était devant, à deux contre un. Est-il plausible qu’il ait remporté l’élection ? Oui", avance M. Ken
, tout en soulignant que 27% des personnes interrogées au moment du sondage étaient indécises et que "tout a pu changer" le jour de l’élection.

Incohérences

Les partisans de M. Moussavi pointent eux la grande rapidité avec laquelle des millions de voix ont été comptées, ou encore la victoire surprise de M. Ahmadinejad dans la propre ville de M. Moussavi
.
M. Moussavi fait partie de la minorité azéri, importante dans cette région, dont les électeurs auraient -théoriquement- dû voter pour lui, remarque Ali Alfoneh, un expert de l’Iran de l’American Enterprise Institute. Mais là encore, les analystes en restent au stade de la spéculation, d’autant que le sondage mené par M. Ballen montre que seulement 16% des Iraniens azéris entendaient voter pour M. Moussavi, contre 31% pour M. Ahmadinejad
.

Analyses

Walter Mebane, un universitaire du Michigan (nord), a également passé à la loupe les résultats de l’élection, grâce à une série d’outils statistiques conçus pour détecter les fraudes, baptisés "autopsie d’élection". Les moyens d’analyse divergent, mais les résultats sont finalement les mêmes : en comparant les données de 366 districts avec ceux de la précédente élection présidentielle en 2005, M. Mebana a relevé que les résultats de samedi étaient conformes aux tendances qui existaient précédemment.
"En 2009, M. Ahmadinejad a fait ses meilleurs scores dans les villes où il bénéficiait déjà de ses plus forts soutiens en 2005", explique le spécialiste, tout en soulignant que les informations fournies par les autorités iraniennes ne sont pas assez détaillées pour faire une analyse exhaustive.

"Décompte réaliste"

"Le décompte des voix que j’ai vu est relativement réaliste, mais cela n’exclut en rien la possibilité d’une manipulation", 
dit-il, expliquant par exemple que ses propres résultats auraient été globalement identiques même si le gouvernement iranien avait légèrement gonflé le décompte des voix.
 
Le GrandSoir partage ces évidences, s’appuyant sur un article du Washington post :

"Et pourtant la forte participation, estimée à environ 85%, était présentée comme la garantie d’une victoire écrasante d’Ahmadinejad, considéré comme l’allié des iraniens plus traditionnels des classes ouvrières et paysannes

C’est ce qu’affirment Ken Ballen and Patrick Doherty dans un article du Washington Post qui citent les conclusions d’un sondage qu’ils ont mené à travers tout le pays au mois de mai et qui prévoyait pratiquement la même avance en voix - de l’ordre de 2 pour 1 en faveur d’Ahmadinejad - que celle annoncée à la sortie des urnes.

Ballen et Doherty démolissent aussi un des principaux arguments avancés par de nombreux observateurs qui affirment qu’il y a eu fraude. Cet argument est que Mousavi, un Azeri, avait très certainement gagné dans les circonscriptions à majorité Azeri mais où Ahmadinejad est sorti vainqueur. Cependant, Ballen etDoherty rappellent que « notre sondage montre… que les deux tiers des Azeri préfèrent Ahmadinejad àMousavi ».

Leur sondage contredit aussi une idée largement partagée par les grands média selon laquelle la jeunesse branchée sur Internet soutient Mousavi. Ils ont trouvé que seul 1 Iranien sur 3 a accès à l’Internet et que « les intentions de vote en faveur d’Ahmadinejad parmi les 18-24 ans étaient plus fortes que dans toute autre tranche d’âge de la population »."

Si vous voulez une analyse plus profonde des rapports de force en Iran, vous en trouverez des éléments dans cet article de Planète non-violence. Certainement pas dans le déferlement à sens unique des médias, qui ne parlent de l’atmosphère de liberté qui a régné pendant la campagne que pour mieux décrire aujourd’hui une "atmosphère de terreur", où pourtant l’opposition peut défiler tous les jours et poser des recours contre l’élection.

Certains médias commencent à mettre la pédale douce, comme dans cet article du Monde, qui finit par lâcher : De légers soupçons de fraude, aucune preuve.

Car, lecteurs agoravoxiens, nous voyons devant nous l’expression assez incroyable d’une presse et de médias partisans, partiaux, engagés, ne citant que les éléments allant à charge dans le sens d’une vision prédéfinie, dans la négation de toute objectivité. Le déferlement d’une pensée unique sans partage. Un spectacle effarant, et pourtant bien réel.

Je ne m’étendrai pas sur les mécanismes démocratiques de l’Iran, qui ne marchent pas si mal. Je ne parlerai pas non plus des nombreux organismes d’influence/propagande/manipulation soutenus par des services occidentaux, spécialement Américains, contre l’Iran et ce de notoriété publique, comme Voice OfAmerica,

Je vous inviterai simplement à vous demander pourquoi une nième fraude dans un état Africain par un dictateur corrompu fait dix lignes en bas d’une page, alors qu’on en fait des tonnes pour une élection qui jusqu’à présent ne présente aucun élément significatif de contestation.


http://www.marcfievet.com/article-32843525.html





http://bridge.over-blog.org/article-32845156.html


sur ce blog,

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:37

philippe-schmidtVoici un entretien réalisé par l’Express.fr et qui en dit long sur les intentions des zélotes de la pensée unique.

Pour information, Philippe Schmidt, 46 ans, est aussi Vice Président de la LICRA (Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme)… 

“Racisme, homophobie ou négationnisme, les messages haineux prennent de l’ampleur avec les blogs et réseaux sociaux. Philippe Schmitt, président de l’Inach, fondation de lutte contre la cyberhaine, explique les enjeux de ce combat.


En quoi le Web 2.0 a-t-il favorisé la circulation des messages de haine sur Internet?


Les sites racistes ont toujours existé. Ils s’en prennent à des groupes de personnes, discriminées selon leur qualité: femmes, juifs, noirs ou homosexuels… Autrefois, il fallait cependant chercher un peu pour trouver de tels sites.

Ce qui a changé avec les nouvelles pratiques du Web, c’est la diffusion des messages. Avec les blogs et les médias sociaux que sont Youtube, Facebook ou Myspace, il est beaucoup plus facile de se trouver confronté à un texte ou une vidéo raciste. L’information raciste va à l’internaute - sans limite!

Sur ces portails communautaires, tout est en ligne instantanément. Comment peut-on lutter?


En collaborant directement avec les sites: il faut demander à ces entreprises d’avoir une tolérance zéro. Ces contenus doivent être retirés le plus rapidement possible. Globalement, la plupart des professionnels jouent le jeu. Notre fondation de lutte contre la cyberhaine, l’Inach (International network against cyberhate) a par exemple un correspondant qui travaille directement avec YouTube et qui surveille l’apparition de vidéos racistes.
 

Et au niveau législatif ?


C’est problématique. Par exemple, en 2000, Yahoo a eu sur son site d’enchères des ventes objets nazis. Trois associations anti-racisme ont porté l’affaire en justice. Yahoo, condamné en France, a alors porté l’affaire devant une cour américaine pour se protéger … et a perdu.

Sur un site comme Facebook, par exemple, les groupes négationnistes ne sont pas interdits. Aujourd’hui, Facebook les bloque pour la France, mais ils sont toujours accessibles pour les Etats-Unis.

Tout cela est encore compliqué par les possibilités d’anonymat liées au Web. De plus, les sites racistes peuvent sans cesse changer d’adresse.

La conférence de l’ONU sur la Cyberhate du 16 juin comportait également un volet sensibilisation…

Pas facile de sensibiliser sans faire de la publicité pour ces sites. Or, les jeunes sont les victimes les plus faciles pour ce type de désinformation. C’est aussi le rôle des parents de travailler sur l’éducation à l’usage d’Internet avec leurs enfants, pour les aider à se protéger de ces dangers. Une grande partie de la lutte passe par la prévention.


http://www.marcfievet.com/article-32868384.html

.

NON à la répression des sites dissidents, non au délit d'opinion. A condition qu'ils ne distillent pas la haine ou le racisme.. Eva R-sistons



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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:29


Logo de Reporters sans frontières


LE FIL IDÉES
 - Le fondateur de Reporters sans frontières (RSF) avait surpris son monde en quittant la tête de son association, en septembre 2008, pour diriger, avec le soutien de l’Altesse du Qatar, un improbable Centre pour la liberté des médias, en pleine pétromonarchie. Empêché de travailler, Robert Ménard envisage maintenant de quitter le navire et de rendre les clés à l’émir.

La carte de visite semblait improbable : Robert Ménard, directeur général duCentre de Doha pour la liberté des médias... D’autant plus improbable que Reporters sans frontières, l’ONG de défense des journalistes fondée en 1985 par le même Robert Ménard, classait régulièrement le Qatar au fin fond du tableau de la liberté de la presse, vers la 80e place !

Mais bon, la tentation de Doha a été la plus forte. En 2007, après une première entrevue, facilitée par des journalistes arabes, avec Cheikha Mozah, la deuxième épouse de l’émir, Robert Ménard croyait déjà en sa bonne étoile qatarie. Cette femme influente, décrite par ses visiteurs comme une réformatrice – ou une « despote éclairée », c’est selon – avait répondu favorablement, deux jours seulement après leur entrevue, à la proposition du fondateur de RSF : banco pour la création d’un centre, « un refuge pour tous ceux qui risquent leur vie ou leur liberté pour nous informer », comme dit le site Internet, à la condition que les journalistes secourus « n’appellent pas à la violence, qu’ils n’incitent pas à la haine ». La femme de l’émir s’engageait, à travers sa fondation, à mettre sur la table plusieurs millions de dollars. Une bonne opération de com' pour le petit émirat, patrie de la chaîne d’info Al Jazeera, habitué à soigner son image sur tous les terrains. 

“Je veux que le Centre reste indépendant, 
et pouvoir critiquer le Qatar. 
Sinon, il n'a aucune crédibilité.”

Mais la petite équipe réunie autour de Robert Ménard (qui se rendait lui-même au Qatar environ quinze jours par mois) a vite vu la partie qatarie lui mettre des bâtons dans les roues. En mars dernier, l’ancien secrétaire général de Reporters sans frontières menaçait déjà, sur le site du Nouvel Obs, de quitter Doha, dénonçant la volonté de certains conseillers de l'émir du Qatar de « mettre en place une nouvelle gouvernance où ce serait eux qui auraient la mainmise, où je n'aurais plus mon mot à dire » . « Je veux que le Centre reste indépendant, et pouvoir critiquer le Qatar » disait-il. « Sinon, le Centre n'a aucune crédibilité. Je ne suis pas un alibi, il fallait prendre quelqu'un d'autre qui accepte d'être servile ». Le fondateur de RSF n’avait pas digéré – parmi d’autres choses – que le Qatar bloque l’entrée de journalistes menacés (l’un étant iranien) alors que le Centre de Doha était prétendument là pour çà. 

En mai dernier, devant un journaliste de l’
Agence russe d’information Novosti, Robert Ménard faisait encore semblant d’y croire : « Moi, quand je critique le Qatar, je critique parce que je pense que ça va servir à quelque chose. Bien sûr, je suis optimiste. Le fait même que je puisse dire ça ici, c'est une révolution. Vous croyez qu'en Arabie Saoudite, je peux tenir ce discours-là ? » 

Le président du conseil d’administration du Centre de Doha, Sheikh Hamad Bin Thamer Al Thani – qui n’est autre que le président de la chaîne de télévision Al Jazeera – a visiblement tout fait pour bloquer la machine. Querelle de pouvoir au sein des cercles dirigeants de l’émirat ? C’est la version donnée par l’entourage de l’ex secrétaire général de RSF. 

Robert Ménard,
 l’« entrepreneur du spectacle de la liberté », comme le définit Jacqueline Aubenas, la mère de Florence, découvre que la liberté de la presse n’est pas soluble dans le pétrole et le gaz qataris. Le Centre pour la liberté des médias, qui n’a accueilli que deux journalistes en six mois, se vante d’avoir malgré tout aidé financièrement 200 médias et journalistes en difficulté à travers le monde, en leur distribuant plus de 500 000 dollars.

Pas sûr que Robert Ménard soit invité à l’Elysée, lundi, pour la visite d’Etat du très cher (et très bon client) Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani, l'émir du Qatar, et de son Altesse Cheikha Mozah, la « princesse des sables, belle, moderne et cultivée », comme 
le chante l’hebdomadaire Jeune Afrique.

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:23

 
Georges Corm : « En Iran comme au Liban on a assisté à une immixtion occidentale massive » (L’Humanité)

Georges Corm, ancien ministre libanais, économiste et professeur de sciences politiques à Beyrouth, livre ses réactions face aux événements qui ont suivi les récentes élections libanaises et iraniennes et leur influence sur la région.

Ex-ministre des Finances libanais entre 1999 et 2000, Georges Corm est économiste. Il est aussi professeur à l’institut des sciences politiques à l’université Saint-Joseph de Beyrouth et l’auteur de plusieurs ouvrages. Dernier paru : L’Europe et le mythe de l’Occident, éditions La Découverte, Paris 2009.

Peut-on dire que la victoire du Mouvement du 14 mars aux élections législatives va changer la situation libanaise ?

Georges Corm. Cette victoire, c’est un peu un retour à la case départ, celle des élections de 2005. Nous sommes en face des mêmes problèmes quoique avec des logiques différentes. Et encore une fois, du fait du système électoral et d’autres facteurs, nous avons une majorité populaire en faveur de l’opposition et une majorité parlementaire, celle du 14 mars. Reste que les problèmes sont toujours là. Pour les pays arabes dits modérés et les pays occidentaux, il s’agit de la question des armes du Hezbollah. Et pour les Libanais dont je suis, le problème économique et social reste le problème numéro un. Ce point a été complètement évacué du débat électoral essentiellement focalisé sur les armes du Hezbollah et sur l’influence iranienne au Liban. On a vu les médias de la majorité au pouvoir ainsi que les médias arabes et occidentaux créer une atmosphère de panique en laissant entendre qu’on aurait une réédition du scénario de Cisjordanie et de Gaza de 2006, avec à la clé une communauté internationale qui se fâcherait, en prenant des sanctions politiques et financières, dans le cas où l’opposition l’aurait emportée. D’autant que le Mouvement du14 mars avait annoncé que si l’opposition remportait les élections, il refuserait de participer à un gouvernement d’union nationale. On a même vu le patriarche maronite, s’érigeant en censeur spirituel, demandant à voter pour la majorité sortante. Ce qui est du jamais-vu dans l’histoire du Liban et des chrétiens maronites.

Dans ces conditions, est-ce que ce gouvernement d’union nationale est encore d’actualité ?

Georges Corm. Oui, cette question est d’actualité puisque le courant du 14 mars dit tendre la main à l’opposition. Mais sa conception d’un gouvernement d’union nationale exclut l’octroi d’une minorité de blocage que réclame l’opposition, de façon que ce gouvernement ne prenne pas de décisions qui pourraient entraîner une déstabilisation du pays comme ç’a été le cas fin 2006 à propos du Tribunal international et le 5 mai 2008 à propos du démantèlement du réseau de communication du Hezbollah, ce qui a provoqué trois journées de violence.

Qu’en est-il du désarmement du Hezbollah que réclamait la majorité ?

Georges Corm. Aujourd’hui, le chef de la majorité, Saad Hariri, ainsi que Walid Djoumblatt considèrent que cette question n’est plus urgente, et pas à l’ordre du jour du dialogue national entre les tendances politiques libanaises présidées par le chef de l’État pour résoudre la question des armes du Hezbollah. À mon avis, ça peut être une position tactique en attendant une autre conjoncture pour la reposer. Il faut rappeler qu’en 2005, Saad Hariri et Walid Djoumblatt étant alors alliés au Hezbollah dans un même gouvernement, la déclaration ministérielle considérait que les armes de la résistance étaient tout à fait légitimes. Cela n’a pas empêché, suite aux pressions américaines, que ces mêmes partis demandent le désarmement du Hezbollah.

À propos de ces armes détenues par le Hezbollah, ne pensez-vous pas, au regard des développements de la scène politique moyen-orientale (discours de Netanyahu, tensions internes iraniennes) que le Liban risque d’être entraîné dans un conflit régional ?

Georges Corm. En réalité, le discours de Netanyahu a eu des échos très négatifs dans tous les pays arabes modérés. Au Liban, tous les responsables ont dénoncé les propos de Netanyahu. Son discours a eu un effet contraire : il a rapproché toutes les tendances politiques libanaises pour faire face éventuellement à ce qui pourrait se passer à l’échelle régionale, notamment dans le contexte des élections iraniennes…

Précisément, quelle est votre analyse des événements iraniens ?

Georges Corm. Les élections iraniennes se sont déroulées là encore (comme au Liban) avec des interférences médiatiques massives des pays occidentaux. Au Liban, ça a commencé par l’Égypte, qui a prétendu avoir démantelé un réseau du Hezbollah, puis il y a eu l’article du Spiegel affirmant, sur la base d’informations glanées auprès du Tribunal international, que le Hezbollah était derrière l’assassinat de Rafik Hariri. Puis, il y a eu les déclarations américaines, dont celles du vice-président Joe Biden, disant que si l’opposition gagnait au Liban, Washington pourrait revoir sa politique à l’égard du Liban. On a entendu aussi des propos réduisant la compétition électorale libanaise à une compétition entre des démocrates pro-occidentaux et une opposition derrière laquelle se cacherait autour du Hezbollah une cinquième colonne iranienne. En Iran, on assiste au même type de pressions.

Mais est-ce que la réélection contestée d’Ahmadinejad, accusé de vouloir se doter de l’arme nucléaire et dont on dit qu’il est proche du Hezbollah, ne va pas attiser les tensions régionales ?

Georges Corm. Pour moi, ce sont des batailles de médias, de propagande, de systèmes d’informations qui font du lavage de cerveau… Quand vous voyez qu’Israël a un arsenal atomique impressionnant, je ne vois pas pourquoi on fait tout ce raffut de l’Iran qui essaie de se doter d’une capacité de fabriquer de l’uranium enrichi. Il y a aussi le Pakistan, un État au bord de la rupture et qui n’est pas particulièrement sympathique, qui dispose d’un arsenal atomique assez impressionnant. Personnellement, je reste froid devant ces attaques contre l’Iran…

Vous ne redoutez pas que la réélection d’Ahmadinejad ait des conséquences régionales négatives, notamment dans les pays où vivent d’importantes communautés chiites, comme le Liban ?

Georges Corm. Là aussi, il faut laisser les pays tranquilles. Il faut arrêter avec ces interventions massives dans leurs affaires intérieures. Dès lors qu’il s’agit de régimes qui ne sont pas alignés sur la politique occidentale, qu’il s’agisse de la Chine, de la Russie, de l’Iran, ils sont harcelés médiatiquement. Dans mon dernier ouvrage L’Europe et le mythe de l’Occident, je dénonce cela. Si un pays comme le Liban se mettait à commenter toutes les cinq minutes les élections américaines ou françaises et que ses responsables donnaient des conseils aux électeurs américains ou français sur comment voter, comment l’opinion publique et les responsables occidentaux prendraient-ils une telle attitude ?

On a vu quand même les occidentaux soutenir Mir Moussavi contre Ahmedinejad tout en jouant sur les divisions inter-iraniennes ?

Georges Corm. Je ne comprends pas d’ailleurs comment un candidat comme Moussavi peut accepter d’être adopté par des puissances extérieures, d’autant qu’il s’agit d’un candidat issu de l’establishment. Ça rappelle ce qui s’est passé dans l’ex-URSS où des apparatchiks se sont reconvertis en libéraux pour profiter du soutien occidental. Je ne trouve pas cela très glorieux.

Pensez-vous qu’avec Obama, Israël pourrait évoluer dans le bon sens, vers la reconnaissance d’un État palestinien ?

George Corm. Le discours d’Obama au Caire est un beau discours rhétorique, avec de belles paroles, des citations du Coran, mais sur le fond il ne constitue nullement une rupture avec la politique américaine. Bien plus, il a été clair, expliquant que l’alliance avec Israël n’était pas une question de lobby pro-israélien américain, mais qu’elle résultait d’une sympathie profonde au niveau populaire unissant les deux peuples.

Il a quand même demandé l’arrêt des colonisations…

Georges Corm. Soyons sérieux : quand on veut l’arrêt de quelque chose, on prend des sanctions. La question est pourquoi des sanctions ne sont-elles pas prises contre Israël, alors que des sanctions sont prises contre l’Iran, la Chine… Pour moi, quelque part, l’élection d’Obama a sauvé les États-Unis en tant que puissance impériale parce que Bush les a amenés au fond de l’abîme. Une Amérique régénérée, une fois que l’on aura passé le gros de la crise économique, restera l’Amérique que nous connaissons. Il n’y a aucune raison qu’elle change, d’autant que l’Europe est totalement alignée sur la politique de Washington.

Ne redoutez-vous pas dans ces conditions qu’Israël agresse l’Iran ?

Georges Corm. Ça peut être des menaces destinées à déstabiliser la société iranienne. Je ne suis pas sûr que Washington laisserait Israël bombarder les installations nucléaires iraniennes. Je pense que l’on table plutôt sur des discordes internes qui paralyseraient le régime iranien.

Entretien réalisé par Hassane Zerrouky


  Georges Corm : « En Iran comme au Liban on a assisté à une immixtion occidentale massive » (L’Humanité 18/06) 


http://www.marcfievet.com/article-32867939.html
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 06:16
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