Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 02:33

Cinq mythes sur la guerre en Afghanistan

   

Cinq mythes sur la guerre en Afghanistan 

      Les pseudo-intellectuels et les autres lâches qui se sentent investis dans la guerre en Afghanistan ont répandu un certain nombre de mythes qui contredisent la réalité toute nue : la Zunie et ses alliés ont envahi une nation innocente du fait de leurs propres objectifs. Quelques-uns des mythes les plus courants qu’ils ont propagé sont déboulonnés ici.


David Rothscum Report, 13 mai 2010


      1er mythe : La Zunie et ses alliés de l'OTAN ont envahi l'Afghanistan pour traquer les auteurs des attentats du 11/9.

 


 

      La réalité : L'invasion était planifiée bien avant le 11/9. C’était l'ordre du jour de la Zunie et d’Israël depuis des lustres. L'Institute for Advanced Strategic & Political Studies Institut (IASPS) basé en Israël, qui a un bureau affilié à Washington, discutait de l’invasion de l’Afghanistan des années avant les attaques terroristes. Dans un document intitulé « Le Vortex afghan, » écrit pour l'IASPS par Elie Krakowski, il plaide pour que la Zunie installe un nouveau gouvernement en Afghanistan. L'éminent Néo-conservateur Richard Perle, qui a aussi travaillé pour l’IASPS, a présenté à Benjamin Netanyahu le document sur sa « nouvelle stratégie » (clean break), qui se trouve aussi sur leur site Internet.


 

      Sous Bush, Richard Perle fut le président du Comité du conseil consultatif sur la politique de défense du Pentagone, qui comporte d'autres stratèges de premier plan, comme Henry Kissinger.


 

      Un autre groupe de réflexion de Richard Perle a travaillé sur le Projet pour un Nouveau Siècle Américain (PNAC). Dans son plus fameux document du PNAC, Reconstruire les défenses de l'Amérique, il plaide en faveur d’une politique étrangère agressive, ayant pour objectif de maintenir la Zunie à sa place actuelle de seule superpuissance du monde. Le PNAC mentionne la nécessité de « combattre et de gagner de multiples façons décisives, simultanément sur les principaux théâtre de guerres. » Il mentionne en outre les préoccupations des Néo-conservateurs sur l'Iran. Comme le montre le passage suivant, ils cherchent à contenir l'Iran grâce à une présence militaire entourant ce pays :

      « Avec le temps, l'Iran pourrait bien se révéler être un aussi grand danger pour les intérêts zuniens dans le Golfe que l’était l'Irak. Et même si les relations zuno-iraniennes s’améliorent, avoir des forces basées en avant dans la région serait toujours un élément essentiel pour la stratégie de sécurité de la Zunie, compte tenu de ses intérêts de longue date dans la région. »

      Les Néo-conservateurs ont pris beaucoup de leurs idées dans Le Grand Echiquier, un livre de Zbigniew Brzezinski, un conseiller d'Obama. Du fait de leurs ressources naturelles, Brzezinski considérait essentiel le contrôle des républiques d'Asie centrale sorties de l'Union soviétique. Il appelle ces pays les Balkans eurasiens :


 

      « De plus, elles [les républiques d'Asie centrale] sont importantes du point de vue de la sécurité et des ambitions historiques pour au moins trois de leurs voisins les plus immédiats et les plus puissant, à savoir la Russie, la Turquie et l'Iran, avec la Chine signalant aussi un intérêt politique croissant dans la région. Mais les Balkans eurasiens sont infiniment plus importants comme enjeu économique potentiel : une énorme concentration de gaz naturel et de pétrole gît dans la région, en plus de minéraux importants, dont l'or. »

      Brzezinski inclut l’Afghanistan dans les « Balkans eurasiens « :

      « Fragmenté par l'occupation soviétique et la guérilla prolongée menée contre elle, l'Afghanistan n’est un État-nation que de nom. Ses 22 millions d’habitants sont fortement partagés en lignées ethniques, avec des divisions croissantes dans le pays entre Pachtounes, Tadjiks et Hazaras. Dans le même temps, le jihad contre l’occupant russe a fait de la religion une dimension dominante de la vie politique du pays, infusant une ferveur dogmatique dans des différences politiques déjà profondes. L’Afghanistan doit donc être considéré non seulement comme une partie de l'énigme ethnique de l'Asie centrale, mais aussi comme une très grande partie politique des Balkans eurasiens. »

      Les raisons d'envahir ce pays sont donc claires, et elles diffèrent de celles qui nous ont été données après les attentats terroristes. Quelques jours avant ceux-ci, les plans étaient parvenus à leur finalisation. Un article de la presse indienne du 26 juin 2001 montre que l'Inde participait avec l'Iran à une alliance contre les Talibans. Selon cet article, la Zunie entameraient des hostilités militaires limitées contre les Talibans :

      « Les autorités indiennes disent que l'Inde et l'Iran joueront seulement le rôle d’auxiliaires, tandis que la Zunie et la Russie combattront les Talibans de front avec l'aide de deux pays d'Asie centrale, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan, pour repousser les lignes talibanes à leur position de 1998, à 50 km de la ville de Mazar-e-Sharief, dans le Nord de l'Afghanistan. »

      Ceci est confirmé par différentes sources. The Guardian a écrit que : « Des sources militaires occidentales fiables disent qu’un plan d'urgence zunien était sur le papier à la fin de l'été pour attaquer le Nord de l'Afghanistan. » Un diplomate pakistanais a affirmé que des responsables zuniens ont dit en juillet 2001 que l'Afghanistan serait envahi en octobre.

      Il a dit que, même si les Talibans remettaient Ben Laden à la Zunie, celle-ci envahirait malgré tout le pays. Dès le 9 septembre 2001, Bush avait les plans de guerre contre Al-Qaïda prêts sur son bureau, deux jours avant les attentats terroristes. Ces plans concernaient la guerre contre Al-Qaida et incluaient l’invasion de l'Afghanistan. Ils ne s’appliquaient pas à une situation hypothétique (comme une invasion conjointe de la Zunie par le Mexique et le Canada), mais étaient destinés à être mis en œuvre quasiment tout de suite :

      « Miklaszewski a signalé que la rédaction des plans, sous forme de directive officielle sur la sécurité, est importante, car ça indique que la Zunie projetait une agression à grande échelle contre Al-Qaida, bien que les attentats du 11 septembre n'avaient pas encore eu lieu.


      Ces directives sont des documents top-secrets, rédigés officiellement après approbation au plus haut niveau de la Maison Blanche, et représentent des décisions qui doivent être exécutés de manière imminente. »

      Au début, deux jours après les attentats, les Talibans ont refusé d'extrader Ben Laden, sauf si la preuve de son implication dans les attentats leur était fournie. Mais, plus tard, les Talibans ont convenu d'extrader Ben Laden devant un tribunal islamique, sans que cette preuve leur soit fournie au préalable. Les Talibans ont tenté de négocier à différentes reprises pour envoyer Ben Laden devant la Cour pénale mondiale de La Haye.


 

      Cela nous amène au mythe suivant, selon lequel des gens en Afghanistan auraient comploté pour commettre les attentats.



 

      2ème mythe : Des gens en Afghanistan ont comploté pour commettre les attentats terroristes du 11 septembre 2001.


 

      La réalité : Il n'existe aucune preuve concrète reliant Ben Laden au 11/9. Ce fut confirmé par le Federal Bureau of Investigation (FBI). Ben Laden lui-même a nié toute implication dans ces attentats lors d’une déclaration sur Al Jazeera. Il l’a encore confirmé lors d’une autre interview avec un journal islamique. Pour ce journal, Ben Laden a encore démenti être responsable de ces attentats. En fait, il a suggéré une autre explication possible à ces attentats :

      « La Zunie devrait essayer de retrouver les auteurs de ces attentats chez elle ; des gens faisant partie du système zunien, mais en dissidence avec lui. Ou ceux qui travaillent pour un autre système ; des gens qui veulent faire du siècle actuel un siècle de conflit entre l'Islam et le Christianisme, de sorte que leur propre civilisation, pays, nation, ou idéologie, ne puisse survivre. Cela peut être n'importe qui, de la Russie à Israël et de l'Inde à la Serbie. En Zunie elle-même, il existe des dizaines de groupes bien organisés et bien équipés, capables de faire des destructions à grande échelle. Vous ne pouvez pas non plus oublier les Zuno-Juifs, qui sont ennuyés avec le président Bush depuis les élections en Floride et veulent le venger.


      Il y a aussi les agences de renseignement zuniennes, qui exigent chaque année des milliards de dollars de financement du Congrès et du gouvernement. Ce n’était pas un gros problème tant que l’Union soviétique existait, mais après le budget de ces agences a été compromis. Elles avaient besoin d'un ennemi. C’est pourquoi elles ont commencé leur propagande contre Oussama et les Talibans, et puis cet incident s'est produit. Vous voyez, le régime Bush a approuvé un budget de 40 milliards de dollars. Où ira cette énorme somme ? Elle sera donnée à ces mêmes organismes qui ont besoin d’un énorme financement et veulent se donner de l’importance. Ils vont maintenant dépenser l'argent à leur expansion et pour accroître leur importance. Je vais vous donner un exemple. Des trafiquants de drogue des quatre coins du monde sont en contact avec les agences secrètes zuniennes. Ces organismes ne veulent pas éradiquer la culture et le trafic des stupéfiants car leur importance en serait diminuée. Les gens du ministère de la Répression des drogues encouragent le commerce des stupéfiants afin de pouvoir montrer leur efficacité et obtenir des millions de dollars de budget. Le général Noriega a été fait baron de la drogue par la CIA et, dans le besoin, il est devenu un bouc émissaire. De la même manière, que ce soit le président Bush ou tout autre président zunien, ils ne peuvent pas amener Israël devant les tribunaux pour ses violations des droits de l'homme, ni le tenir responsable de ses crimes. Qu'est ce que cela ? N'y a-t-il pas un gouvernement au sein du régime zunien ? C’est à ce gouvernement secret qu’il faut demander qui a perpétré les attentats. »

      Considérons un instant ce que dit Ben Laden, selon qui certains Juifs ou éléments au sein de la Zunie sont responsables du 11/9, lui-même niant toute responsabilité. Naturellement, suggérer que certains Juifs sont responsables suscite des allégations d'antisémitisme.


 

      C’est pourquoi je soutiendrai que, tout comme prétendre que certains Musulmans ou Arabes sont responsables des attentats n'est pas une forme de discrimination, alléguer que certains Juifs sont responsables n'en est pas une non plus. On ne peut pourtant pas nier que rejeter la faute sur des « Juifs » aboutirait à de l'antisémitisme, et c’est pourquoi je n'ai jamais présenté personnellement les véritables auteurs comme des Juifs. Il est aussi important de distinguer entre les Israéliens, souvent décrits comme des Sionistes, et les Juifs. Beaucoup de gens font passer les intérêts d'Israël au-dessus tout le reste. Outre des Juifs, il se peut que ce soit des Protestants fondamentalistes, des Néo-conservateurs laïques, et aussi divers autres groupes. Il existe aussi de nombreux Juifs opposés à l'État d'Israël pour diverses raisons, qui ne veulent rien à voir avec ces gens.


 

      Est-ce que Ben Laden avait un motif raisonnable de croire que soit les agences de renseignement, soit des groupes en Zunie, certains Juifs, ou une combinaison de cela, sont responsables des attentats ? On ne peut guère nier non plus qu'il y avait un précédent historique à cela. Des agents du renseignement israélien ont commis auparavant des attentats terroristes contre la Zunie, et même contre des citoyens israéliens, et tenté d’en faire porter le chapeau aux Musulmans. L’Opération Susannah, aussi connue sous le nom d'Affaire Lavon, en est un exemple. L’attaque contre l’USS Liberty, bien que ce soit toujours officiellement décrit comme un accident, en est un autre. Des politiciens israéliens eux-mêmes ont aussi exprimé leurs sentiments sur le 11/9 en disant que les attentats étaient bons pour Israël. Parmi eux se trouve un personnage aussi éminent que Benjamin Netanyahu.


 

      Le document du PNAC, mentionné ci-dessus, Reconstruire les défenses de l'Amérique, relève aussi la nécessité d'une crise soudaine, afin de pouvoir entreprendre son ordre du jour. En voici la formulation exacte : « De plus, même s’il apporte des changements révolutionnaires, le processus de transformation risque d'être long, sauf événement catastrophique et catalyseur – comme un nouveau Pearl Harbor. » Brzezinski a lui aussi mentionné le besoin d’un événement terrible de ce genre dans son livre mentionné ci-dessus : « En outre, comme la Zunie devient une société de plus en plus multiculturelle, il peut se trouver qu'il est plus difficile de former un consensus sur les questions de politique étrangère, sauf dans les circonstances d'une menace directe de l’extérieur, vraiment énorme et largement perçue. »


 

      Dick Cheney, Donald Rumsfeld et Paul Wolfowitz étaient membres du groupe de réflexion du PNAC. Cheney lui-même partage la responsabilité des attentats. L'espace aérien zunien est censé être protégé par un organisme appelé NORAD. Le NORAD aurait pu empêcher les avions de s'écraser sur leurs objectifs. Seulement, le 11/9, directement informé de l'évolution du détournement des avions, Cheney a ordonné de ne pas intervenir.


 

      Les mêmes noms ont tendance à apparaître partout. Henry Kissinger, dont j’ai indiqué plus tôt qu’il servait au Comité du conseil consultatif sur la politique de défense du Pentagone avec le membre du PNAC Richard Perle, a aussi dirigé la Commission sur le 11/9 jusqu'à ce qu'il soit contraint de démissionner.


 

      John F. Lehman Jr, un autre membre de la Commission sur le 11/9, se trouvait être aussi un membre du groupe de réflexion du PNAC. Je soutiendrais qu'il y avait quelque conflit d'intérêt dans pareil cas. Les gens qui écrivent vouloir conquérir le Moyen-Orient et éprouvent le besoin d'un événement catastrophique pour permettre que cela se produise, ne devraient pas être ceux qui enquêtent sur des attentats terroristes, attribués à des gens vivant au Moyen-Orient, et utilisés pour envahir des pays dans cette région.


 

      Et par-dessus tout ça, pour empêcher les membres de la Commission sur le 11/9 de dénicher quelque information n’étant pas censée sortir, la Maison Blanche l’a mise en garde de ne pas creuser trop profondément.



 

      3ème mythe : Contrairement à l'Irak, il n’y avait rien à gagner en Afghanistan qui justifiait qu’une armée l’envahisse.


 

      La réalité : l'Afghanistan occupe une position stratégique. Il est bordé par l'Iran, et les États d'Asie centrale dont Brzezinski se préoccupait tant. Ceux qui désirent contrôler l'Iran peuvent utiliser l’Afghanistan pour construire leurs bases là-bas. L'Afghanistan est aussi important pour les pipelines. Unocal et d'autres compagnies ont essayé de construire un pipeline travers ce pays, mais cela n’a pas été autorisé par les Talibans. Après l'invasion, Unocal était le principal postulant en faveur d’un accord de gazoduc traversant le pays. Selon un journal britannique, le président afghan, Hamid Karzaï, a aussi travaillé pour Unocal.


 

      Avoir le contrôle de l'Afghanistan peut servir à entraîner là-bas des militants capables de menacer l'Iran. C'est ce qui se passe actuellement, car la Zunie finance les séparatistes Baloutches qui cherchent à semer la dévastation en Iran. Un million de Baloutches vivent en Afghanistan.


 

      L’Afghanistan lui-même est riche en ressources naturelles. Mais sa principale source de richesse éventuelle réside dans les affaire de drogues. Le pays fournit au monde 90% de l’opium, qui sert à produire de l'héroïne. Tout porte à croire que la Zunie soutient le trafic d'opium, et joue très probablement un rôle dans le trafic lui-même. Avant qu’elle les envahisse, la Zunie a financé les Talibans pour qu’ils détruisent tout l'opium, ce qui a naturellement pu faire monter les prix en flèche. Les Talibans ont réussi à éliminer l'opium, mais après l'invasion zunienne, la production est remontée en flèche. Pour quelque raison, les Talibans ont pu faire ce dont est incapable l’énorme présence militaire de l'OTAN. Tout ça paraît extrêmement peu probable. Tel que l'a confirmé le New York Times, le frère d’Hamid Karzaï, un dealer de haut rang, figure sur la liste du personnel de la CIA. La Russie compte actuellement des millions d'héroïnomanes, et l'espérance de vie moyenne après avoir commencé à utiliser cette drogue est d’à peine 7 ans. En plus de rapporter de l’argent, l’opium a l'avantage de faire du mal à celui à qui vous le donnez. C'est une arme qui vous rend riche au lieu de vous coûter de l'argent. Des preuves d'implication zunienne dans la production d'opium en Afghanistan peuvent être trouvées à profusion sur le forum de Prison Planet.



 

      4ème mythe : L'invasion de l'OTAN a amélioré la vie afghane.


 

      La réalité : Les Afghans n’ont pas eu une vie meilleure. Le taux des malformations congénitales a doublé en moins de deux ans. En 2008, 30% de la population était au bord de la famine. La Zunie a bombardé les entrepôts de la Croix-Rouge qui contenaient les réserves alimentaires, et elle a fait cela à dessein. Destiné au président Bush, un exposé de son armée incluait la suggestion d’empoisonner les réserves alimentaires afghanes. La Zunie a procédé au largage de colis de nourriture, soi-disant pour aider la population. Seulement, ces colis identiques aux bombes à fragmentation qu’elle avait aussi larguées, a fait que les gens ont ramassé des engins n’ayant pas explosé.


 

      Les Afghane portent encore la burqa volontairement. La burqa n'est pas une invention des Talibans, mais un genre de vêtements porté par les femmes de la région depuis des lustres. Les raisons de la porter varient. Quelques femmes ne veulent pas que leur visage soit vu en public, et d'autres la portent pour se protéger de la poussière. Différents types de burqas existent, certaines faites d'un seul morceau de tissu, et d’autres de deux pièces, révélant les contours du corps.


 

      Les Talibans forçaient les jeunes étudiants à porter la barbe. Ce fut volontiers présenté par la propagande occidentale comme l’une des nombreuses barbaries que soi-disant les Talibans infligeaient aux pauvres Afghans. Quelque éclaircissement sur la culture afghane aidera à comprendre cette affaire. L'Afghanistan a hélas une tradition de jeunes garçons abusés par des hommes plus âgés. Ils sont forcés de danser pour les hommes, et ceux qui n'excellent pas dans la danse servent à la place d’esclaves sexuels. Les garçons sont appelés « bacha bereesh, » ou « garçons imberbes. »


 

      Les Talibans avaient interdit cette pratique, mais elle est désormais de retour. Il est bien sûr difficile de garder continuellement un œil sur tout le monde. C’est pourquoi les Talibans avaient leur propre solution pratique. Forcer les jeunes garçons à se laisser pousser la barbe, pour faire disparaître cette tradition. Si les garçons ont tous une barbe, cette pratique devient bien moins attractive pour les pédophiles. Et, quand un garçon n’arrive pas à avoir de barbe, cela constitue une raison pour que les Talibans examinent s’il est possible qu’il soit abusé par des pédophiles.



 

      5ème mythe : l'Afghanistan est maintenant un pays démocratique, avec un gouvernement appuyé par son peuple.


 

      La réalité : L'Afghanistan est maintenant gouverné par un régime fantoche de la Zunie. Son dirigeant, Karzai, est un ancien porte-parole d'Unocal. Son frère travaille pour la CIA. Quand Karzaï ne fera plus ce qu’exige la Zunie, un nouveau clown sera nommé pour faire appliquer l'ordre du jour zunien. Karzaï admet avoir été élu grâce à la fraude électorale. Karzaï a demandé la fin des frappes aériennes en mai 2009. Les frappes aériennes se poursuivent évidemment sans relâche. Sa demande a eu presque autant d'effet que la demande d’un professeur du secondaire a ses étudiants, pour qu’ils cessent de jeter sur lui des crayons en classe de charpenterie.



 

      Avec un peu de chance, j’écrirai un article similaire à celui-ci sur l’Irak et l’occupation sioniste de la Palestine. Restez branché.



 

Original : davidrothscum.blogspot.com/2010/05/5-myths-on-war-in-afghanistan.html
Traduction copyleft de Pétrus Lombard

 

http://www.alterinfo.net/Cinq-mythes-sur-la-guerre-en-Afghanistan_a46196.html

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : R-sistons à la désinformation
  • : Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.
  • Contact

Profil

  • Eva R-sistons
  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.
  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.

Recherche

Archives

Pages