http://img.over-blog.com/300x295/3/62/89/50/AAA-Image-du-jour/Catastrophe/Nucleaire/Explosion-d-une-centrale-nucleaire-au-Japon-Bombe-Atomique.jpg
Selon un expert en nucléaire, il faudra 50 à 100 ans avant que les barres
irradiées de Fukushima soient suffisamment froides pour être retirées du site.
http://www.abc.net.au/news/stories/2011/04/01/3179487.htm
Ensevelissement de la centrale : La plus grande bétonnière du monde navigue vers
le Japon
http://chronicle.augusta.com/latest-news/2011-03-31/srs-concrete-pump-heading-japan-nuclear-site
Sous la centrale nucléaire de Fukushima, la nappe phréatique affiche 10.000 fois
le niveau de radioactivité normalement admis . Ça vient de l'iode-131 détecté à
15 mètres en-dessous de l'un des réacteurs.
http://www.cbsnews.com/stories/2011/03/31/501364/main20049240.shtml
- Nucléaire : Tout va très bien, Madame la Marquise ! (L'heure est grave !) (01/04/2011 publié dans : Technologie folle ! )
"Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas." Prophétie d'un Amérindien Cree .. - Pourquoi on ne trouve pas de comprimés d'iode en France (01/04/2011 publié dans : Santé )
Par Sarah Ganon, publié le 16/03/2011 à 19:01, mis à jour le 17/03/2011 à 17:45 Les comprimés d'iode, qui évitent tout risque de cancer après une exposition aux radiations, ne sont distribués ... - Japon: Témoignage, nouvelles en direct qui n'ont rien de rassurant (01/04/2011 publié dans : Rétablir la vérité )
http://img.over-blog.com/300x295/3/62/89/50/AAA-Image-du-jour/Catastrophe/Nucleaire/Explosion-d-une-centrale-nucleaire-au-Japon-Bombe-Atomique.jpg Pendant que nous vivons en toute inconscience, ... - De la fumée repérée à une autre centrale nucléaire dans le nord du Japon (01/04/2011 publié dans : Alerte écologique (crise)
http://ecolonews.blog.fr/2007/07/20/les_centrales_nucleaires_edf_ne_sont_pas~2672393/
La communauté internationale doit agir au plus vite afin d'empêcher l'évaporation en quantité immense de particules radioactives de la centrale de Fukushima.
Et si la sécurité des centrales nucléaires était désactivée par un virus informatique...
Le virus Stuxnet continue ses attaques contre les systèmes informatiques industriels de l'Iran, selon Hamid Alipour, directeur adjoint de la société d'Etat iranienne des technologies informatiques, cité lundi par l'agence IRNA, lundi 27 septembre 2010. "Nous surveillons et contrôlons le développement du virus. Nous avions prévu de l'éliminer en deux mois, mais il n'est pas stable, et trois nouvelles versions sont apparues depuis que nous avons commencé les opérations de nettoyage", a déclaré M. Alipour.
D'après les responsables iraniens, qui ont évoqué, dimanche, dans la presse une "guerre électronique", ce programme malicieux n'a toutefois pas fait de dégâts industriels majeurs et a notamment épargné la centrale nucléaire de Bouchehr, située dans le sud du pays.
Trente mille ordinateurs infectés par Stuxnet ont été jusqu'à présent dénombrés en Iran, selon Mahmoud Liayi, responsable des technologies de l'information au ministère de l'industrie. Stuxnet, découvert en juin, recherche dans les ordinateurs qu' il infecte le système de supervision de l'allemand Siemens, WinCC, qui sert au contrôle des oléoducs, des plates-formes pétrolières, des centrales électriques et d'autres installations industrielles.
Sa fonction serait d'entraîner la destruction physique des installations selon certains experts qui ont évoqué un "sabotage par informatique". D'après un responsable de la société américaine Symantec, 60 % des ordinateurs infectés par ce virus se trouvent en Iran. Mais l'Inde, l'Indonésie ou le Pakistan, seraient aussi frappés.
LA CENTRALE NUCLÉAIRE DE BOUCHEHR N'EST "PAS TOUCHÉE"
C'est "probablement un gouvernement étranger qui est à l'origine de ce virus" compte tenu de sa complexité, a assuré un responsable iranien, sans précision sur l'éventuel agresseur. Pour sa part, le quotidien gouvernemental Iran Daily n'a pas hésité à évoquer une "guerre électronique de l'Occident contre l'Iran", citant des experts occidentaux qui ont mis en cause les Etats-Unis et Israël.
Mahmoud Jafari, un responsable de la centrale nucléaire de Bouchehr, a par ailleurs démenti, dimanche, que cette première centrale iranienne, qui doit entrer en service d'ici à la fin de l'année, ait été affectée par Stuxnet, comme certains experts occidentaux l'ont envisagé du fait d'un retard dans le chargement de son réacteur. Siemens avait déjà affirmé vendredi que la centrale de Bouchehr, construite par la Russie, n'était pas équipée du logiciel infecté par Stuxnet.
Le programme nucléaire iranien est au cœur d'un conflit entre Téhéran et les Occidentaux, qui soupçonnent la République islamique, malgré ses dénégations, de chercher à se doter de l'arme atomique sous le couvert d'activités civiles.
http://www.tv5.org/cms/userdata/c_bloc
Appel pour Fessenheim
Nous sommes plus de 25.000 à avoir signé l’Appel pour l’Arrêt immédiat de Fessenheim.
25.000, c’est bien, mais nous voudrions parvenir à 100.000 pour porter ces signatures à l’Autorité de Sureté Nucléaire qui doit rendre bientôt ses conclusions sur la prolongation ou non du réacteur 1 de la centrale.
Si chacune et chacun de nous demandait à 3 ou 4 ami-es de signer l’Appel, nous parviendrions vite à ces 100.000 signatures.
Les arguments ? Nous les connaissons tous :
> Fessenheim est le réacteur le plus ancien construit en France. Il a été construit à partir de 1970 en bordure du grand canal d'Alsace, entre Bâle et Strasbourg, dans une zone d'activité sismique. Il a été construit avec les normes anti-sismiques des années 60 qui sont très éloignées des normes actuelles.
> En 2000, un rapport de l'Autorité de sûreté nucléaire indiquait que certaines fonctions de sauvegarde assurant le refroidissement du réacteur pourraient ne plus être assurées en cas de séisme. Malgré la vétusté des installations et les risques sismiques, EDF a demandé à prolonger l'exploitation de la centrale. Un grand nombre d'élus et de citoyens s'y opposent.
> Si un séisme comparable au séisme de référence (celui de Bâle en 1356) se produisait, il entraînerait probablement la destruction des digues du grand Canal d’Alsace et menacerait la centrale qui est située 15 mètres en contrebas du niveau du canal.
> L’arrêt de Fessenheim et son démantèlement permettraient de mesurer le coût global de l’énergie nucléaire.
Pour toutes ces raisons, il faut arrêter Fessenheim. Pouvez-vous prendre quelques minutes pour diffuser l’Appel autour de vous et gagner quelques signatures ? MERCI
Pour les premiers signataires,
Michèle Rivasi, Jacques Fernique et Pierre Larrouturou