Internet permet à chaque citoyen de s'exprimer sans engager de frais considérables. Un ordinateur, un netbook, une connexion et hop, c'est parti ! Résultat, l'information n'est plus monopolisée par ceux qui en vivent, et l'argent juif peut moins intervenir pour fausser le jeu.
Que l'on soit journaliste exclu des médias traditionnels ou simple citoyen lassé par les mensonges de la télévision, on peut ouvrir un blog ou un site web et s'improviser "web journaliste" pour donner son avis ou écrire des articles, exactement comme je le fais en ce moment.
La parole n'est plus mono-ethnique, la plupart des bloggeurs et des sites ne sont pas juifs, et quand ils le sont tout de même, ils affichent leur opposition au sionisme, en exhibant très fièrement des rabbins manifestant contre Israël, ou en citant Gilad Aztmon ou Noam Chomsky à tout propos, comme si le monde avait besoin des juifs pour penser !
La grande majorité des sites ne cautionnent pas les mensonges de la presse écrite, et tentent d'expliquer la situation, de prévenir des dangers, de révéler les scandales, mais sans y parvenir vraiment parce qu'ils restent dans le cadre imposé, utilisent la terminologie imposée, les idées imposées, et ne franchissent jamais la ligne blanche imposée qu'on peut résumer en un seul mot : "judaïsme".
En clair, ils disent tout, écrivent tout, révèlent tout, mais jamais, ô grand jamais le mot "juif" n'apparait et ne doit apparaitre autrement qu'en termes élogieux, compatissants ou shoatiques. Le juif doit être victime, et non agresseur, même si on déplore avec Israël que ce soit faux, même si on sait ou soupconne fortement que toute l'histoire est censurée parce que complètement falsifiée, on n'en parle pas parce qu'on n'a pas le droit, parce qu'on ne veut pas que son blog soit fermé, parce qu'on ne veut pas avoir un procés comme Jean Michel Larqué, perdre son travail, se faire agresser comme Faurisson ou emprisonner comme Reynouard.
On a peur et on s'auto-censure. Malgré l'énorme travail accompli par des Dieudonné ou Hervé Ryssen, chacun dans sa partie, beaucoup de gens n'osent pas encore prononcer le mot "juif".
Sur beaucoup de sites, on vous dira que les responsables du chaos mondial ne sont pas des juifs, mais des "illuminatis".
Chez David Icke, le pote de Robbie Williams, ce sont des "reptiliens", ce qui ne l'a pas empéché d'être harcelé par des juifs qui ont bien compris l'allusion et notamment par l'escroc Richard Warman (voir The Lizard & the Jews).
Chez le très estimable Thierry Meyssan, ce sont des "Straussiens", adeptes du philosophe juif allemand Leo Strauss, on s'approche, mais ce n'est pas encore ça.
Et puis il y a toutes ces histoires de "vrais juifs", de "faux juifs", de "juifs talmudiques", de juifs de la Torah", de "juifs sionistes", de "juifs non sionistes"... autant de versions à l'export qui ont toutes pour dénominateur commun le mot "juif", le judaïsme, dont le concept de base est d'être "élu", ou "choisi", c'est à dire supérieur aux autres par la race juive, cette race mentale construite de toutes pièces. Sans même parler du talmud, respecté par 99% des juifs malgré le fait qu'il enseigne que le non-juif est né pour servir le juif (!), on constate que le judaïsme, dans son essence, avec ses histoires de race juive "élue", prône la supériorité par la race, le racisme, alors que dans un même temps, les organisations juives comme "SOS racisme" pourchassent le blanc qui ose parler de race ! Cherchez l'erreur !
Vous allez dire que nous voyons des juifs partout et que nous ne parlons que d'eux.
Non, nous ne voyons pas des juifs partout, nous les voyons là ou ils sont, c'est à dire dans la finance, dans la politique pour protéger la finance, dans l'éducation et les médias pour tromper le peuple et protéger la finance... Ils se sont emparé des commandes du navire et le dirigent tout droit vers la falaise. Devrait-on parler du matelot de la salle des machines plutôt que du capitaine pirate qui est à la barre ?
Mais alors, comment se fait-il que les peuples ne s'en rendent pas compte ?
Les peuples s'en rendent compte, de plus en plus, surtout avec internet. Mais comme le mot "juif" est évité, il est difficile de faire le lien. Par exemple, pour les attentats du 11 septembre, reopen911 avait bloqué la diffusion du documentaire "Missing links" qui met clairement en évidence le rôle d'Israel.
Prenez Strauss-Kahn : avant d'être pris en flag, il claironnait partout qu'il était un pauvre juif, que la France étant "antisémite", et qu'à cause de ces méchants antisémites, lui, le Dreyfus du 21eme siécle, avait peu de chances d'être élu président.
Mais depuis qu'il s'est fait attraper, qui met en avant sa judéité dans le viol d'une femme de chambre noire ?
Qui évoque la similitude avec l'affaire Polanski ?
Le journal "Sud Ouest" rappelle les protagonistes de cette affaire... tiens, bizarre, Strauss-Kahn n'est plus juif, et pour bien le faire comprendre, on écrit que Benjamin Brafman, son avocat, lui, est ... "juif orthodoxe".
Encore une autre tromperie : "juif orthodoxe" !
Quand, dans une sombre affaire, on ne peut vraiment plus éviter de prononcer le mot "juif" parce que c'est trop évident, on dit "juif orthodoxe", ou encore mieux, "juif ULTRA orthodoxe" pour bien indiquer qu'il ne faut pas confondre avec un juif "normal".
Par contre, pour les musulmans, on a le droit de confondre les intégristes avec l'islam "normal", les médias juifs parlent "d'islamistes". A quand les "juifistes" ?
Même chose pour "juif laic" ! Dit-on "musulman laic", 'catholique laic" !!??
On pourrait illustrer cette tromperie permanente par des milliers d'exemples.
Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'on ne peut pas lutter contre quelque chose qu'on ne désigne pas clairement, qu'on ne voit pas. C'était le sens des mesures controversées d'identification des juifs à travers les âges (étoile jaune, rouelle...).
Entre eux, les juifs se reconnaissent, allez sur les forums juifs, Harissa et compagnie, vous trouverez des listes de personnalités juives et vous constaterez que leur principale préoccupation, lorsqu'une personne fait l'actualité, est de savoir s'il est juif ou non, pour savoir s'ils doivent être pour ou contre.
En revanche, ils feignent de s'indigner quand un non-juif signale la judéité de l'un d'entre eux, prétextant des listes, des rafles, et ça se termine toujours par l'argument suprême, "le crime des crimes" comme dit Dieudonné... la shoah ! Ou shoahnanas, c'est selon. Cette fameuse shoah de plus en plus controversée par les historiens et scientifiques révisionnistes du monde entier, cette même shoah dont Jean Claude Pressac, pourtant tout acquis à la cause juive, disait "qu'en fin de compte le dossier officiel de l'histoire des camps de concentration nazis était «pourri» "...
Voila, pour conclure, il est bon de rappeler qu'employer le mot "juif" n'est pas interdit par la loi. "Juif" n'est pas une insulte, et afficher la judéité de quelqu'un n'est pas un délit. Si vous avez un doute, si vous hésitez à placer le mot "juif" dans une expression, testez la en remplaçant le mot "juif" par le mot "musulman", ou "catholique". Vous verrez, tout de suite, ça a l'air moins interdit. C'est ça le conditionnement. Vous serez même surpris de constater à quel point on ne contrôle pas ce genre de petits détails que les manipulateurs, eux, contrôlent.
Et à ce jeu, vous risquez d'être étonnés, et vous trouverez peut être plus simple de désigner "qui n'est pas juif" plutôt que "qui est juif", la fameuse sur-représentation des juifs, 99% sur France Inter...
bobGratton pour propagandes.info
Par ailleurs, l'article de "sud-ouest" parle aussi d'un homme "issu des quartiers pauvres", ce qui est parfaitement inexact : aux USA, les populations se regroupent davantage par race que par classe sociale (par exemple on trouve un certain nombre de Noirs aisés dans les quartiers noirs ; mais on n'y trouve pas de Blancs, même parmi les Blancs les plus pauvres). Donc il aurait été plus juste de dire que ce Brafman est "issu des quartiers juifs".