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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 10:14

 

NOM-paysage-triangle.jpg

  Introduction d'eva R-sistons

  Islam, Musulmans, Charia... et donc
Banque islamique dernier rempart contre le NWO ?

 

Pour s'opposer au NWO (le Nouvel Ordre Mondial anglo-saxon),  il y a des Etats non-alignés comme l'Iran, le Vénézuela, la Chine, la Russie de Poutine... et donc dans le collimateur de celui-ci, prêt à en découdre pour imposer sa loi tyrannique et assassine. Il y a aussi, et peut-être surtout, l'Islam, les Musulmans, et maintenant je comprends l'animosité (NB Islamophobie croissante relayée par les médias aux ordres) qu'ils suscitent parmi les Anglo-Saxons et leurs alliés,  et aussi pourquoi le NWO tend à remodeler le Moyen-Orient, le Proche-Orient, le Maghreb, avec de pseudo révolutions ... A moins que comme le montre cet article, elles ne se retournent contre lui : En préservant, justement, le caractère islamique - et les banques islamiques, éthiques parce qu'elles respectent la Charia  ! Donc, les adversaires du monstrueux NWO doivent réaliser que l'Islam, les Musulmans, sont un REMPART contre celui-ci par le jeu, justement, de la Finance islamique, éthique, elle, et en plein essor parce que respectable, et fiable (elle  rejette d'ailleurs la spéculation). Et on comprend mieux pourquoi le Nouvel Ordre Mondial suscite des révolutions colorées, afin d'asservir, de contrôler, et pourquoi il place ses pions dans des Etats indépendants, rebelles, comme la France, enfin pourquoi les Médias aux ordres et les Elus aux ordres, bref les pouvoirs, nous dressent constamment contre les Musulmans, en les diabolisant, afin que nous les combattions. Choc de civilisations, ou de banques ? Il est temps de voir que les Musulmans sont en réalité notre dernier rempart contre l'abomination en gestation, celle du NWO  prédateur totalitaire, liberticide et criminel ! eva R-sistons (§ à la fin du post)

 


 

NOM-Capital-j-copie-2.jpg

 

Lettre d'informations économiques stratégiques internationales

 

Numéro 226 15 mars 2011

Révolutions au Proche-Orient :

le point de vue de George Soros

 



Dans son précédent numéro, LIESI a cité la phrase

énigmatique prononcée par Henry Kissinger à propos

des révolutions au Proche-Orient et dans certains pay

du Maghreb : « Ce n’est que la première scène du

premier acte d’un drame qui doit être joué ».


Le 1er mars 2011, le milliardaire George Soros, qui a

quitté les Rockefeller pour se rapprocher des

Rothschild, est venu prêcher le message de

l’establishment sur une chaîne de télévision américaine

(GPS). Interviewé en qualité de « promoteur très actif »

de la religion démo(n)cratique, cette religion humaniste,

mensongère, qui place les peuples dans la duperie

permanente et permet aux manipulateurs d’opinions de

préparer une dictature planétaire, G. Soros a comparé

les événements du Proche-Orient à la chute du Mur

de Berlin, le 9.11 1989. « Ces événements au Proche-

Orient sont au moins équivalents en importance à ce

qui s’est passé alors », a expliqué le président de

l’Open Society Institute, mais aussi (très) généreux

donateur du candidat sénateur Barack Obama. « C’est

vraiment un désir sérieux de la part de gens vivant

dans des sociétés fermées, d’ébranler les dictatures et

de se diriger vers la démocratie ». « La grande

différence entre 1989 et maintenant est que la dictature

soviétique s’effondrait. Ici, ce sont nos alliés qui

changent. Maintenant nous devons regagner la

confiance des peuples1 ». Soros avoue ensuite que ces

révolutions « spontanées » ne sont heureusement pas

survenues sous l’ère Bush/Cheney, puis il a loué

Barack Obama, son poulain, qui est (selon lui) à la

hauteur des événements historiques que nous vivons.

 

LIESI a démontré que ces révolutions se déroulaient

selon un plan conçu au moins à partir du début des

années quatre-vingts.

 

On comprend maintenant, à la

lumière de ce plan, pourquoi l’establishment a jeté son

dévolu sur le musulman communiste B. Hussein

Obama. C’est le président idéal pour gérer ces

événements en terre musulmane. « La démocratie est

bien plus qu’une révolution, poursuit Soros. Il faut

préparer les institutions nouvelles… ». […] « Je

pense que l’Iran aura connu sa révolution dans moins

d’un an ». Alors un grand changement surviendra…

Le hasard fait bien mal les choses…

 

Du plan de 1982 que nous évoquions dans le

précédent numéro, rappelons cet extrait significatif :


« […] Une fois l’Egypte ainsi disloquée et privée de

pouvoir central, des pays comme la Libye, le

Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la

même dissolution ».


Le Premier ministre François Fillon a passé ses

vacances de fin d’année, du 26 décembre 2010 au 2

janvier 2011 en Egypte, invité par les autorités

égyptiennes. Il a rencontré le président Hosni

Moubarak le jeudi 30 décembre 2010 à Assouan.

 

 

1 Voici le témoignage de l’ex-employée d’un ministère

allemand (retraitée), possédant une maison en Tunisie où elle

réside 6-8 mois par an. La source journalistique qui nous a

transmis cette information, qui ne sera jamais diffusée sur les

grandes chaînes françaises, a ajouté qu’il y avait des

consignes pour centrer les commentaires d’actualité

essentiellement sur le sport, la météo et quelques affaires

familiales.

« Elle a réussi à rentrer en Allemagne mardi dernier...

terrorisée. Sa voiture a été attaquée sur la route de l’aéroport

tunisien. Les routes sont occupées par des centaines de

milliers de fuyards qui campent au bord. Ils n’ont ni boulot ni

logement ni nourriture. Les touristes ont disparu et donc les

autochtones n’ont plus de revenus. Sur les bords des routes,

les jeunes sont armés de matraques, pierres et quelquefois

armes à feu. Ils attaquent tout ce qui passe.  

 

La haine était au départ dirigée vers le gouvernement,

mais maintenant la situation est complètement

hors de contrôle et tout le monde

attaque tout le monde, en particulier les étrangers.


Elle connaît des gens au Maroc et en Arabie Saoudite. Là

aussi, la situation devient tendue. Même si les médias n’en

parlent pas, ça peut exploser d’un jour à l’autre. La

question n’est plus de savoir si une guerre civile va

éclater, mais quand. Le nord de l’Afrique et le Moyen-Orient

sont une seule poudrière. Haine contre les gouvernements, les

Etats-Unis et l’Ouest en général. Si les Américains essaient de

se mêler au conflit, ça va chauffer. La population refuse toute

intervention étrangère, qui serait pour eux comme une

déclaration de guerre. Des groupes s’organisent, prêts à

détruire les installations énergétiques si les Américains tentent

une intervention. Ils veulent de cette manière punir les

Américains et l’Ouest pour le soutien apporté, depuis des

décennies, à leurs gouvernements despotiques. On peut

imaginer ce que cela signifierait pour le prix du pétrole, en

particulier en ce qui concerne l’Arabie Saoudite.

 

Le climat est tellement extrême que ça pourrait dégénérer

en guerre mondiale ».

 

2

En fin d’année, la ministre des Affaires étrangère

Michèle Alliot-Marie était en Tunisie. Le 27 décembre

2010, elle a rencontré, en pleine répression

sanglante de la révolution, deux représentants du

régime Ben Ali2. Chef de la diplomatie française et

ayant une place de choix pour assister aux émeutes

tunisiennes, l’on affirme qu’au Quai d’Orsay personne

n’a rien vu venir…


Henri Guaino, conseiller spécial à la présidence de la

République, a passé les fêtes de fin d’année... en

Libye. Officiellement, il dit n’avoir rencontré ni le colonel

Kadhafi ni aucun officiel libyen, et assure que Nicolas

Sarkozy était au courant de son voyage et n’y a émis

aucune objection.


S’agissant de ces voyages, les médias se sont

intéressés aux questions financières, laissant

volontairement dans l’ombre les autres questions,

beaucoup plus importantes à la lumière des

événements actuels et projetés par le cartel bancaire

depuis une trentaine d’années. LIESI a reçu cette

confidence d’une source fréquentant un membre

important du Grand Orient3 : « Les réseaux d’influence

au sommet de l’Etat français sont très actifs en vue de

2012 ». La journaliste S. Coignard écrit : « Dans tous

les cénacles, la main invisible des francs-maçons

anime les conversations. Pourquoi ? Parce qu’elle obéit

à une combinaison magique : réseau d’influence plus

secret d’appartenance. Le cocktail parfait ! »

(..)

 

Bref, l’on ne nous fera pas croire que ces voyages sont sans rapport

avec les événements actuels. Comme l’exprime Le

Point : « Dès qu’une nomination ou une décision

semble inexplicable, chacun, parmi les profanes, songe

à la Franc-maçonnerie. Comment en serait-il

autrement ? » Comme avant les grandes révolutions

passées (1789, 1917), les réseaux maçonniques de

très haut niveau préparent activement la période

révolutionnaire où l’on verra le retour de Comités de

Salut Public (probablement dirigés par des

fondamentalistes islamistes). Cette prochaine période

sera précédée par des « lois iniques », lesquelles

seront votées un 29 juin de l’année X. Que le lecteur

prenne acte.


L’objectif du projet maçonnique est de produire le

« Grand OEuvre » ordonné par le Grand Architecte. En

suscitant de tels bouleversements au Proche-Orient et

en Afrique du Nord, via des agents disséminés dans

toutes les structures de la société (civile et surtout

religieuse), la Secte (ou la Synagogue de Satan4)

cherche à réaliser ce que disait Albert Pike :

« […] nous déchaînerons les révolutionnaires

nihilistes et athées, et nous provoquerons un

formidable cataclysme social5, qui montrera bien aux

nations, et dans toute son horreur, l’effet de

l’incroyance absolue, mère de la sauvagerie et du

plus sanglant désordre. Alors, partout, les citoyens,

obligés de se défendre contre la minorité folle des

révoltés, extermineront ces destructeurs de la

civilisation ; et les innombrables désabusés de

l’adonaïsme, dont l’âme déiste sera jusqu’à ce

moment restée sans boussole, ayant soif d’idéal,

mais ne sachant à quel dieu décerner leurs

hommages, recevront la Vraie Lumière, par la

manifestation universelle de la pure doctrine

luciférienne6, rendue enfin publique, manifestation qui

surgira du mouvement général de réaction, à la suite

de l’écrasement de l’athéisme et de l’adonaïsme, tous

deux vers le même temps vaincus et exterminés.

 

L’enfantement de la religion de Lucifer Dieu-Bon,

s’établissant à jamais sans rivale sur le globe

terrestre, ne saurait être une opération instantanée, ni

d’un an, ni d’un lustre, ni d’un siècle. L’oeuvre durable

est celle qui se crée par progression lente. Le XIX°

siècle a vu la conception du vrai et bon catholicisme ; le XX°

siècle sera le siècle de la gestation, pour

amener sûrement la parturition à son terme fixé dans

le Livre des Cieux… » Charleston, 15 a

oût 1871.

 

 

2 Le président tunisien a dit à une source proche de LIESI, qui

l’avait rencontré à cette même époque: « Je ne comprends

pas le jeu des Occidentaux. La Tunisie est le dernier

rempart de la France. Si je saute, ce sera la guerre

mondiale ». Notre interlocuteur est un homme d’affaires

français.


3 Il existe une hostilité qui ira crescendo entre le Grand Orient

et la Grande Loge Nationale de France. Par exemple, quand

les Frères ont couvert Bernard Tapie de millions, Jean-Michel

Quillardet, un avocat qui était alors grand maître du Grand

Orient, s’était indigné comme suit : « Je voulais envoyer un

signal : montrer que les francs-maçons ne sont pas tous dans

les combines, explique-t-il. On sait que des membres de la

GLNF ont joué un rôle dans cette affaire, à l’Elysée, à Bercy,

mais aussi parmi les avocats d’affaires spécialisés dans les

liquidations judiciaires, qui sont à la fois proches de Tapie et

impliqués dans des transactions en Afrique ».


4 LIESI reprend à juste titre cette expression des auteurs

antilibéraux du XIX° siècle à juste titre puisque, de l’aveu

même d’Albert Pike : « Ce que nous devons dire au vulgaire,

c’est ceci : ‘‘Nous adorons un Dieu, mais c’est le Dieu qu’on

adore sans superstition’’. A vous, Souverains Grands

Instructeurs Généraux, nous disons ceci pour que vous le

répétiez aux Frères des 32ème, 31ème et 30ème degré : ‘‘La

religion maçonnique devrait être maintenue dans la pureté

de la doctrine luciférienne par nous tous, initiés des hauts

degrés’’ » (The Freemason, 19 janvier 1935).

5 Ce sera vraisemblablement pour 2012. Depuis des années,

ils annoncent la couleur avec Hollywood. (Ndlr)


6 Les agents de ces futurs Comité de Salut Public passeront

dans toutes les maisons de France et de Navarre, exigeant

d’abjurer le Dieu des chrétiens. (Ndlr)

 

La maçonnerie civile travaille à la démo(n)cratie

universelle, étape précédant la révolution satanique. La

maçonnerie ecclésiale oeuvre au second pandémonium

d’Assise avec toutes les fausses religions

antichristiques. Après cela, d’aucuns seraient surpris

qu’une grande catastrophe survienne où, selon toutes

les prophéties, entre trois quarts et deux tiers de

l’humanité disparaîtrait. Nous sommes comme au

temps de Noé : les aveugles suivent des aveugles qui

les conduisent devant l’abîme, un petit nombre a

compris que « De Dieu on ne se moque indéfiniment »

et que les signes en faveur d’un bouleversement se

multiplient de par le monde. Il convient donc de s’y

préparer avec intelligence, pondération, calme et

sérénité.

 

La réforme monétaire internationale

coïncide avec l’émergence d’un

BLOC ISLAMIQUE


- (LIESI) : Les événements du Proche-Orient nous

conduiront-ils à une nouvelle guerre mondiale ?

- (Source au-dessus du cartel bancaire) : Oui, c’est

pourquoi je vous ai évoqué dans les années 80 le

rapport avec les guerres puniques en vous précisant

que cela commencerait par Carthage.

- (LIESI) : Dans ce cas, la réforme monétaire n’aboutira

à rien ?

- (R.) : Absolument. Comme vous le savez, il y a

plusieurs niveaux de réseaux d’influence fonctionnant

selon une structure de commandement pyramidale. Les

plus influents savent que les révolutions actuelles ne

marcheront pas dans le sens de ce dont vous parlez en

citant Soros ou d’autres du milieu bancaire. Seuls ceux

qui travaillent au niveau occulte connaissent

l’aboutissement et les failles de l’actuel scénario.


- (LIESI) : Donc, cela échappera au contrôle du cartel

bancaire ?

- (R.) Bien évidemment. Désormais, suivez bien la

manière dont la Russie agira à l’égard des réseaux

islamistes. […] Pour le cataclysme social, le niveau de

vie des populations va être divisé par deux et une

grande crise de l’immobilier va frapper à la porte des

Etats quand vous verrez les taux d’intérêt s’envoler.

Plus la catastrophe attendra avec l’injection de papier

monnaie, plus elle sera dévastatrice. Actuellement,

plusieurs de mes amis de la Montagne [Suisse - Ndlr]

soldent leurs biens dans de nombreuses capitales

européennes, tant que les gogos achètent […] »

 

Comme peu de personnes ont assimilé l’existence d’un

Pouvoir occulte, la plupart des commentateurs sont

bien évidemment incapables d’appréhender l’avenir

comme LIESI le pratique depuis plus de dix ans. Elles

restent scotchées à une grille de lecture selon laquelle

les gouvernements ont du pouvoir. Or ces politiciens

ne sont, en réalité, que les laquais des réseaux de

la Synagogue. C’est bien pourquoi tous les politiciens

« influents » sont si riches. Ils vivent des prébendes

d’un système dont ils sont les esclaves. Depuis des

lustres, ce sont les acteurs de la désintégration de leur

propre Etat national. Ce sont eux encore qui trahissent

leurs concitoyens en favorisant sans cesse les intérêts

mondialistes des oligarques du cartel bancaire. Dans

ce monde d’esclavage sans pitié, les amis d’hier sont

les ennemis d’aujourd’hui. Hier, on dînait avec des S.

Hussein ou des Ben Ali, l’on acceptait leurs faveurs ;

aujourd’hui, on gèle leurs avoirs.


Maintenant, on parle de l’urgence d’une réforme

monétaire internationale, mais au profit de qui ?

Certainement pas pour le bien commun. Les fauteurs

de la crise sont ceux-là mêmes qui rémunèrent

grassement les laquais politiques placés aux

commandes apparentes des Etats.


Dans ce contexte, il n’est pas surprenant que les

événements monétaires actuels et la géopolitique

ambiante traduisent (comme l’exprime d’ailleurs

fort justement George Soros) un changement de

paradigme sociétal. Cela rappelle, bien sûr, l’analyse

des Protocoles de 1901 faite à titre privé par le Prix

Nobel Alexandre Soljenitsyne. Provoquer la faillite

des Etats, introduire une crise monétaire et une

crise sociale en vue d’imposer un système

monétaire tyrannique… tout cela était écrit en 1901.

 

Les récentes révolutions survenues se déroulent à un

moment où la présidence française, choisie par le cartel

bancaire pour amorcer une réforme du système

monétaire international, engage un processus sérieux.

Début mars, commentant le dernier G20 organisé à

Paris, le Premier ministre F. Fillon déclarait : « Un

premier pas a été franchi : tout le monde accepte de

parler de la réforme du système monétaire

international ». Il précisera ensuite : « Tout ne sera

(cependant) pas réglé cette année ».

 


LIESI a déjà eu l’occasion de préciser que pour le cartel

bancaire, cette réforme ne doit pas accoucher, dans

l’immédiat, d’une monnaie mondiale. Une étape

intermédiaire prévoit l’émergence de monnaies

régionales. Il y a déjà l’euro pour l’Europe, on parle de

l’Améro pour les Amériques et le Canada, les

Asiatiques auraient également leur monnaie… reste la

question des pays islamiques. D’où l’URGENCE de

réaliser un BLOC ISLAMIQUE dans le délai évoqué

par F. Fillon. D’aucuns s’accorderont pour reconnaître

cette coïncidence aveuglante : « tout le monde

accepte (enfin) de parler de la réforme du système

monétaire international » au moment où les choses

bougent ENFIN au Proche-Orient, comme le

prévoyait le plan de 1982-84.

Il existe cependant un problème évident avec les

islamistes : leur système bancaire.

 

La perspective d’établir une monnaie régionale au

Proche-Orient est l’un des objectifs poursuivis depuis

des années. Même en pleine tourmente révolutionnaire

égyptienne, les financiers de Wall Street n’ont pas

perdu la tête. On a demandé à Moubarak de demeurer

au pouvoir tandis que l’on s’exerçait au pillage de la

richesse monétaire du pays. Selon des sources

officielles, la Banque centrale d’Egypte détenait 36

milliards de dollars en devises, ainsi que 21 milliards de

dollars additionnels en dépôts dans des institutions

financières internationales. Dans les jours ayant

précédé le discours de Moubarak, l’évasion de

capitaux roulait au rythme de plusieurs centaines

de millions de dollars par jour ! Bouleversement

financier, hausse de la dette, augmentation en flèche

des prix alimentaires : avant que l’on ait réclamé des

élections « démocratiques », l’Egypte aura été soumise

aux règles rigides d’une nouvelle série de conditions du

FMI.

 

La notion de « bloc islamique » implique de grandes

transformations, y compris chez les alliés arabes de

Washington.

 

Que vont devenir l’Arabie saoudite et le

Bahreïn dont le gouvernement (sunnite) est confronté à

une population chiite à 75 % ? On notera que le 26

février 2011, Hassan Mashaimaa, leader en exil de

l’opposition chiite du Bahreïn et chef du parti

radical Haq, a regagné Manama (capitale bahreïnie),

où la contestation populaire ne faiblit pas depuis

plusieurs semaines. Qui lui a permis d’arriver sur

place pour préparer une révolution dans le pays ?

Pourquoi les services secrets israéliens et américains,

qui éliminent si facilement les gens, n’ont-ils rien fait ?

Hassan Mashaimaa a immédiatement réclamé la

démission du gouvernement.


La création d’un bloc islamique ne correspond pas

seulement à une exigence géopolitique et à la

réalisation d’un calendrier occulte. En effet, une source

frayant avec une famille du cartel bancaire nous a

interpellés en confiant que l’objectif, toujours recherché,

est d’obtenir une monnaie mondiale après la

réalisation d’une étape préliminaire consistant en la

création de monnaies régionales.

 

Or comme nous le disions, à ce jour il n’existe pas

de monnaie régionale pour l’ensemble des pays

islamiques du Proche-Orient.


Max Levine explique : « La constitution d’un bloc

islamique répond aussi à cette exigence. D’autant plus

que la coalition des forces politiques et sociales

derrière les révolutions en Tunisie et en Egypte - et

peut-être ailleurs demain - constitue une menace bien

plus grande au ‘‘système global’’, qu’Al Qaïda. Tout

gouvernement ‘‘du peuple’’, islamique ou laïc, se

détournera des politiques néolibérales qui ont

enrichi les élites régionales tout en enfonçant la

moitié ou plus de la population sous le seuil de

pauvreté de 2 dollars par jour. (...) En bref, si les

révolutions de 2011 réussissent, elles créeront un

système régional et global totalement différent de

celui qui a dominé la politique économique globale

depuis des décennies, particulièrement depuis la

chute du communisme ».


Alors, qu’est-ce qui peut tant effrayer l’establishment

financier international ?


L’argent est encore le nerf

des révolutions et des guerres


Contrairement à la croyance populaire, les finances

mondiales ne sont pas sous le contrôle des banques

centrales, mais de leurs actionnaires, c’est-à-dire de

quelques familles richissimes. Comme elles contrôlent

l’émission monétaire des pays par l’intermédiaire de

leur banque centrale, et comme elles prêtent de l’argent

à ces pays à un coût de plus en plus élevé, ces familles

oligarchiques gagnent de plus en plus d’argent et donc

de pouvoir.


La Tunisie, l’Egypte, le Yémen, la Jordanie et l’Algérie,

etc., tous ces pays sont sous leur contrôle. Un

problème se pose cependant. Depuis la financiarisation

des économies occidentales et la faillite des banques

de l’Ouest, un sujet inquiète le cartel bancaire : le

fulgurant développement du système des banques

islamiques au Moyen-Orient.

 

Pour les responsables

du système bancaire islamique, pratiquant la charia,

l’usure ou l’intérêt sont interdits. De même que tous les

investissements dans des biens ou des services

contraires à l’Islam sont condamnés. En revanche, les

investisseurs perçoivent un revenu de leur placement ;

ce profit est généré par l’objet de l’investissement et

non par l’argent lui-même. Cela permet une plus

grande stabilité en période économique très houleuse,

comme aujourd’hui. De fait, le développement de la

banque islamique se heurte aux principes usuraires

du cartel bancaire.7


Tant que les taux d’intérêt restent bas, la situation est

sous contrôle, mais dans la perspective (prochaine) de

leur hausse, le système de la banque islamique 8 (il y a

1 500 milliards de dollars de richesse privée à capter

dans le Golfe) devient une menace évidente pour le

cartel bancaire. Or, justement, c’est en Tunisie que

fut créée la première banque islamique de l’Afrique

du Nord9 ! La Zitouna Bank fut en effet ouverte le 26

mai 2010 par Sakher El Materi10, gendre de l’exprésident

tunisien Ben Ali ! The Telegraph du 19

octobre 2010 affirmait que « le président Ben Ali

soutenait un projet consistant à faire de la Tunisie un

centre régional de la finance islamique pour l’ensemble

de l’Afrique du Nord ». Le journal britannique révélait

que des financiers saoudiens, impliqués dans ce projet,

espéraient que ce dispositif pourrait permettre à la

Tunisie de tirer profit de sa position stratégique au sein

de la Méditerranée et devenir de fait un pont entre

l’Union européenne et les économies à croissance forte

de l’Afrique du Nord et de l’Afrique subsaharienne.


Depuis le développement de ce processus11, et

craignant un effet boule de neige, il y eut des

discussions serrées au sein du cartel bancaire. La

finance islamique représente mille milliards de dollars

américains sur le marché financier international. En

outre, selon un haut responsable de Zitouna Banque,

certains pays arabo-musulmans auraient même

exprimé leur intérêt pour y investir, dont les Emiratis,

les Qataries, les Koweïtiens et bien entendu les

Saoudiens. Face au succès du système financier

islamique, à son développement, à ses principes

(« Vous ne pouvez pas faire de l’argent à partir de

rien »), le cartel bancaire a conclu que le réseau des

banques occidentales classiques était menacé. D’où

l’urgence d’une décision. Le problème a été étudié

d’autant plus sérieusement qu’en 2009, les actifs

bancaires de la finance islamique atteignaient déjà 400

milliards de dollars. En novembre 2010, The Banker

publiait un document listant les 500 institutions

financières islamiques « faisant référence ». En tête,

des banques iraniennes (sept des dix premières

banques du classement) ! Finalement, l’exécutif du

cartel bancaire décida de donner une leçon aux

dirigeants et banquiers islamiques, comme on l’avait

fait avec Saddam Hussein dans un autre domaine,

lorsque ce dernier avait annoncé ne plus vendre le

pétrole d’Irak en dollar US. Notre source fréquentant

l’exécutif du cartel bancaire indiquait récemment que

les financiers musulmans du Bahrein, qui ont l’intention

d’attirer les investissements de l’ensemble du monde

musulman en se présentant comme les gardiens

scrupuleux de la bonne gouvernance de la finance

islamique, sont en pleine réflexion… Plus, le 28 mai

2010, un peu plus de sept mois avant le coup d’état du

cartel bancaire contre Ben Ali, Business Time signalait :


« L’Afrique du Nord a commencé à adopter les règles

de la finance islamique après l’avoir étudiée durant des

années. […] La Tunisie est une des économies les plus

ouvertes de la région et elle attire déjà de nombreux

capitaux de l’Union européenne. Un phénomène qui

va s’amplifier à partir de 2014, puisque le

gouvernement de Ben Ali a affirmé qu’il ferait de sa

monnaie (le dinar tunisien) une devise entièrement

convertible ». Dans la foulée, Finance News du 31 mai

2010 indiquait : « Zitouna Bank cherche à donner une

dimension régionale à ses activités, tout

particulièrement dans la région du Maghreb, d’autant

plus qu’elle est la première banque spécialisée

n’appartenant pas à un groupe bancaire étranger.

[…] La banque, pratiquant le modèle de la finance

islamique, cherchera à établir des relations solides

avec les banques du Maghreb et celles de la

Méditerranée pour assurer une évolution satisfaisante

des opérations financières de ses clients ».


« L’institution financière est en train d’établir des

relations très solides avec douze banques islamiques

proche de l’Institut bancaire du Bahrein ».

 

 

Il ne fait aucun doute que le développement de cette

pratique de la charia au niveau bancaire, constitue une

menace pour les profits des banqes centrales

contrôlées par le cartel bancaire.

 

D’ailleurs, quelques semaines après

le limogeage de l’ancien agent de la

CIA Ben Ali, la presse financière internationale posait

cette question : « Le départ brutal de Sakher El Materi

et la mise sous séquestre de toutes ses possessions

sonneraient-ils le glas de la finance islamique grand

public en Tunisie ? » Commentaire de la presse

tunisienne au moment où nous rédigeons : « Dans

cette période d’ambiguïté dans laquelle baigne le pays,

on va certainement transiter par des situations où les

appréciations générales restent tributaires du bon

vouloir de certaines personnes qui veulent se préserver

et protéger leurs intérêts ».


Le 20 janvier 2011, la Zitouna Bank était saisie par

la Banque centrale tunisienne, sous le contrôle des

Rothschild, les leaders du cartel bancaire. Tous les

pions politiciens de l’Occident, sous la coupe du cartel

bancaire, ordonnèrent à l’unisson le gel des

« méchants tunisiens ».

 


Il faut maintenant suivre de près l’évolution des

banques islamiques en Egypte où les pions du cartel

bancaire feront tout pour les mettre en difficulté ; ce,

afin de montrer leur vulnérabilité et de nuire ainsi à la

confiance qu’elles inspirent dans le monde islamique et

même en Occident.


Les financiers des révolutions spontanées en Tunisie et

en Egypte sont tellement généreux qu’ils se disent

prêts à offrir la « démocratie » aux peuples concernés.


Cette démocratie qui permet à un dirigeant arabe d’être

un bon démocrate s’il obéit gentiment à Washington, et

peu importe alors s’il ordonne de faire tirer sur la foule

et de tuer des gens, comme c’est aujourd’hui le cas en

Arabie saoudite ou au Bahrein ! Ces démocrates

arabes seront toujours reçus avec tapis rouge par les

chantres de la religion démocratique en Occident.


Curieusement, l’un des hommes qui s’apprête, en

Egypte, à offrir les services du cartel bancaire, est El

Baradei. Ce que les médias cachent soigneusement est

qu’El Baradei est administrateur de l’International Crisis

Group, organisme chapeauté par les Rothschild… Un

autre membre de ce groupe est Z. Brzezinski, le mentor

d’Obama. G. Soros est aussi de la partie comme

membre du comité exécutif.

 

Comme cela fut fait pour l’Occident, le cartel bancaire

veut imposer ses propres règles bancaires d’usure et

de servage aux autres peuples. Les musulmans doivent

emprunter aux banques du cartel et Ben Ali a commis

une grave erreur : penser un seul instant qu’il

pourrait faire de la Tunisie le centre financier de

l’Afrique du Nord et promouvoir les règles de la

finance islamique. Il a oublié qu’il n’était qu’un pion

sur un jeu d’échiquier où les joueurs sont capables de

sacrifier une pièce pour la remplacer.


La déstabilisation de la Libye :

accélérer l’effondrement de l’Europe


Dans le contexte actuel où les Etats-Unis connaissent

un effondrement, comme l’exprime l’évolution du dollar

contre toutes les devises, et où les signes d’une guerre

civile sont de plus en plus nombreux, les stratèges

américains préparent les esprits à une prochaine

invasion en Libye. Comme l’opposition à ce scénario

est très forte, surtout de la part des Russes et de ses

alliés (de plus en plus nombreux), il faut convaincre les

valets européens. Pendant ce temps, les réseaux

mondialistes alimentent les tensions en Libye afin de

justifier l’intervention militaire. Officiellement, le porteavions

nucléaire USS Enterprise est positionné dans le

Golfe d’Aden pour lutter contre la piraterie. Mais il

remonte maintenant vers les côtes libyennes.


La Libye représente seulement 2 % du pétrole mondial.

Mais pour les pays européens, déstabiliser ce pays

sera très dangereux. Ils dépendent en effet largement

du pétrole libyen. L’Italie reçoit 22 % de son pétrole de

la Libye ; la France 16 % ; l’Allemagne, l’économie la

plus résistante, 8 % ; l’Autriche, 21 %. Donc l’Europe

est en général dépendante du pétrole libyen entre 10 et

15 %. Les Etats-Unis ? …0,5 %.


Si le pétrole libyen est coupé, si les puits de pétrole

sont brûlés, ce sera une catastrophe pour les

Européens. Il semble manifeste que l’establishment a

engagé un scénario qui mène inéluctablement à

l’embrasement de toute la région.

 

Plusieurs indices confirment déjà

qu’en Tunisie ou en Egypte, les choses

ne se passent pas du tout comme les mondialistes le

souhaitent. Si les magouilles des banquiers

internationaux n’aboutissent pas, on peut très bien voir

émerger un bloc Tunisie, Egypte, Libye contre

l’Occident.

 

Il est quasi-certain que les événements

libyens favoriseront l’entrée en scène de groupes

islamistes. « Al-Qaïda pourrait s’infiltrer et faire de la

Libye un deuxième Irak. Il y a d’ailleurs déjà des

groupes armés au Niger que personne ne parvient à

contrôler. Leur influence pourrait s’étendre à la Libye,

au Tchad, au Mali, à l’Algérie… En fait, en préparant

une intervention militaire, les Occidentaux sont en train

de s’ouvrir les portes de l’enfer ! » Dans le même

temps, le pouvoir radical-islamique se renforce au

Pakistan. Des islamistes viennent d’assassiner

Shahbaz Bhatti, ministre pakistanais des minorités,

seul chrétien au gouvernement. Commentaire du

quotidien libéral Helsingin Sanomat : « Le pouvoir du

gouvernement va s’affaiblir davantage et la marge de

manoeuvre des réseaux terroristes est plus grande

qu’avant. Le gouvernement du Premier ministre

Youssouf Raza Gilani est pratiquement impuissant et le

président Asif Ali Zardari n’a pas de réel pouvoir.

Parfois l’armée combat les groupes radicaux, parfois

elle les instrumentalise. Le pire, c’est que le Pakistan

fabrique de nouvelles armes nucléaires plus vite que

tout autre pays ». Selon le quotidien Süddeutsche

Zeitung : « On verra très vite si l’armée du pays est

encore un allié fiable. Il est possible que l’infiltration

islamique ait déjà gagné les forces armées. Il y aurait

alors peu d’espoir ». Dernier commentaire du quotidien

catholique italien Avvenire : « Celui qui ose défendre

des chrétiens sans défense, comme Asia Bibi,

condamnée à mort pour blasphème, meurt dans un

pays qui subit l’emprise toujours plus grande du

fondamentalisme islamique ». A noter que le Pakistan

doit son existence à l’Islam : il résulte, comme le

Bengladesh, d’une partition de l’Empire britannique des

Indes, rendue inévitable par l’impossible coexistence

entre les musulmans et les hindous.


Ps. Nous préférerions dire que les dramatiques événements

du Japon sont d’ordre naturel, ce que nous pensions de prime

abord. Mais il existe malheureusement des doutes objectifs

fondés sur des éléments rappelant ceux de Haïti, de Nouvelle

Zélande, etc. En outre, le programme HAARP fut activé

après « le 8 mars jusqu’au 11 mars à 8h30 UTC ».


Curieusement, le 11 MARS 2011 était l’anniversaire des

attentats de Madrid.

 

 

 

 

 

7 Notons au passage que cette condamnation de l’usure figure

également dans la Bible. Mais les Hébreux s’autorisaient à

prêter à usure aux autres peuples. La doctrine catholique a

universalisé la condamnation de l’usure, comme le faisait

également Aristote. Elle fut confirmée pour la dernière fois en

1745, par l’encyclique Vix pervenit donnée par Benoît XIV,

bien oubliée mais jamais rapportée. On a vu par la suite se

constituer une « doctrine sociale » de l’Eglise, seul véritable

antidote aux mystifications marxistes (NB : Marx fut stupendié

par les Rotschild pour écrire le Manifeste du Parti communiste.

Il n’était donc pas anormal de retrouver cette même source de

financement lorsque Jaurès fonda le journal L’Humanité). Mais

que peut valoir une doctrine « sociale » sans la doctrine

économique qui en constitue le socle et peut seule la rendre

effective ? Souvenons-nous que la levée de l’interdiction de

l’usure fut une des toutes premières mesures prises par les

révolutionnaires de 1789 ! Mais ce qui est justement

condamné par l’encyclique de 1745, ce n’est pas la

rémunération du service rendu par le prêteur, surtout dans le

cas du prêt d’investissement destiné à créer de la valeur

économique. La condamnation porte sur le calcul mécanique

d’un intérêt, avec la boule de neige des intérêts composés qui

grossit imperturbablement, sans aucun lien avec les fruits

effectifs générés par le prêt ; c’est la disjonction entre la

finance et l’économie réelle (ce qu’on retrouve mieux encore

avec la déconnection actuelle entre l’économie réelle et une

« économie » virtuelle où se manient des sommes des milliers

de fois supérieures aux échanges commerciaux observés).

 

8 Aujourd’hui, à Bahreïn, 27 banques islamiques gèrent 25,8

milliards de dollars d’actifs, soit treize fois plus qu’en 2000.

Une banque est considérée comme islamique si plus de 20 %

de ses actifs sont conformes aux principes de la charia. Ces

investissements représentent 11 % du total des actifs placés

dans les 412 institutions financières enregistrées dans le petit

royaume. En juin dernier, la Banque centrale a émis un

soukouk (équivalent islamique d’une obligation) d’une valeur

de 500 millions de dollars. Il a été sur souscrit près de huit

fois.


9 En Algérie, il existe actuellement trois entités appliquant les

règles de la finance islamique : El Baraka Bank, Salama

Assurances Algérie et Salem Banque.

10 Les banquiers internationaux ne lui pardonnent pas ce

geste. Sakher El Materi est recherché par Interpol. Il est arrivé

aux Emirats Arabes Unis dans un jet privé et a eu droit à un

traitement VIP.


11 Selon le Washington Post du 31 octobre 2008, la « banque

islamique » a connu un fort développement après

l’effondrement de Lemann Brothers et la faillite de plusieurs

banques occidentales. C’est ainsi que le ministre du

commerce du Koweït, Ahmad Bager, a dit que la crise

mondiale incitera davantage de pays à recourir aux principes

islamiques dans la gestion de leur économie.


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Libéralisme fou.Finance islamique.Mobilisation pour le pouvoir d'achat

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