23 février 2010
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press/medias 15 articles
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Le Sarkoshow sur TF1 (2) : la défaite du journalisme
paru dans : Le Sarkoshow sur TF1 (1) : Laurence Ferrari en hôtesse d'accueil100223:1749 acrimed 21 min ouvrir

Le Sarkoshow organisé par TF1 le 25 janvier 2010, peut-être déjà oublié par les téléspectateurs, marque une date dans l'histoire de la très politique dépolitisation des débats télévisés. Après un apéritif où, sous couvert d'interroger Nicolas Sarkozy sur l'actualité, Laurence Ferrari, bon gré, mal gré, dut se contenter de distribuer les amuse-gueules (voir notre précédent article), TF1 conviait « ses » téléspectateurs à entendre des « Paroles de Français » ...
Le Sarkoshow sur TF1 (1) : Laurence Ferrari en hôtesse d'accueil
100223:1749 2 articles acrimed 12 min ouvrir Publié le 3 février 2010 par Henri Maler
Le 25 janvier 2010, Laurence Ferrari recevait le président de la République au cours du JT de 20 h pour qu'il réponde à des questions d'actualité, avant que celui-ci ne soit confronté à des « gens ordinaires ».
Un prologue du Sarkoshow. Un apéritif, avec quelques amuse-gueule, mais sans alcool.
Comme le montre la transcription des questions posées par Laurence Ferrari (que nous proposons en « Annexe »), la réception du président de la République pour le Sarkoshow que lui avait réservé TF1 a commencé, au cours du journal télévisé, par un accueil très convivial.
Le 25 janvier 2010, Laurence Ferrari recevait le président de la République au cours du JT de 20 h pour qu'il réponde à des questions d'actualité, avant que celui-ci ne soit confronté à des « gens ordinaires ».
Un prologue du Sarkoshow. Un apéritif, avec quelques amuse-gueule, mais sans alcool.
Comme le montre la transcription des questions posées par Laurence Ferrari (que nous proposons en « Annexe »), la réception du président de la République pour le Sarkoshow que lui avait réservé TF1 a commencé, au cours du journal télévisé, par un accueil très convivial.
« L'amour, ça se fait à deux », par Nicolas Demorand et Bernard-Henri Lévy
100223:1746 acrimed 12 min ouvrir Publié le 22 février 2010
Confronté à la « meute » de ses admirateurs inconditionnels, BHL se pose désormais en victime des médias...
Mais pour faire face à l'adversité, la résistance s'organise, avec le renfort de Nicolas Demorand.
Demorand à contre courant et à contre-emploi
Dans sa chronique « Tous azimuts » du 18 février 2010, sur France Inter, l'animateur de la matinale, ancien de l'École Normale de Saint-Cloud, prend courageusement la défense de BHL, ancien de Nomale Sup' de la rue d'Ulm (mieux cotée), et invite à lire les articles défendant le philosophe sur le site Slate.fr, dirigé par le chroniqueur de France Inter Jean-Marie Colombani, deux articles « à contre-courant du contre-courant », précise Demorand. Parmi ces articles, celui de Philippe Boggio - dont Demorand oublie d'indiquer qu'il fut aussi l'hagiographe de BHL (et de Johnny Hallyday...) et qu'il concluait ainsi son article, finement intitulé « BHL victime de délit de faciès ? » :« Compte tenu de l'état de la société, de ses besoins de lynchage, de sa passion pour les oukases médiatiques, la prochaine fois, au prochain livre, internautes, lecteurs ou critiques, quelques-uns ne se retiendront plus. Bernard-Henri Lévy, ce juif... ». « Il y a dans tout cela quelque chose qui pue », commente Demorand à propos des critiques contre BHL, avant d'ajouter : « Et pour le reste sachez que Bernard-Henri Lévy sera demain l'invité du 7-10 ». Ce n'est que justice puisque ce ne sera que la septième fois depuis octobre 2007...
Confronté à la « meute » de ses admirateurs inconditionnels, BHL se pose désormais en victime des médias...
Mais pour faire face à l'adversité, la résistance s'organise, avec le renfort de Nicolas Demorand.
Demorand à contre courant et à contre-emploi
Dans sa chronique « Tous azimuts » du 18 février 2010, sur France Inter, l'animateur de la matinale, ancien de l'École Normale de Saint-Cloud, prend courageusement la défense de BHL, ancien de Nomale Sup' de la rue d'Ulm (mieux cotée), et invite à lire les articles défendant le philosophe sur le site Slate.fr, dirigé par le chroniqueur de France Inter Jean-Marie Colombani, deux articles « à contre-courant du contre-courant », précise Demorand. Parmi ces articles, celui de Philippe Boggio - dont Demorand oublie d'indiquer qu'il fut aussi l'hagiographe de BHL (et de Johnny Hallyday...) et qu'il concluait ainsi son article, finement intitulé « BHL victime de délit de faciès ? » :« Compte tenu de l'état de la société, de ses besoins de lynchage, de sa passion pour les oukases médiatiques, la prochaine fois, au prochain livre, internautes, lecteurs ou critiques, quelques-uns ne se retiendront plus. Bernard-Henri Lévy, ce juif... ». « Il y a dans tout cela quelque chose qui pue », commente Demorand à propos des critiques contre BHL, avant d'ajouter : « Et pour le reste sachez que Bernard-Henri Lévy sera demain l'invité du 7-10 ». Ce n'est que justice puisque ce ne sera que la septième fois depuis octobre 2007...
L'Info contre les guerres impériales
100221:1854 alterinfo WordWar 4 min ouvrir 
La guerre est la pire des solutions, elle aggrave les problèmes au lieu de les résoudre. Elle sème partout ruines, désolation, morts, handicaps, blessures intérieures, stress, douleurs... Et avec les moyens actuels, elle est redoutablement dangereuse. Désormais, on parle d'ailleurs ouvertement d'utiliser les armes nucléaires - banalisées !
Rapport Filloux sur l'AFP : réactions syndicales
100221:1108 acrimed 15 min ouvrir Publié le 18 février 2010
Frédéric Filloux a remis son rapport au PDG de l'AFP. Nous publions ci-dessous et successivement les réactions du SNJ-CGT et de Sud-AFP (Acrimed)
Mais, d'abord, le rapport :
Rapport Filloux : un missile télécommandé
La précieuse ridicule
Le prétendu spécialiste multimédia, sous Contrat à Durée Déterminé pour six mois à l'Agence, Frédéric Filloux, a enfin remis son petit devoir de vacances au PDG, Pierre Louette. Bien entendu, nous ne nous permettrons pas d'affirmer ici que le contenu de ce « rapport » était téléguidé...
Frédéric Filloux a remis son rapport au PDG de l'AFP. Nous publions ci-dessous et successivement les réactions du SNJ-CGT et de Sud-AFP (Acrimed)
Mais, d'abord, le rapport :

/Rapport_AFP_Frederic_Filloux.pdfI. SNJ-CGT :
Rapport Filloux : un missile télécommandé
La précieuse ridicule
Le prétendu spécialiste multimédia, sous Contrat à Durée Déterminé pour six mois à l'Agence, Frédéric Filloux, a enfin remis son petit devoir de vacances au PDG, Pierre Louette. Bien entendu, nous ne nous permettrons pas d'affirmer ici que le contenu de ce « rapport » était téléguidé...
« La Faute de M. Peillon », fable (2) : « Circulez, y a rien à voir »
paru dans : Chez Arlette, cantine de la bonne soupe UMPiste100221:1104 acrimed 26 min ouvrir
Publié le 16 février 2010 par Henri Maler, Olivier Poche
Encore l'« affaire Peillon » (1). Pourquoi revenir sur cette « affaire » ? Parce qu'elle est révélatrice de la conception que les éditorialistes et les tenanciers des principaux médias se font de leur indépendance et de leur fonction démocratique. Et quand on tient un « cas d'école », il vaut la peine de s'y attarder (en nous appuyant notamment sur un entretien avec Vincent Peillon que nous remercions d'avoir accepté de répondre à quelques questions).
Encore l'« affaire Peillon » (1). Pourquoi revenir sur cette « affaire » ? Parce qu'elle est révélatrice de la conception que les éditorialistes et les tenanciers des principaux médias se font de leur indépendance et de leur fonction démocratique. Et quand on tient un « cas d'école », il vaut la peine de s'y attarder (en nous appuyant notamment sur un entretien avec Vincent Peillon que nous remercions d'avoir accepté de répondre à quelques questions).
La Société interaméricaine de presse (SIP) contre l'émancipation médiatique
100221:1057 Une Une acrimed 14 min ouvrir Publié le 17 février 2010 par Nils Solari
Du 6 au 10 novembre 2009, s'est tenue à Buenos Aires la 65ème assemblée générale de la Société Interaméricaine de Presse (SIP). Une lecture rapide des conclusions générales de la réunion laisse entrevoir une partialité caricaturale : aucune mention du coup d'Etat au Honduras et de véhémentes critiques à l'égard - presque exclusif - des pays de l'Alba (l'Alliance Bolivarienne des Amériques)...
Du 6 au 10 novembre 2009, s'est tenue à Buenos Aires la 65ème assemblée générale de la Société Interaméricaine de Presse (SIP). Une lecture rapide des conclusions générales de la réunion laisse entrevoir une partialité caricaturale : aucune mention du coup d'Etat au Honduras et de véhémentes critiques à l'égard - presque exclusif - des pays de l'Alba (l'Alliance Bolivarienne des Amériques)...
Qui critique BHL est... antisémite !
100220:1132 plumedepresse WordWar 4 min ouvrir 
samedi 20 février 2010, par Olivier Bonnet
Le titre de l'article, signé Philippe Boggio sur Slate, annonce la thèse défendue par l'auteur : BHL victime de délit de faciès ? La conclusion est terrifiante : "Ces deux livres-ci, le petit et le gros, et la manière véhémente qui les salue sont, il faut le savoir, la dernière étape avant l'ignominie. Compte tenu de l'état de la société, de ses besoins de lynchage, de sa passion pour les oukases médiatiques, la prochaine fois, au prochain livre, internautes, lecteurs ou critiques, quelques-uns ne se retiendront plus. Bernard-Henri Lévy, ce juif..." A l'appui de ce procès d'intentions, le journaliste estime que l'on s'acharne davantage sur ce pauvre BHL que sur nul autre. Sans raison valable à l'en croire, comme il l'énonce de façon incroyable dans cette phrase : "Dès lors que l'actualité est arrosée d'autant d'objets promotionnels made in BHL, les réfractaires s'estiment en droit de lancer leur contre-offensive. (...) Souvent, ils se muent en flics investigateurs pour vérifier l'exactitude des affirmations de BHL dans ses reportages pour Le Monde - qui ne sont pas exempts d'approximations, parfois, comme tous les autres reportages. Ainsi l'enquête, en 2008, sur les traces de BHL, en Géorgie, pendant l'offensive russe." Boggio est un ancien grand reporter du Monde, justement : il n'est guère flatteur pour le "quotidien de référence" d'écrire ainsi que "tous les autres reportages" comportent autant d' "approximations" que celui qu'il cite en exemple, qui est en réalité une pure affabulation ! Il faut se souvenir que l'imposteur prétendait rentrer de Gori, décrite comme une ville incendiée par les Russes où flottait une odeur de putréfaction. Alors qu'il avait été bloqué par un barrage dans les circonstances décrites par l’éditeur Gilles Hertzog, qui l'accompagnait (cité dans notre billet BHL, mort à Gori) : "Non, on n’est pas rentré dans la ville, on est resté à l’orée de la ville, je ne sais pas à combien de kilomètres de Gori. Il faisait nuit, on apercevait vaguement des bâtiments quand il y avait des fusées éclairantes, mais on n’était que sur le bas-côté d’une route". Mais pour Boggio, ce ne sont là qu' "approximations". Il lui faut bien minimiser : ceux qui sont tombés sur BHL en cette occasion ne protestaient pas contre un "reportage" purement scandaleux, ils manifestaient leur antisémitisme ! Le terrorisme intellectuel ne connaît plus de bornes. Et des Boggio devraient méditer sur le fait qu'ils alimentent, eux-mêmes, l'antisémitisme : si l'on ne peut plus s'opposer à un juif sans être taxé de racisme, les juifs deviennent intouchables. Rien de tel pour exciter la futeur authentiquement judéophobe, pour alimenter les "Ils sont partout", les "Ils sont puissants", les "Ce sont eux qui décident de tout". Daniel Schneidermann s'est chargé de répondre à Boggio pour @rrêt sur images : "Evidemment, le préposé à la défense béachélienne n'écrit pas noir sur blanc que Pierre Assouline, Aude Lancelin ou moi-même sommes antisémites, ce qui serait assez drôle. Non. Si l'on comprend bien, c'est un antisémitisme inconscient, qui a guidé les critiques de BHL. Un antisémitisme en voie de cristallisation. (...) L'antisémitisme anti-BHL n'attend plus qu'un déclic, une occasion (le prochain livre, et le prochain auto-entartage par exemple) pour s'exhiber enfin à visage découvert, mais il est déjà totalement constitué." Avec le "raisonnement" de Boggio, Lévy bénéficie d'une immunité en tant qu'israélite - même s'il écrit n'importe quoi. "On ne peut rien dire, il est juif..." vont ricaner, l'air entendu, les nostalgiques de la shoah. Ou comment fournir de facto un bouc-émissaire rêvé à la vindicte antisémite, l'inverse du but recherché !
Un TGV zappe une gare, la presse déraille...
100219:1816 lesmotsontunsens 3 min ouvrir Vendredi 12 février, un TGV a "oublié" de s'arrêter en gare du Mans. LeFigaro.fr, qui a révélé l'affaire, évoque une "faute grave" de l'agent de conduite. L'info est immédiatement reprise par l'AFP et relayée par l'ensemble de la presse française. Sauf que le conducteur n'a finalement fait que son travail... lesmotsontunsens
C'est un boute-en-train du Figaro, présent à bord au moment des faits, qui a relaté l'histoire. Vendredi 12 février, à midi, un TGV n'a pas marqué l'arrêt prévu à la gare du Mans. La "faute grave" de l'agent de conduite est avérée puisqu'un contrôleur a balancé la "bourde" de son collègue au micro, précise l'article. D'autant que la direction de la SNCF en a remis une couche, un peu plus tard, dans Ouest-France : "Le conducteur du TGV pourrait avoir confondu la feuille de circulation de vendredi avec celle d'un autre jour, où ce TGV ne s'arrête pas au Mans". Depuis, la SNCF n'a plus communiqué sur le sujet. Et pour cause...
C'est un boute-en-train du Figaro, présent à bord au moment des faits, qui a relaté l'histoire. Vendredi 12 février, à midi, un TGV n'a pas marqué l'arrêt prévu à la gare du Mans. La "faute grave" de l'agent de conduite est avérée puisqu'un contrôleur a balancé la "bourde" de son collègue au micro, précise l'article. D'autant que la direction de la SNCF en a remis une couche, un peu plus tard, dans Ouest-France : "Le conducteur du TGV pourrait avoir confondu la feuille de circulation de vendredi avec celle d'un autre jour, où ce TGV ne s'arrête pas au Mans". Depuis, la SNCF n'a plus communiqué sur le sujet. Et pour cause...
Journalisme: 8 apparatchiks en colère
paru dans : « Les effroyables imposteurs » sur Arte, Hadopi, Loppsi2: la revanche des anti-Internet100219:1340 video Une numerolambda 4 min ouvrir

« Quant l'information va mal, c'est toute la démocratie qui est en danger ». Wahou! Quel programme. Arte nous invitait la semaine dernière à voir un documentaire de 26' qui a bénéficié d'une promotion plutôt inhabituelle, intitulé « Huit journalistes en colère ».
Dans les rôles titres, voilà quels étaient les « journalistes » conviés à s'exprimer sur ce sujet brûlant pour la démocratie: FO Giesberg (Le Point, ex-Figaro), Chabot et Pujadas (F2), Philippe Val (France Inter, ex-Charlie), Elkabbach (Europe 1), enfin Fottorino (Le Monde) et Plenel (Mediapart, ex-Le Monde). Douze ans après « Pas vu pas pris », de Pierre Carles, qui mettait son nez dans les relations incestueuses entre médias et politiques, un tel casting a de quoi faire flipper ! (3 vidéos à suivre)
Botul : « servilité » de la presse (journalistes Obs)
100219:1238 arretsurimages 2 min ouvrir 
"Devant la servilité dont une grande partie de a presse française a fait preuve vis-à-vis de Bernard-Henri Lévy pris en flagrant délit d'amateurisme philosophique, la Société des rédacteurs du Nouvel Observateur se félicite de la tenue morale et professionnelle du journal.A l'origine d'une révélation reprise par la presse internationale, le Nouvel Observateur a démontré son indépendance", explique la Société des rédacteurs du Nouvel Observateur dans un communiqué s'est procuré.
Arte : l'effroyable caricature de la théma « main basse sur l'info »
paru dans : « Les effroyables imposteurs » sur Arte, Hadopi, Loppsi2: la revanche des anti-Internet100218:0833 Une reopen911 WordWar 15 min ouvrir

La semaine dernière Arte diffusait une soirée théma intitulée "Main basse sur l'info". Elle était orchestrée par Daniel Leconte, chantre d'un certain "journalisme" déjà à l'œuvre en 2004 pour une soirée théma appelée "Le grand complot ". On pourra se délecter du décryptage en règle par un simple citoyen de cette ancienne émission. Reste que 5 ans plus tard, nos journalistes obsessionnels récidivent et parviennent une fois de plus à approcher le degré zéro de l'information. La bande annonce annonçait "Théma fait son travail et pose les bonnes questions ", de quoi s'esclaffer quand on connaît le parti pris de Daniel Leconte sur le sujet. Précisons que Daniel Leconte est directeur de la société de production Dock en stock commanditaire du reportage de Ted Anpach. Parce que Reopen911 est directement mise en cause par le reportage "Main basse sur l'info" de Ted Anspach nous vous proposons une expérience inédite : nous vous invitons à découvrir les coulisses de ce reportage, sorte de miroir sans teint!
Réponse à Arte, Marianne, au Figaro et plus généralement à toute la presse aux ordres (Zeynel Cekici)
« L'autoproclamée Agence de presse » Vous aussi devenez correspondant d'Alter Info
Depuis plusieurs années déjà, nos détracteurs à défaut de reproches fondés et de bases juridiques pour fermer notre agence de presse ASSOCIATIVE, en opposition aux agences COMMERCIALES, en sont réduits à la discréditer par de piteux procédés et des arguments tout aussi fallacieux. Que les correspondants d'Alter Info ne tombent pas dans le piège qui consiste à faire croire que nous ne serions pas une agence de presse. Les petits soldats aux ordres peuvent toujours reprendre en coeur le même petit refrain, « L'autoproclamée Agence de presse », ne leur en déplaise, Alter Info est bien une AGENCE DE PRESSE ASOCIATIVE et nos cartes de correspondants ont exactement la même valeur juridique que celles octroyées par la presse marchande. Tous les quotidiens régionaux ou nationaux ont des correspondants bénévoles (sans rémunération) auxquels ils octroient une carte de correspondant et un statut reconnu par les pouvoirs publics.
Depuis plusieurs années déjà, nos détracteurs à défaut de reproches fondés et de bases juridiques pour fermer notre agence de presse ASSOCIATIVE, en opposition aux agences COMMERCIALES, en sont réduits à la discréditer par de piteux procédés et des arguments tout aussi fallacieux. Que les correspondants d'Alter Info ne tombent pas dans le piège qui consiste à faire croire que nous ne serions pas une agence de presse. Les petits soldats aux ordres peuvent toujours reprendre en coeur le même petit refrain, « L'autoproclamée Agence de presse », ne leur en déplaise, Alter Info est bien une AGENCE DE PRESSE ASOCIATIVE et nos cartes de correspondants ont exactement la même valeur juridique que celles octroyées par la presse marchande. Tous les quotidiens régionaux ou nationaux ont des correspondants bénévoles (sans rémunération) auxquels ils octroient une carte de correspondant et un statut reconnu par les pouvoirs publics.
La complicité des médias dans la promotion de la guerre
100217:1813 endoctrinement propagande Stay mondialisation 16 min ouvrir 
Mondialisation.ca, Le 17 février 2010
Les spécialistes de la communication présentent, aujourd'hui, les guerres comme nécessaires, légales, utiles, morales, propres, chirurgicales... et ils nous y préparent, psychologiquement, à l'avance (1).
Les peuples aspirent à la paix. Mais l'oligarchie qui s'est octroyée le droit de vie et de mort sur les citoyens du monde entier, programme les guerres qui lui permettront de réaliser de juteux profits. De nombreux élus, à tous les niveaux, sont les alliés objectifs de ces politiques relayées par les médias. Ces derniers sont d'ailleurs, en France, aux mains des industriels de l'armement, et ils font, ouvertement ou indirectement, l'apologie de la guerre. (2). La guerre est même présentée comme un moyen de promotion des femmes (3) ! Les guerres, comme celle de l'Afghanistan, permettraient d'améliorer le sort des femmes. A l'inverse, inutile de proposer une émission sur la paix : lorsque j'étais journaliste pour une grande chaîne de télévision française, une seule de mes émissions a été censurée, celle où j'avais interviewé la présidente de l'Association internationale des Femmes pour la Paix.
(En rouge, votre Eva)
http://w41k.info/