Les journalistes de telesur detenus au Honduras
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El gobierno de facto en Honduras mantuvo arrestados este sábado en horas de la noche a miembros del equipo periodístico de teleSUR y de la estatal venezolana VTV, únicos canales que han realizado la cobertura minuto a minuto del golpe de Estado en contral del presidente constitucional Manuel Zelaya. Los periodistas fueron liberados luego de una rigurosa revisión de sus documentos y bajo la clara amenaza de los policías golpistas de que deben abandonar al país. "Vayánse de aquí, ustedes tienen que irse, no tienen nada que hacer en este país" fueron algunas de las sentencias emitidas por los golpistas en contra de este grupo de periodistas extranjeros. La periodista de teleSUR Madeleín García, enviada especial a Honduras, reportó que una comisión de la Policía, que sigue ordenes del gobierno de facto, entró al Hotel donde se alojaba este equipo de trabajadores de la comunicación y los destuvo sin explicación alguna para luego trasladarlos a una jefatura policial. Durante la detención los golpistas revisaron toda la documentación de éstas personas para presuntamente indagar sobre la legalidad de su permanencia en el país. La reportera de teleSUR detalló que tiene información según la cual este domingo personal de migración del gobierno de facto continuaría con la supuesta revisión de los documentos de indetificación de nuestros periodistas para presuntamente conocer su estatus en el país centroamericano. Eduardo Silvera, reportero de VTV denunció desde Tegucigalpa que "ésto es una violación a la libertad de expresión, bajo la supuesta justificación de que era una detención preventiva nos arrestaron realmente y nos amenazaron con quitarnos los teléfonos para evitar nuestras comunicaciones". Relató que tras ser víctimas de un riguroso e injustificado interrogatorio los policías golpistas les advirtieron "agradezcanle esto a su presidente Chávez, vayánse de este país, esto se va a poner feo". La liberación de los periodistas se produjo gracias a las gestiones de la Cancillería venezolana. teleSUR es el único canal internacional que ha transmitido en vivo, y minuto a minuto las incidencias del golpe de Estado contra el gobierno legítimo de Zelaya. Los medios de comunicación locales privados se han plegado a las acciones subversivas y están transmitiendo programación regular. El hotel en donde se encuentra alojado el equipo de teleSUR y VTV continuaba rodeado la madrugada de este domingo por policías. A los periodistas les está restringida la posibilidad de salir de este lugar, sólo podrán hacerlo bajo custodia policial. Los comunicadores de VTV, quienes tenían previsto regresar este domingo a Venezuela, deberán hacerlo acompañados por los efectivos policiales de este gobierno de facto. Los periodistas de teleSUR, por su parte, se mantendrán haciendo seguimiento al devenir informativo en este país a pesar de las acciones violatorias de los derechos humanos y constitucionales cometidas en contra de nuestro equipo. Este arresto representa la segunda arremetida de los golpistas en contra de la libertad de prensa defendida por este canal. El pasado 29 de junio militares golpistas detuvieron con el uso de la fuerza al equipo de esta cadena multiestatal que cubría la brutal represión del Ejército y la Policía en contra de una manifestación pacífica. La nación centroamericana vive las consecuencias de un golpe de Estado materializado la madrugada del domingo 28 de junio, cuando un comando militar ingresó en la casa presidencial, secuestró a Manuel Zelaya y lo sacó del país con rumbo a Costa Rica. Desde ese momento el pueblo hondureño se ha mantenido en las calles como medida de resistencia ante la violación contra el orden constitucional cometido por los golpistas. teleSUR ha estado al lado del pueblo y ha transmitido fiel a los valores periodísticos todos los acontecimientos que han rodeado este golpe de Estado. Voici la traduction promise Les auteurs du coup d'état détiennent à nouveau des journalistes de telesur et VTV au Honduras Cette arrestation est la deuxième détention dont sont l'objet les membres de la télévision mutltiestatalle tesleSUR et du canal Venezuelien de Télevision (VTV), les seuls médias qui ont fait la couverture minute par minute de ce coup d'état qui à été condamné mondialement. La clameur est unanime : que revienne Manuel Zelaya et teleSUR à couvert les évènements. Le gouvernement de fait au Honduras a maintenu en état d'arrestation pendant la nuit de samedi les jour nalistes de teleSUR et VTV, les uniques canaux ayant couvert minute à minute le coup d'état contre le président constitutionnel Manuel Zelaya. Les journalistes furent libérés après un rigoureux contrôle de papier et sous le claire menace des policier "golpistas" d'avoir a quitter le pays. "Allez-vous en d'ici, vous devez partir, vous n'avez rien à faire dans ce pays" furent entre autres les sentences énoncés par les golpistas contre ce groupe de journalistes étrangers. La journaliste de teleSUR Madelein Garcia, envoyée spécial au Honduras, rapporte qu'une commission de la Police qui suivait des ordres du gouvernement de fait est entrée dans l'hotel ou logeait cette équipe de travailleurs de la communication et les ont détenus sans aucune explication avant des les transférer à un poste de police. Pendant la détention les golpistas ont examiné tous les papiers pour ,on présume, enquêter à propos de la légalité de leur présence dans le pays La reporter de teleSUR déclare avoir des informations selon lesquelles le personnel de l'immigration du gouvernement de fait continuera ce supposé examen de papiers de nos journalistes pour suppose-t-on déterminer leur statut dans ce pays de centramèrique E; S. reporter de VTV a Tegucigalpa dénonce cette violation de la liberté d'expression, sous supposée justification de ??? détention préventive, ils nous arrête réellement et nous menacèrent de nous retirer nos téléphone pour nous empêcher de communiquer. Il raconte qu'après avoir subi un interrogatoire rigoureux et injustifié, les policiers golpistas les ont avertis "remerciez votre président Chavez, allez-vous-en de ce pays, ceci va mal tourner." La libération des journalistes a été obtenue grâce à l'intervention de la Chancellerie du Venezuela Telesur est le seul canal international qui a transmis en direct et minute à minute les évènements du coup d'état contre le gouvernement légitime de Zelaya. Les médias locaux privés se sont soumis aux actions subversives et ont transmis leurs progammes habituels. L'hôtel où sont logés ces journalistes était toujours cerné par la police dimanche matin. Il était impossible aux journalistes d'en sortir sans une surveillance des policiers. Les communicateurs de VTV, qui avaient prévu de rentrer au Venezuela diamanche, devront le faire accompagnés des forces de polices. Les journalistes de teleSUR resteront pour continuer le suivi de leur travail d'information dans ce pays malgré les actions qui violent les droits humains et constitutionnels commis contre notre équipe.
Cette arrestation est la deuxième attaque des auteurs du coup d'état contre la liberté de la presse défendue par ce canal. Le 29 juin les militaires golpistas ont détournés par la force l'équipe de cette chaîne qui couvrait la brutale répression de l'armée et de la police contre une manifestation pacifique. La nation centraméricaine vit les conséquences d'un coup d'état qui c'est produit à l'aube du dimanche 28 juin, quand un commando a envahi la maison présidentielle, séquestrant Manuel Zelaya avant de l'emmener hors du pays, a Costa Rica. Depuis ce moment, le peuple hondurien occupe les rues en résistance contre la violation de l'ordre constitutionnel commis par les auteurs du coup d'état. TeleSUR est restée au côté du peuple et a transmis, fidéle aux valeurs du journalisme tous les évènements qui ont accompagné ce coup d'état. J'ajoute qu'ils ont du le faire par téléphones cellulaires, les militaires ne tolérant pas la présence des caméras.
Anne |
Et silence Reporters Sans Frontières ! Pas seulement des médias aux ordres des multinationales, des banquiers, des marchands d'armes. Eva R-sistons
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La situation au Honduras, suivie heure par heure par Anne Wolff