Scandaleux médiamensonges
envers la Russie (et l'Iran)
par Eva R-sistons
Alerte ! Les Médias nous mentent ! L'Amérique n'est pas venue sauver les Européens du nazisme, elle a été partie prenante des événements, avec la famille Bush, derrière Hitler; elle n'est intervenue, modestement, que par intérêt, elle a récolté les fruits de ces événements, avec l'industrie de la reconstruction, et aussi en accédant au statut de puissance dominante, sur les décombres de l'Europe.
Ceux qui nous ont sauvé de la barbarie nazie, ce sont les Russes, avec 27 millions de morts, et non (je crois) 300.000 mots comme les cow-boys américains. Je tiens à saluer le courage de cette nation, et à la remercier au nom du peuple de France pour le sacrifice qu'elle a accompli. En lui demandant pardon pour l'injustice qui lui est faite de la part des Occidentaux "menteurs" (voir le 11.9, ou la prétention à incarner la démocratie), arrogants, falsificateurs de l'Histoire, et désormais péril majeur pour l'humanité.
Merci au peuple russe, notre reconnaissance sera éternelle.
Eva, au nom du peuple de France, abruti par les médiamensonges criminels.
Traitement de l'information :
NB : J'ajoute que le traitement de l'information envers la Russie est SCANDALEUX. On tend à présenter ce pays comme stalinien, et comme l'ennemi du monde. Alors que notre "démocratie" n'a rien à envier à la leur, et que cette démocratie occidentale fait le malheur d'une grande partie de l'humanité. A la différence des Russes, qui n'interviennent pas dans les affaires du monde, sinon pour empêcher qu'on empiète un peu plus sur leur territoire, leurs prérogatives, qu'on ne les encercle un peu plus, qu'on ne bafoue leurs droits légitimes. Toujours en étant présentés sous un mauvais jour, alors que par exemple dans le Caucase, ils ont défendu leurs alliés, protégé leurs ressortissants, et agi avec beaucoup de mesure, ce que ne font pas les Occidentaux lorsqu'ils tuent des civils en masse, détruisent des zones entières, en chassant les habitants, en ruinant leurs villages, et tout cela pour voler les ressources qui ne leur appartiennent pas. CRIMES CONTRE L'HUMANITE ! Innombrables et toujours plus importants..
Il est temps de rétablir la vérité. Quand des reportages nous présenteront-ils l'Amérique d'Obama comme elle est, avec 50 millions de pauvres hères laminés ? Quand organisera-t-on de vrais débats pour expliquer les vrais enjeux, la domination de l'Occident sur une partie de l'humanité, sa prétention à tout régenter, à imposer ses abjects modèles ultra-libéraux dressant les individus les uns contre les autres, encensant Mâmon, provoquant conflits et guerres un peu partout dans le monde ? La Russie est présentée, à l'image de l'Iran, comme dangereuse. C'est faux. L'Iran use de son droit légitime à l'auto-protection au milieu d'une zone hostile, dans un but UNIQUEMENT défensif. La Russie n'attaque personne, elle défend son pré-carré que l'Occident carnassier tente de lui disputer, honteusement. Il est temps de rétablir la vérité : Ce sont les USA, Israël, les Anglo-Saxons, et maintenant aussi les Européens, qui menacent l'humanité. Tout le reste n'est que MENSONGES, Messieurs et Mesdames les Journalistes vendus au pouvoir par carriérisme ! Honte à vous, faux journalistes, et vrais menteurs !
Eva
MOSCOU, 19 mai - RIA Novosti. Le président russe Dmitri Medvedev a signé le décret "Sur la Commission auprès du président de la Fédération de Russie de lutte contre toute tentative de falsifier l'histoire au détriment des intérêts de la Russie", rapporte mardi le service de presse du Kremlin. Le chef de l'Etat a plus d'une fois insisté sur l'inadmissibilité de toute falsification de l'histoire, notamment de celle de la Grande Guerre patriotique (1941-1945, ndlr). Le 8 mai dernier, le président a fait remarquer dans son blog-vidéo que les tentatives de falsification "devenaient de plus en plus cruelles, méchantes et agressives". |
La Russie est le pays qui a perdu le plus de soldats et de civils lors de la dernière guerre. Mais malgré tout, Sarkozy ne parle que des Américains...
Guerre 1941-1945: une victoire qui a coûté cher
Par Dmitri Babitch, RIA Novosti
Pendant la perestroïka (réformes sociales et économiques de 1985 à 1991 en URSS), il a été admis de s'indigner: que dira-t-on de notre pays, si nous ne connaissons pas le nombre exact de pertes essuyées dans la Grande Guerre Patriotique? L'expérience mondiale est un bon médicament contre le complexe d'infériorité. De nombreux autres pays, y compris l'Allemagne, notre principal adversaire dans cette guerre, se heurtent aux mêmes problèmes. La RFA avait rendu public en 1953 le bilan "presque définitif" des pertes: 6.500.000 morts, dont 3.250.000 militaires. Il est vrai, les auteurs du rapport gouvernemental avaient ajouté que le "bilan réel serait plutôt plus élevé" que les chiffres cités en 1953. Selon des sources officielles, le bilan des pertes militaires allemandes est évalué aujourd'hui à 5.533.000 personnes, mais, évidemment, ce chiffre n'est pas non plus définitif.
En Russie, presque personne ne conteste le terrible bilan de 26,6 millions de pertes dites démographiques, établi en 1993 par un groupe de chercheurs avec à leur tête le conseiller du Centre historique des forces armées russes Grigori Krivocheïev. Le dilemme est ailleurs: comment déterminer les pertes au cours des combats dont la responsabilité n'incombe qu'aux chefs militaires? Les employés du ministère russe de la Défense qui accomplissent ces derniers temps, à la demande du président Dmitri Medvedev, les travaux visant à établir la base électronique des pertes militaires ont annoncé des chiffres sensationnels.
"D'après nos estimations, les pertes militaires générales de l'Armée Soviétique se sont chiffrées à 8.668.400 personnes, a déclaré Alexandre Kiriline, chef du Département du ministère de la Défense pour la commémoration des morts pour la Patrie. Bien entendu, ce chiffre n'est pas définitif. Il peut s'accroitre de 100, 200, voire 300.000 personnes, mais pas de millions".
L'historien militaire indépendant Alexeï Issaïev estime que le rapport entre les pertes soviétiques et allemandes de 1 à 2 fut le même durant la majeure partie de la guerre, bien qu'il ait atteint 1 à 3, même 1 à 4 aux moments les plus difficiles, surtout durant l'année tragique de 1941. D'ailleurs, à cause du chaos qui régnait lors du recul de l'armée soviétique au début de la guerre, les statistiques militaires de 1941 contiennent d'immenses "taches blanches": selon l'affirmation d'Alexandre Kiriline, les soldats de nombreuses unités qui se trouvaient dans l'encerclement furent considérés comme morts, alors que beaucoup d'entre eux gagnèrent ensuite les leurs et continuèrent à combattre. Les Allemands se heurtèrent aux mêmes difficultés en 1945, lorsque, selon Alexeï Issaïev, de nombreuses pertes ne furent pas prises en compte à cause de l'état déplorable des bureaux de statistiques du Reich qui tombait en ruines.
Alexandre Kiriline et d'autres employés de son département affirment que les prisonniers de guerre soviétiques péris dans la captivité nazie, ainsi que 103.000 personnes fusillées pour désertion, selon le verdict des tribunaux soviétiques, font également partie de ces pertes de 8,68 millions.
Il convient de signaler que la question relative aux prisonniers de guerre ne sera probablement pas élucidée entièrement. Selon les estimations du Département, il y avait environ 4,5 millions de prisonniers de guerre soviétiques, dont environ 2 millions sont retournés dans le pays. Il est difficile d'établir le sort des autres. La majeure partie d'entre eux sont certainement morts en captivité, mais 390.000 à 700.000 d'autres ont choisi de s'installer dans des Etats occidentaux ou de rester en Allemagne et dans d'autres pays de captivité. "Les Américains nous transmettent actuellement des données sur certains d'entre eux", a fait savoir Alexandre Kiriline.
La base électronique plus ou moins définitive des pertes essuyées dans la Grande Guerre Patriotique sera soumise à l'opinion publique en mai de l'année prochaine. D'immenses pertes non militaires essuyées par l'URSS, essentiellement parmi les civils (18 millions de personnes), selon les nouvelles estimations, suscitent déjà des doutes. Mais puisque 32,400 millions de personnes firent alors l'objet de la mobilisation (mis sous les drapeaux) en URSS dans des périodes différentes, il devient difficile de séparer les pertes militaires des pertes civiles.
D'ailleurs, il est clair dès aujourd'hui que la base des pertes militaires ne cessera d'augmenter. Il faut avouer que la Seconde Guerre mondiale fut une catastrophe aussi épouvantable que nous n'apprendrons jamais toute la vérité sur elle, y compris le nombre exact de morts. Par conséquent, les débats ne cesseront pas, entre autres, sur des sujets aussi délicats que le nombre de victimes, la responsabilité de tel ou tel chef militaire, la contribution apportée à la victoire par tel ou tel pays, etc.
Espérons donc que l'heure viendra où tous ceux qui participent à ces débats s'occuperont tout d'abord de la recherche de la vérité, au lieu de discuter qui a combattu plus habilement et qui a souffert le plus. On peut manifester autrement ses sentiments patriotiques tant dans le pays natal qu'à l'étranger. La plupart des monuments érigés à la mémoire des 600.000 soldats soviétiques morts en Pologne, ainsi qu'à 700.000 autres morts dans les pays baltes sont dans un état déplorable. Le monument au Soldat libérateur n'est revenu à sa place au Treptow Park après la restauration qu'il y a cinq ans. L'Allemagne a financé elle-même la restauration de ce monument érigé en 1949 en y allouant 7 millions d'euros.
"L'état des mémoriaux militaires érigés en Russie est encore pire", fait remarquer Alexandre Kiriline. Notre pays compte 26.000 tombes communes et quelque 28.000 mémoriaux. Faits de matériaux bon marché dans les années 1950, ils tombent rapidement en ruines. Le ministère de la Défense et le Comité Victoire ont proposé un projet de programme fédéral de rétablissement de ces monuments. Ce programme échelonné sur 5 ans prévoit l'octroi de 10 milliards de roubles (229,4 millions d'euros). La lutte pour cet argent du ministère des Finances promet d'être dure.
Sources Ria Novosti
http://vladimir-poutine.activblog.com/article-542878.html
Lisez le blog V. Poutine d'Adriana,
découvrez-le, il est magnifique;
Il rétablit la vérité !!! Eva
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Combattre le révisionnisme historique !
par Jean Levy
Le président russe Dmitri Medvedev a déclaré :
"Nous n'oublierons jamais que c'est l'Union Soviétique qui a apporté une contribution décisive à la fin de la Deuxième guerre mondiale, que c'est justement notre peuple qui a anéanti le nazisme et a déterminé les destinées du monde entier, en payant un prix extrêmement élevé"; a souligné le président.
"Nous chérirons cette vérité sur la guerre et nous la défendrons toujours", a déclaré M.Medvedev
Cet hommage mérité à l’Armée rouge et aux sacrifices consentis par l’URSS pour mettre à bas l’Allemagne nazie, ne touve aucun écho en Occident, et particulièrement en France, en ces jours anniversaires de la capitulation allemande du 8 mai 1945.
Toute la classe politique, des socialistes à l’UMP, et l’ensemble des médias, pratique depuis des décennies « l’omerta » sur l’apport décisif du peuple soviétique à la victoire sur le nazisme. On cache délibérément le fait historique que notre pays n’aurait pu être libéré par les seules forces alliées, débarquées en Normandie. Celles-ci ont dû faire face à une résistance opiniâtre de la Wehrmacht pour établir une tête de pont durable et élargir celle-ci au-delà du périmètre des plages du débarquement. Deux mois et demi ont été nécessaires pour franchir les 200 kms qui séparent Caen de Paris. Or, les forces allemandes, qui faisaient face aux Alliés, ne représentaient que 20% de leur potentiel global.
80% de celui-ci tentait de résister aux Soviétiques, sur plus de 2000 kilomètres, de la Baltique à la mer Noire.
Que se serait-il passé en France, sans le front oriental ?
Les Anglo-américains auraient-ils même tenté de débarquer sur le continent ?
De cette situation, pas un mot dans les manuels scolaires.
Nos enfants apprennent que la libération de notre pays a été le fait des « Américains », à qui nous devons notre liberté.
Et toutes les autorités officielles, en masquant la part décisive prise par l’Union soviétique dans la victoire, ne manquent pas de ressasser ce mensonge par omission, lors de la célébration de chaque 8 mai et à chaque anniversaire du débarquement en Normandie. Pour bien enfoncer le clou, Nicolas Sarkozy a invité Barak Obama, aux cérémonies du 6 juin prochain.
Il s’agit, en l’occurrence, d’une attitude négationniste de l’histoire, tant reprochée à ceux qui nient l’atroce réalité des camps de la mort nazis.
Mais cette version, revue et corrigée de l’histoire, par « l’élite » qui nous gouverne, ne constitue que l’écume du révisionnisme officiel.
- Qui connaît la collaboration économique permanente entre le capital américain (et français), dans la machine de guerre hitlérienne, qui s’est poursuivie, via les banques suisses, tout au long du conflit, jusqu’en 1944 ?
- Qui sait les intérêts US engagés dans les grandes entreprises allemandes, tel l’IG Farben, le géant de l’industrie chimique, dont le siège n’a jamais été bombardé, devenu, en 1945, le GQG américain en Europe ?
- Qui est au courant des tentatives de renversement d’alliance, fin 44, début 45, initiées par Allan Dulles, le patron des services secrets US (future CIA), en vue de coopérer militairement avec l’armée allemande contre l’Union soviétique ? Cette offre a été acceptée par le maréchal Kesselring, commandant des forces nazies en Italie, et le chef SS de ce secteur, un des adjoints de Himmler.
Mais Hitler a refusé cette nouvelle et sainte alliance « contre le bolchevisme ».
Que se serait-il passé, si le Führer avait accepté l’offre ?
Tous ces faits sont passés sous silence.
Le peuple de France n’a pas le droit de savoir.
La vérité historique contrarie la stratégie et les objectifs du Capital dominant.
On apprend ainsi, dès l’école, que les deux guerres mondiales, celle de 14-18 comme celle de 39-45, ne sont qu’un accident de l’histoire, une sorte de « guerre civile européenne », et que seule « la construction de l’Union européenne » permet aux peuples de notre continent de vivre en paix.
Car l’objectif est là : construire un nouvel Empire, bien sûr dominé par le Capital, essentiellement allemand, destiné à vivre mille ans.
Telle était déjà la perspective mise en scène par un certain Adolf Hitler…
Sources http://canempechepasnicolas.over-blog.com/
http://vladimir-poutine.activblog.com/article-542875.html
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MOSCOU, 9 mai - RIA Novosti. Les enseignements de la Grande Victoire sur le fascisme n'ont perdu rien de leur actualité de nos jours quand certains sont prêts à s'engager dans des aventures militaires, a estimé samedi le président russe Dmitri Medvedev devant plusieurs milliers de militaires réunis sur la place Rouge à l'occasion d'une parade militaire.
"C'est une leçon qui est toujours d'actualité aujourd'hui quand certains s'engagent de nouveau dans des aventures militaires", a déclaré le chef de l'Etat, en s'adressant aux participants de la parade célébrant le 64e anniversaire de la victoire de l'Armée rouge sur l'Allemagne nazie.
"Toute agression contre nos citoyens fera l'objet d'une riposte digne de ce nom, est l'avenir de la Russie sera pacifique", a assuré M.Medvedev.
Le cérémonial a débuté en présence de quelque 10.000 soldats alignés face à la tribune officielle, dans laquelle avaient notamment pris place M. Medvedev et le Premier ministre, Vladimir Poutine.
A 10H00 sonnantes (06H00 GMT) au carillon du Kremlin, un immense silence a envahi la place Rouge.
Le ministre de la Défense Anatoli Serdioukov a passé en revue les troupes.
Une armada de chars, missiles et autres matériels lourds a ensuite défilé devant le Kremlin.
La place Rouge a également été survolée par des dizaines d'hélicoptères et d'avions militaires.
L'anniversaire de la victoire du peuple soviétique dans la Grande Guerre patriotique a été marqué par des défilés militaires dans de nombreuses villes de Russie comme chaque année le 9 mai.
Sources Ria Novosti
http://vladimir-poutine.activblog.com/article-542874.html
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"Les Etats-Unis sortent de leurs frontières nationales
dans tous les domaines
et cela est très dangereux. Personne ne se sent plus en sécurité
parce que personne ne peut plus trouver refuge
derrière le droit international"
"L’usage de la force n’est légitime que sur la base
d’un mandat des Nations unies,
pas de l’OTAN ou de l’Union européenne"
"Un monde unipolaire ne signifie en pratique qu'une chose,
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