« Une goutte d’eau dans la mer », me disaient-ils et je répondais : « Bien sûr, et la mer est faite de gouttes d’eau » Aujourd’hui, nous sommes les gouttes d’eau, les ruisseaux, les rivières de courants qui vont dans le même sens, sans parvenir (encore ?) à nous rejoindre pour former le fleuve « d’un autre monde possible » qui balaiera les miasmes et marasmes du « Nouvel Ordre Mondial », entropie en action. Une guerre dont l’issue reste incertaine.
Cuvée 57, en deuil d’un futur antérieur illusoire, bercée de fausses promesses, de mensonges et de leurres : nous serions les bâtisseurs de ce monde meilleur de paix et d’harmonie :la Terre un grand jardin apprivoisé par ses habitants. Utopie quand tu nous tiens ! Mon enfance aussi fut bercée des échos des résistances qui nous avait ouvert ce chemin de liberté que les prédateurs, les guetteurs de l’ombre veulent confisquer et j’ai moi aussi des nausées de désespoir qui menacent de me jeter au fond du gouffre du renoncement. Il est trop tard, « ils » sont trop fort, tant d’irréversibles destructions déjà…Mais renoncer c’est mourir et l’heure n’est pas venue.
Ce qui me fait mal aujourd’hui : des médias qui relaient le bruit des bottes de la répression en action, les débordements des « provocateurs » et font l’impasse sur toute cette belle jeunesse, consciente, lucide et désemparée qui prend le risque de relever le flambeau de la résistance en toute connaissance des périls qui guettent ceux qui ne sont pas des moutons dans le monde de la peste brune. Qui peut se prétendre journaliste et ne pas se faire l’écho des légitimes questions de ces jeunes qui nous interpellent ? Car ce sont eux qui auront à solutionner les problèmes de cet héritage hypothéqué que nous laissons derrière nous.
Perdue dans les ténèbres, Bruxelles, ventre de l’hydre, ville fantôme depuis qu’elle est colonisée par les valets des prédateurs psychopathes, je cherche mes propres chemins de résistance à travers le rhizome et je te remercie Eva, toi et quelques autres chercheurs de « vérité » et d’issues vers cet autre possible que le silence des médias officiels assassine. C’est grâce à votre précieux travail que la flamme de l’espoir s’entretient dans nos cœurs : peut-être un jour adviendra un monde plus doux. Un monde de lumière et d’intelligence construit par et pour les tendres, les gentils, les généreux, les solidaires, les créateurs de beauté.
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Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.
Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.
« Une goutte d’eau dans la mer », me disaient-ils et je répondais : « Bien sûr, et la mer est faite de gouttes d’eau » Aujourd’hui, nous sommes les gouttes d’eau, les ruisseaux, les rivières de courants qui vont dans le même sens, sans parvenir (encore ?) à nous rejoindre pour former le fleuve « d’un autre monde possible » qui balaiera les miasmes et marasmes du « Nouvel Ordre Mondial », entropie en action. Une guerre dont l’issue reste incertaine.
Cuvée 57, en deuil d’un futur antérieur illusoire, bercée de fausses promesses, de mensonges et de leurres : nous serions les bâtisseurs de ce monde meilleur de paix et d’harmonie :la Terre un grand jardin apprivoisé par ses habitants. Utopie quand tu nous tiens ! Mon enfance aussi fut bercée des échos des résistances qui nous avait ouvert ce chemin de liberté que les prédateurs, les guetteurs de l’ombre veulent confisquer et j’ai moi aussi des nausées de désespoir qui menacent de me jeter au fond du gouffre du renoncement. Il est trop tard, « ils » sont trop fort, tant d’irréversibles destructions déjà…Mais renoncer c’est mourir et l’heure n’est pas venue.
Ce qui me fait mal aujourd’hui : des médias qui relaient le bruit des bottes de la répression en action, les débordements des « provocateurs » et font l’impasse sur toute cette belle jeunesse, consciente, lucide et désemparée qui prend le risque de relever le flambeau de la résistance en toute connaissance des périls qui guettent ceux qui ne sont pas des moutons dans le monde de la peste brune. Qui peut se prétendre journaliste et ne pas se faire l’écho des légitimes questions de ces jeunes qui nous interpellent ? Car ce sont eux qui auront à solutionner les problèmes de cet héritage hypothéqué que nous laissons derrière nous.
Perdue dans les ténèbres, Bruxelles, ventre de l’hydre, ville fantôme depuis qu’elle est colonisée par les valets des prédateurs psychopathes, je cherche mes propres chemins de résistance à travers le rhizome et je te remercie Eva, toi et quelques autres chercheurs de « vérité » et d’issues vers cet autre possible que le silence des médias officiels assassine. C’est grâce à votre précieux travail que la flamme de l’espoir s’entretient dans nos cœurs : peut-être un jour adviendra un monde plus doux. Un monde de lumière et d’intelligence construit par et pour les tendres, les gentils, les généreux, les solidaires, les créateurs de beauté.
Anne