Analysons objectivement la manière dont les informations sont diffusées par les médias et les manipulations d'informations qui gangrène aussi la véracité du contenu des sites et blogs s'affichant
comme neutres et à la recherche de la "vérité".
C'est fondamental pour nos libertés.
Un exemple concret:
Ce mardi matin sur la radio belge "La Première" - RTBF, media avec une réputation des plus sérieuses.
Le journal parlé de 8h00 propose quotidiennement plus d'une demi heure d'actualité, revue de la presse écrite comprise. L'info principale était une fois de plus la crise et les 71.000 licenciements
annoncés dans diverses entreprises de part le monde.
En ± 30 minutes de diffusion, les journalistes ont martelés, appuyés, insistés, répétés, plus d'une dizaine de fois les mots 71.000, licenciements, crise, récession, mauvaise nouvelle, pertes,
chômage, etc. Ils ont même répétés ce qu'il avait déjà annoncé en novembre 2008, craignant que l'auditeur ne l'ai toujours pas compris: la crise financière devient une crise économique.
Ce journal était tellement surfait de mots négatifs que l'on était à la limite d'une parodie.
Ce principe de martèlement de mots est équivalent à celui utilisé dans les spots pubs radio, à part que la pub n'a que 20 ou 30 secondes pour les diffuser. Ici il avaient 30 minutes.
Il est maintenant évident que les médias ont reçu ordre de "noircir" un maximum la conjoncture de façon à manipuler la consommation des ménages à la baisse et ainsi de faire "rentrer dans le rang"
et de rejoindre la récession tant attendue par les investigateurs, les pays qui se comportent encore avec trop d'optimisme.
INSPICIO.
J'aimerais lancer un débat sur
les manipulations des médias et de l'information concernant cette crise.
La crise existe et perdure si le citoyen y crois et réagis comme tel.
C'est lui qui va influencer la consommation et donc la productivité des entreprises.
C'est l'un des desseins des investigateurs de ce séisme financier mondial.