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27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 22:41


Au sommaire :

Le cri d'Eva pour une information digne de ce nom !
Ras-le-bol du journalisme à la Marie Drucker !

L'opinion d'un blogueur sur les relations médias-Sarkozy

et sur l'affaire du journaliste de Libération.

Rambo-Sarko en délicatesse avec les journalistes.
L'autocrate exaspère !

 


Le climat entre les journalistes et le gouvernement n'est pas très bon!


L'opinion d'un blogueur :

 

Cette année il y a eu plusieurs affaires concernant les journalistes, la protection des sources,....etc; j'ai en mémoire l'affaire Dasquié, l'affaire du journaliste de auto plus qui avait publié des photos d'une future voiture de renault.....etc.


La dernière en date que je trouve absolument grave est l'affaire du journalisme de Libération interpellé par la justice.


C'est une très grave affaire par :
 

-Les moyens et le ton employé: en effet les policiers ont débarqué tôt le matin; le journaliste a été injurié devant ses enfants; il lui a été interdit de téléphoner(c'est à dire laisser les enfants seuls)


Ensuite au Commissariat, il a été fouillé au corps, il avait les menottes; donc une volonté manifeste d'humilier et de provoquer.


- La disproportion énorme des moyens employés par rapport à ce qui était en cause: "un internaute qui avait publié sur le site de Libération un commentaire qui avait déplu à une personne ayant des procédures contre Libération; le journaliste en question était Président de Libération et on utilise les procédures les plus lourdes: Ceux de la grande délinquance; de la mafia; du grand banditisme;...avec un mandat d'amener; la garde à vue, les fouilles au corps; les menottes....Bref,  c'est une grande disproportion.


Cela nous amènent à poser plusieurs questions:


- Qu'est-ce que le droit de la Presse fait devant le pénal ? Pourquoi une procédure pénale dans ce cas là ? Je ne comprends pas ! En l'espèce une simple amende était de vigueur !
 

- Et encore plus grave; si un journaliste ayant les moyens de se défendre se trouve traité de cette façon par la justice, qu'en est-il du citoyen ordinaire désemparé face à de telles mesures et qui n'a pas les moyens de se défendre ? 


Les ministres de tutelles n'ont pas réagi en affirmant "que ce sont des procédures normales" alors que le code de procédure pénal prévoie que les menottes ne sont utilisées que lorsqu'il y a un vrai risque pour lui même ou les autres. Ce que je ne comprends pas, moi ayant effectué des études de droit; comment un juge a pu autoriser tout cela? Peut être voulait-elle attirer par l'absurde l'attention sur l'incongruité des procédures pénales ? 


L'anonymat des sources des journalistes et du secret de l'instruction pose aussi problème. On voit des policiers débarquer dans les rédactions avec un mandat pour des broutilles, saisissant tous les matériels où l'on peut stocker de l'information. Et si l'on ajoute l'affaire de la réforme de l'audiovisuel où l'on se pose des questions sur l'indépendance, sur le financement et sur la viabilité du service public... Alors oui, les rapports entre les journalistes et le gouvernement sont difficiles.

http://dealmantis.blog.mongenie.com/index.php?idblogp=740176 




Marie Drucker

Juges et parties :
Marie Drucker présente les infos
en provenance de Palestine,
en défendant l'Etat de son coeur,
Israël ! Ca suffit la propagande
en faveur d'Etats criminels
ou d'individus défendant des
intérêts étrangers !
Nous voulons une information libre !


Commentaire reçu :

Aujourd'hui l'agression contre Gaza était "présentée" par M.Drucker,C.Enderlin,M.Fines pour ne citer que ces personnes là : quelle objectivité peut-on attendre d'eux ou de P.Amar, ou de Hauben...? Tout est dit, un seul son de cloche. Ils devraient avoir la pudeur de dire "nous sommes juges et parties" et la déontologie nous interdit de traiter de l'occupation et de l'agression israéliennesP.S : vive la mémoire de monsieur Harold Pinter, juif et dramaturge, honnête lui !
Commentaire n° 1 posté par morsli aujourd'hui à 20h17


Toutsaufsarkozy


L'exemple de Marie Drucker :
Le journalisme-propagande
dans toute son horreur !


Marie Drucker journaliste ? Un scandale ! Juge et partie... Elle n'est là que pour défendre Israël ! Elle se sert de sa fonction pour faire passer ses idées !

Neutralité, indépendance, information... autant de mots vides de sens pour cette femme au visage plus dur que la pierre ! Quand je la vois, elle me glace. Comme Monique Atlan, même style.  Mêmes engagements au service d'un Etat qui n'est pas le nôtre, d'un Etat étranger.  Hier, la Drucker (oui, toute une famille colonise les médias. Vous avez dit favoritisme ???) se sert de la télévision, avec son "Mourir pour la France",  afin de donner aux citoyens l'amour de la guerre, pour l'honneur, ou pour la promotion des femmes (!), en réalité au service des intérêts impérialistes israéliens. Aujourd'hui, voilà la pseudo-journaliste qui salit sa fonction en présentant l'héroïque résistance des combattants palestiniens de la liberté sous le seul prisme de l'Etat qu'elle sert sous couvert d'information - et sur une chaîne publique, de surcroît, avec nos sous ! Tout est dans le titre, et la "chute" (le dernier mot, une attaque de C Rice contre les Palestiniens) : 

"La voie militaire est la SEULE solution, justifie Israël", clame sur FR2 (chaîne communautariste), en titre du 20 heures, l'agent d'Israël pour justifier l'injustifiable. Un peu plus tard, FR3, lui, titre : "L'enfer". Oui, l'enfer pour les Palestiniens martyrisés, eux les boucs-émissaires d'une Shoah dont ils ne sont pas coupables. Mais la journaliste indigne défend la cause de l'Etat qui est le sien, alors qu'elle officie sur une chaîne publique française, financée par les contribuables français. Au lieu de mettre en avant la souffrance des victimes palestiniennes défendant ce qu'il reste de leur territoire, la demoiselle qui se prétend journaliste fait de la propagande pour son pays, celui-là même qui viole le Droit, les lois internationales, et commet des crimes de guerre et contre l'humanité !

Israël opprime tout un peuple, mais pour la nièce (?) de l'animateur de pacotille Michel Drucker qui colonise nos écrans si souvent et depuis tant de temps, donc au service de Sarkozy et de sa bande (contre les intérêts du peuple français), l'information devient prétexte à une justification pour un Etat qui extermine un peuple dans le plus grand camp de concentration de l'histoire de l'humanité ! Du beau travail !

Comment ose-t-on confier le droit d'informer à des individus juges et parties, pour reprendre l'expression de l'écrivain-commentateur Morsli ? Comment laisse-t-on des agents de l'étranger présenter l'information en France, plaider pour des guerres qui tueront des citoyens français au bénéfice d'intérêts usraéliens, et défendre une politique criminelle qui planifie l'extermination méthodique de tout un peuple innocent ? Non, Israël n'est pas acculé à la voie militaire ! Il y a des résolutions internationales qu'il n'applique pas, en toute impunité et avec la complicité des puissances occidentales, alors que les peuples de ces nations désavouent ces politiques abjectes ! 

Oui, la question doit être posée !

Non seulement celle de la colonisation de nos médias français par un clan au dervice d'intérêts étrangers, particulièrement, justement, à FR2 (dès tôt le matin, c'est un défilé continu des ptits copains néo-sionistes), mais encore celle de la présentation de l'information par des journalistes qui n'en sont pas, car ils se servent de leur fonction pour faire passer leurs préférences pour un Etat (non Français), un candidat (Sarkozy, fossoyeur de la France), une politique militaro-financière totalement contraire aux intérêts des télespectateurs français !

Ras-le-bol de la concentration des médias entre les mains des marchands de canons !

Ras-le-bol de la main-mise d'un clan étranger à nos intérêts sur nos moyens d'information !


Nous citoyens français, et moi journaliste, nous exigeons une information indépendante, neutre, plurielle, digne de ce nom ! Nous ne voulons pas que les médias soient asservis à l'Argent, aux marchands de canons, à des intérêts étrangers qui ne sont ni les nôtres ni ceux des Droits de l'Homme si chers au coeur des Français ! 

Dehors, les Drucker ou les BH Lévy,  on vous a assez vus ! Dehors les pseudos journalistes, les marchands d'armes, les agents de l'étranger ! Nous voulons une information de qualité, pas des médias-poubelles avec des Atlan ou des Drucker qui militent pour la guerre, le libéralisme, les intérêts d'Israël !

Eva, au nom des Français qui ne supportent plus d'être abusés par un clan au service d'intérêts étrangers et militaro-financiers qui font le malheur des peuples !

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commentaires

E
Ah Naradamuni Quel bonheur de te lire ! Comme tu te fais rare ! Pourquoi ? <br /> <br /> Je déguste tes écrits comme des perles<br /> <br /> le début ira sur ce blog<br /> <br /> la fin sur le blog http://sos-crise.over-blog.com <br /> <br /> Je t'embrasse, en espérant que tu reviendras souvent Eva<br /> <br /> dis, tu me fais un commentaire sur le texte que j'aime, la "shoah" des Palestiniens et les enfants d'Abraham, sur http://r-sistons.over-blog.com ?
Répondre
N
Médias !!!<br /> <br /> Diversion c'est Domination, Pièges à la Une, à la deux, à la trois, etc...!!<br /> <br /> Nicolas Sarkozy corrompt publiquement <br /> de grands éditorialistes...<br /> <br /> Après avoir dénoncé la censure qui frappe toute critique du président Nicolas Sarkozy, les syndicats de journalistes se sont indigné des diverses fonctions honorifiques et missions rémunérées offertes par le président de la République à onze chroniqueurs influents des grands médias. <br /> • L’ancien courtisan de François Mitterrand, Jacques Attali, éditorialiste à l’hebdomadaire l’Express, a été nommé président de la commission pour la « libération de la croissance française » <br /> • George-Marc Benhamou, confident officiel l’ancien président Mitterrand, éditorialiste au quotidien Nice Matin et chroniqueur au quotidien La Provence, a été nommé « conseiller pour la culture et l’audiovisuel » du président de la République. <br /> • Jean-Louis Bourlanges, chroniqueur sur la radio France Culture, a rejoint le « Comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République » <br /> • Guy Carcassone, chroniqueur à l’hebdomadaire Point, a rejoint le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République » <br /> • Jean-Claude Casanova, fondateur de la revue Commentaire, éditorialiste associé au quotidien Le Monde, a rejoint le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République » <br /> • Jean Marie Colombani, ancien directeur du quotidien Le Monde, chroniqueur politique sur France Inter le vendredi matin, et animateur de l’émission « Face à face » sur la chaîne de télévision Public Sénat a accepté une mission officielle de trois mois sur la réforme des conditions d’adoption. <br /> • Olivier Duhamel, chroniqueur sur France Culture, a rejoint le « comité de réflexion sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République » <br /> • Yves de Kerdel, éditorialiste au quotidien Le Figaro et chroniquer à la radio économique BFM, a rejoint la commission pour la « libération de la croissance française » <br /> • Éric Le Boucher, chroniqueur économique au Monde, a rejoint la a commission pour la « libération de la croissance française » <br /> • Myriam Lévy, qui suivi la campagne de Ségolène Royal pour Le Figaro, a été nommée conseiller en communication du Premier ministre. <br /> • Catherine Pégard, rédactrice en chef du service politique de l’hebdomadaire Le Point, a été nommée conseiller politique du président de la République.<br /> • Marie Drucker, présentatrice du journal télévisé de France 3, est l’épouse d’un député et ancien ministre. <br /> • Christine Ockrent, animatrice de l’émission « Duel sur la 3 » sur France 3, est l’épouse du ministre des Affaires étrangères <br /> • Béatrice Schoenberg, présentatrice du journal télévisé de France 2 est l’épouse du ministre de l’Environnement.<br /> <br /> À noter qu'à l’inverse <br /> • Laurent Solly, ancien chef de cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur, a rejoint la direction de la principale chaîne de télévision TF1.<br /> <br /> "Le climat entre les journalistes et le gouvernement n'est pas très bon!"<br /> <br /> Et qu'en est-il du citoyens lambda ?<br /> <br /> Voir...<br /> Pour la fin du délit d’OUTRAGE<br /> <br /> Par Romain DUNAND, condamné à 800 euros d’amende, dont 600 avec sursis pour outrage à Nicolas Sarkozy; Jean-Jacques REBOUX, condamné à 150 euros d’amende avec sursis pour outrage à policier; Eunice BARBER, condamnée à 5 000 euros d’amende pour outrage et rébellion; Maria VUILLET, poursuivie pour outrage au sous-préfet d’Ile-de-France, relaxée, appel en cours; Simone LEVAVASSEUR, poursuivie pour outrage au préfet de Haute-Saône; Hervé EON, condamné à 30 euros d’amende avec sursis pour offense au président de la République, appel en cours; Serge SZMUZSKOWICZ, condamné à 500 euros d’amende pour outrage à gendarme en civil; Isabelle SYLVESTRE, poursuivie pour outrage à policier; Jean-Paul DESBRUÈRES, outrageur non poursuivi; Patrick MOHR, poursuivi pour outrage à CRS; Jean-Claude LENOIR, poursuivi pour outrage à CRS; Yves BAUMGARTEN, poursuivi pour outrage à policier; M’hamed BELLOUTI, condamné à 2 000 euros d’amende pour procédure téméraire et abusive contre le fils du chef de l’Etat, appel en cours.<br /> <br /> Ces dernières années, le délit d’outrage est devenu en France un délit «en vogue». De 17 700 faits enregistrés en 1996, on est passé à 31 731 en 2007. Cette inflation (+ 42 %), dans le contexte actuel du tout répressif, pose de cruciales questions de société.<br /> <br /> Le délit d’outrage, qui consiste à porter atteinte à la dignité d’un représentant de l’autorité publique, ou à ses fonctions, est proche du délit d’injure, qui appartient au régime des infractions de presse, très protecteur de la liberté d’expression. Ce qui n’est pas le cas de l’outrage, délit de tous les arbitraires, passible de 7 500 euros d’amende et de six mois de prison. Alors que l’injure à un citoyen «ordinaire» ne «coûte» que 45 euros. Cette ahurissante disproportion constitue la première des raisons pour lesquelles nous demandons que ce délit arriéré, obsolète, inique, soit chassé du Code pénal, comme le furent jadis les délits d’offense à la morale religieuse, d’outrage aux bonnes mœurs, et plus récemment (1994) le délit d’outrage par la voie du livre.<br /> <br /> Parce que l’outrage constitue une aberration de droit, l’agent constateur étant en même temps la «victime» et que devant un tribunal, c’est parole contre parole, celle du fonctionnaire assermenté contre celle du citoyen lambda.<br /> <br /> Parce qu’il est utilisé par les «forces de l’ordre» pour couvrir des violences policières de plus en plus insupportables, des abus d’autorité scandaleux, des gardes à vue arbitraires (+ 54 % en cinq ans) qui font de chaque citoyen, quelles que soient ses origines sociales, un coupable potentiel.<br /> <br /> Parce qu’il est utilisé à des fins mercantiles par des policiers, des gendarmes qui arrondissent leurs fins de mois en se portant partie civile.<br /> <br /> Parce que, dans le contexte actuel de la politique de résultat imposée dès 2002 par le ministre de l’Intérieur Sarkozy, l’outrage est utilisé pour faire grimper le taux d’élucidation des infractions.<br /> <br /> Parce que l’outrage participe à une pénalisation des rapports sociaux en sanctionnant la parole au détriment du dialogue démocratique.<br /> <br /> Parce que l’outrage concourt à un rétrécissement des libertés individuelles, et qu’il est utilisé par le pouvoir comme une arme de répression pour bâillonner les luttes militantes, notamment lorsque des citoyens s’opposant à la traque des sans-papiers organisée par le ministre de l’Identité nationale se voient traînés devant les tribunaux.<br /> <br /> Parce que le délit d’outrage, exception française, n’existe pas chez la plupart de nos voisins.<br /> <br /> Parce qu’il y a dans la loi sur la presse de 1881 tout ce qu’il faut pour réparer l’outrage…<br /> <br /> Nous demandons sa dépénalisation.<br /> <br /> Mais le délit d’outrage n’est pas le seul en cause. Récemment, pour la première fois depuis trente-quatre ans, un de ses avatars a été remis au goût du jour : le délit d’offense au président de la République. Autrement dit, le crime de lèse-majesté. Un citoyen français a été condamné à 30 euros d’amende avec sursis pour avoir, lors du passage d’un cortège présidentiel, brandi une pancarte estimée offensante par la justice. L’affaire est d’autant plus scandaleuse (et ridicule) que cette personne ne faisait que reproduire l’injure adressée le 23 février au salon de l’Agriculture par le chef de l’Etat à un citoyen qui avait refusé de lui serrer la main. Elle est d’autant plus intolérable que nombre de nos concitoyens sont en droit de considérer ce «Casse-toi pauvre con !» adressé à un des leurs comme une offense à la Nation tout entière, et n’hésitent plus à poser la question : quel respect accorder à un président de la République aussi peu respectueux de ses concitoyens ? Dans ces conditions, et alors que le délit d’offense à chef d’Etat étranger a été supprimé en 2004 après avoir été déclaré contraire à la Convention européenne des droits de l’homme, nous disons que le délit d’offense au chef de l’Etat français n’a plus sa place dans notre société. Nous demandons l’abrogation pure et simple de l’article 26 de la loi du 29 juillet 1881, relatif à l’offense au Président.<br /> <br /> Enfin, nous lançons un cri d’alarme à propos du comportement de plus en plus brutal d’une police dont on peut se demander si elle est encore au service des citoyens et de la République, ou au service exclusif d’un pouvoir. Cette menace pour la démocratie, récemment médiatisée par la garde à vue d’un journaliste de Libération, l’interpellation d’un photographe couvrant une manifestation lycéenne à Lyon et l’intervention brutale de gendarmes dans un collège du Gers, ne peut laisser aucun citoyen indifférent. Trop de personnes ne supportent plus de vivre dans la peur d’un contrôle de cette police-là.<br /> <br /> C’est pourquoi nous appelons à un débat sur les violences policières, ce cancer de la société française, dont les responsables politiques, de droite comme de gauche, détournent depuis trop longtemps les yeux. Nous rappelons que la dernière fois qu’un parlementaire s’est mêlé de questionner le pouvoir sur le comportement policier (commission d’enquête sur les dysfonctionnements de la police, à la requête du député Jacques Brunhes, en février 2006), il n’a obtenu qu’une fin de non-recevoir du ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy. Ministre dont la politique de résultat - imposée par les instructions ministérielles de 2002 - n’est pas étrangère aux tensions croissantes qui opposent la police et les citoyens. Sarkozy porte une large part de responsabilité, maintenant qu’il est devenu chef de l’Etat, dans la prolifération des abus et des dérives scandaleuses qui mettent en cause la police (parmi lesquels le délit d’outrage) dans la patrie dite «des droits de l’homme». Il y a urgence.<br /> <br /> La pétition en ligne, disponible sur les sites de la Ligue des droits de l’homme et du Collectif pour une dépénalisation du délit d’outrage (Codedo), sera remise à l’Elysée et à la Chancellerie le 23 février. Ella a déjà été signée par plus de quatre cents personnes, parmi lesquelles Jean-Pierre Dubois, Antoine Comte, Jean-Luc Godard, Jacques Testart, Emmanuel Terray, François Morel, Luis Rego, Gilbert Melki…<br /> <br /> http://www.ldh-france.org/Petition-outrage-offense-L-appel<br /> <br /> Voilà, Éva et en guise de voeux, malgré ce futur qu'on veut nous imposer, une parabole qui me semble à propos...<br /> <br /> – Une carotte, un oeuf et une tasse de café<br /> <br /> <br /> <br /> Une jeune femme visite sa mère et lui parle de sa vie et comment elle a de la difficulté à passer à travers chaque journée. Elle ne sait pas comment elle va s'en sortir et elle envisage d'abandonner. Elle est tellement fatigué de se battre continuellement. Elle a l'impression que lorsqu'un problème est résolu, un nouveau se présente.<br /> <br /> <br /> Sa mère l'amène à la cuisine. Elle remplit trois casseroles d'eau et les place sur les ronds du poêle à feu élevé. L'eau se met à bouillir rapidement. Dans la première casserole, la mère ajoute des carottes. Elle met des oeufs dans la deuxième casserole, et dans la troisième, elle met des grains de café moulu. Elle laisse bouillir et reposer sans dire un mot.<br /> <br /> Au bout de 20 minutes, elle ferme le feu. Elle égoutte les carottes et les place dans un bol. Elles sort les œufs et les met dans un bol. Finalement, elle vide le café dans un bol. Se tournant vers sa fille, elle demande : 'Dis-moi ce que tu vois?'<br /> <br /> <br /> Des carottes, des œufs et du café', répond la fille.<br /> <br /> <br /> Sa mère lui demande de se rapprocher des carottes. La fille se rapproche et note que les carottes sont molles. La mère lui demande ensuite de prendre un œuf et de briser la coquille, ce que fait la fille. Cette dernière observe alors que l'œuf est dur.<br /> <br /> <br /> Finalement, la mère demande à sa fille de goûter au café. La fille sourit en goûtant à l'arôme riche du café. La fille lui demande ensuite : 'Qu'est-ce que ça signifie, maman?'<br /> <br /> <br /> Sa mère lui explique que chacun de ces objets a fait face à la même adversité : de l'eau bouillante. Chacun a réagi différemment. Les carottes sont arrivées fortes et dures. Cependant, après avoir été soumises à l'eau bouillante, elles se sont ramollies et sont devenues faibles. Les œufs étaient fragiles. Leur coquille mince protégeait leur liquide intérieur, mais après avoir passé du temps dans l'eau bouillante, ils sont devenus plus durs à l'intérieur. Les grains de café moulu étaient uniques, quant à eux. Après avoir été soumis à l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.<br /> <br /> <br /> Lequel es-tu?, demande la mère à sa fille. 'Quand l'adversité frappe à ta porte, comment réagis-tu? Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café?'<br /> <br /> <br /> Souviens-toi de ceci : Lequel suis-je? Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui devient molle et perd de sa force devant la douleur et l'adversité?<br /> <br /> <br /> Suis-je un œuf qui débute avec un cœur malléable mais qui change quand la situation se réchauffe? Ai-je un esprit fluide, mais après un décès, une rupture, une difficulté financière ou un autre défi, suis-je devenu plus dur et fermé? Est-ce que ma coquille se ressemble, mais du côté intérieur, suis-je amer et dur avec un esprit rigide et un cœur de pierre?<br /> <br /> <br /> Ou suis-je une grain de café? Le grain, en fait, change l'eau chaude, la circonstance qui amène la douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa flagrance et sa saveur. Si tu es comme le grain de café, quand les choses semblent être les pires, tu deviens meilleur et tu changes la situation autour de toi.<br /> <br /> <br /> Quand les temps semblent les plus sombres et que les difficultés sont les plus grandes, est-ce que tu t'élèves à un autre niveau? Comment gères-tu l'adversité? Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café?<br /> <br /> <br /> Puisses-tu avoir suffisamment de joie pour te rendre doux, suffisamment de défis pour te rendre fort, suffisamment de peines pour te garder humain, et suffisamment d'espoir pour te garder heureux.<br /> <br /> <br /> Les gens les plus heureux n'ont pas nécessairement le meilleur de tout; ils ne font que ressortir le meilleur de tout ce que la vie met sur leur route. L'avenir le plus clair sera toujours basé sur un passé oublié; tu ne peux pas aller de l'avant dans la vie à moins de laisser aller les blessures et tracas du passé.<br /> <br /> <br /> Quand tu es né, tu pleurais et les gens autour de toi souriaient.<br /> <br /> <br /> Vis ta vie pour qu'à la fin, sois celui qui souris quand tout le monde autour de toi pleure.<br /> <br /> <br /> <br /> Soyons tous des grains de café...!!!<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Tu voudras peut-être envoyer ce message aux gens qui ont une signification importante pour toi (comme je l'ai fait); à ceux qui ont touché ta vie d'une façon ou d'une autre; à ceux qui te font sourire quand tu en as vraiment besoin; à ceux qui te font voir le beau côté des choses quand tu te sens vraiment à plat; à ceux dont tu apprécies l'amitié; à ceux qui signifient tant dans ta vie.<br /> <br /> Bonne soirée!<br /> Naradamuni
Répondre
E
Oh Morsli, pas moyen d'entendre le son ! Tu veux dire que cet homme est malmené car il dit la vérité ???<br /> <br /> Pauvre humanité.... Bonnes fêtes, Eva
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M
La propagande va de pair avec le boycott des personnalités juives qui ne se sentent pas obligées de défendre la politique criminelle de cet état-furoncle, de ce prurit responsable des neuf dixièmes de la tension internationale : on ne voit jamais N. Chomsky, N. Finkelstein, Mearsheimer le co auteur d'un livre consacré au lobby pro israélien aux états-unis...etc...non on donne complaisamment la parole aux Goldnadel, Finkielkraut, Encel,Mariton,Macias, Boujenah...Connais-tu Georges Galloway Eva ? Sinon tape youtube Galloway chez sky news, c'est un massacre de la philosioniste de service par ce brave homme et puis tiens je vais chercher le lien;Bonne soirée!<br /> http://www.youtube.com/watch?v=249JaIaubVw
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E
Chère Danielle,<br /> <br /> je souscris parfaitement à tout ce que tu dis. D'une façon générale, le communautarisme est un poison qui pollue les relations humaines, chacun détient la vérité et rejette l'autre. Quant à la religion, on ne doit pas imposes ses convictions à l'autre.<br /> <br /> La Laîcité est la base du lien social, il réunit au lieu de séparer comme les communautarismes. Je déteste les communautarismes. Et le sectarisme !<br /> <br /> Je t'embrasse, très bonnes fêtes Eva
Répondre

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  • : Blog d'opinion et de résistance. Les médias ne sont pas libres, mais simples outils de désinformation et de propagande pour l'Occident militaro-financier. Pas de liberté d'informer, donc pas de liberté ni de démocratie. La désinformation est l'ennemie Public N°1. Eva, journaliste-écrivain, libre-penseuse, dénonce et interpelle.
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  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.
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