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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 08:54


France Télévisions :
une mobilisation s'organise
NOUVELOBS.COM | 10.09.2008 | 17:10

Les leaders syndicaux ont invité le personnel à rester vigilant et à se préparer à manifester en octobre et novembre. Le projet de suppression de la publicité doit être adopté par le gouvernement le 8 octobre, et soumis à l'Assemblée nationale le 18 novembre.



(c) Sipa

Les syndicats de France Télévisions ont appelé mercredi 10 septembre à une mobilisation contre le projet de loi du gouvernement sur l'audiovisuel public, même si  le texte n'a pas encore été adopté par le conseil des ministres. La suppression de la publicité après 20h est prévue pour le 1er janvier 2009, tandis que la suppression totale doit intervenir fin novembre 2011.
A l'occasion d'une assemblée générale qui a réuni une centaine de personnes mercredi dans le hall de France Télévisions, à Paris, les leaders des différents syndicats (SNRT-CGT, CFDT, CFTC, FO, SNJ, SUD, CSA, SITR, SRCTA/UNSA, SNJ-CGT) ont invité le personnel du groupe public à rester vigilant et à se préparer à manifester en octobre et novembre.

Accords collectifs "remis en question"

Selon Carole Petit, déléguée SNJ, les différents accords collectifs qui régissent les différentes catégories de personnel et les différentes sociétés de France Télévisions (France 2, France 3, France 4, France 5, France ô) vont "être remis en question dans le cadre du changement juridique".
Le projet de loi prévoit notamment de transformer France Télévisions en entreprise unique et de supprimer ainsi les différentes sociétés qui composent la holding actuelle.
"Nous serons de toute façon dans la rue et vraisemblablement en grève le 18 novembre devant l'Assemblée nationale pour aller rappeler aux députés et aux sénateurs qu'ils ne casseront pas l'audiovisuel public contre nous", a indiqué pour sa part Jean-François Téaldi, du SNJ-CGT.
Le projet de loi sur l'audiovisuel public, actuellement entre les mains du Premier ministre, doit être présenté au Conseil d'Etat avant d'être adopté par le Conseil des ministres.

Nouvelles taxes


Selon le ministère de la Culture et de la Communication, le projet devrait être adopté par le gouvernement le 8 octobre prochain, de façon à être soumis à l'examen de l'Assemblée nationale à partir du 18 novembre.
Par ailleurs, l'intersyndicale de l'audiovisuel public doit se rendre jeudi à Bruxelles pour y rencontrer les services de la commission européenne et les interroger sur les taxes que le gouvernement se propose d'imposer aux chaînes privées, aux opérateurs de télécoms et aux fournisseurs d'accès internet pour compenser la suppression des recettes publicitaires du service public.
Selon l'intersyndicale, ces taxes sont contraires au droit européen de la concurrence et devrait être rejetées par la commission.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/medias/audiovisuel/20080910.OBS0795/france_
televisions__une_mobilisation_sorganise.html




Les amis du Président

Propriétaires de chaînes de télévision, grands patrons qui passent des marchés avec l'Etat, vedettes du show-biz... Le chef de l'Etat en a beaucoup, d'amis ! L'impudence tranquille avec laquelle il intervient dans les dossiers qui les concernent frise la provocation... et fait naître des soupçons

Mon premier, Christian Clavier, fut l'un des «visiteurs» de Nicolas Sarkozy au Fouquet's, le soir du second tour de l'élection présidentielle. Mon second, Frédéric Péchenard, est un ami d'enfance du président. Mon premier est tout, sauf un emmerdeur : «Clavier n'appelle pas Nicolas pour un oui ou pour un non, contrairement à d'autres», soupire un conseiller élyséen. Mon second est unanimement considéré comme un grand flic, mais sa promotion fulgurante à la direction générale de la Police nationale a fait jaser : la faveur du prince n'y était pas étrangère. Mon premier a vu le jardin de sa villa corse envahi par une cinquantaine de nationalistes le 30 août. Scandalisé, il n'en a pas téléphoné à son ami le président pour autant. Mais celui-ci l'a appelé, et le coordonateur des services de sécurité de l'île, Dominique Rossi, s'est retrouvé muté à Paris. Qui est venu défendre cette sanction le 4 septembre sur RTL ? Mon second. Rossi a commis «une faute professionnelle», a estimé Frédéric Péchenard, avant d'assurer qu'il avait lui-même «décidé de nommer [Rossi] à ITGPN», le cimetière des éléphants de la police.

La «république des copains» ? L'affaire Clavier en est une flagrante illustration. Que l'Elysée n'ait pas vu ce qu'il y avait d'inconvenant à demander à un pote parisien du président de gérer et de commenter à la radio les mésaventures corses d'un autre pote du président laisse songeur. Nicolas Sarkozy n'est pas le premier président de la République à avoir des amis. Il n'est pas le premier président à mélanger parfois relations privées et affaires de l'Etat. De l'affaire Pelât et des surprofits de Vibrachoc, du temps de François Mitterrand, à la manière dont Jacques Chirac a calé la politique arabe de la France sur les desiderata de son ami Rafic Hariri, un temps Premier ministre du Liban avant d'être assassiné, aucun de ses deux prédécesseurs n'est sans reproche sur ce terrain. Mais la tranquille impudence de Sarkozy parfois frise la provocation. Un président sans gêne ! C'est peut-être ce qui irrite le plus les Français dans le comportement du chef de l'Etat : Sarkozy semble considérer qu'être le premier des Français lui donne tous les droits.

Le chef de l'Etat a beaucoup d'amis, parfois proches, parmi les patrons de chaînes de télévision. On aurait pu imaginer qu'il s'interdise de lui-même d'intervenir dans ce domaine, en particulier sur son mode de financement. Question d'hygiène ! Il fait exactement le contraire ! De la suppression de la publicité sur les chaînes publiques à l'augmentation des coupures publicitaires sur les chaînes privées, il multiplie les initiatives. Il serait diffamatoire de le suspecter a priori de ne chercher qu'à complaire à ses amis. Mais pareil activisme fait nécessairement naître le soupçon !

Nicolas Sarkozy est très sourcilleux sur la déontologie des journalistes. Il n'hésite pas à leur administrer la leçon en public, en particulier lors de ses conférences de presse. Il l'est moins sur sa propre déontologie. Non seulement il prétend régenter un secteur où il compte beaucoup d'amis, mais il n'hésite pas à leur demander de taper sur les doigts des journalistes qui lui ont déplu. Sarkozy a été scandalisé que «Paris Match», alors dirigé par Alain Genestar, fasse sa couverture sur Cécilia et son amant. Violation caractérisée de la vie privée, a-t-il estimé; à l'époque, il était encore marié à Cécilia. Il n'a pas plus digéré que Patrick Poivre d'Arvor le traite de «petit garçon» lors d'une interview télévisée. De quel droit le présentateur l'avait-il ainsi souffleté, a-t-il pensé ? Sarkozy a encore moins accepté que «le Point», qu'il considérait comme un hebdomaire «ami», et dont le directeur est Franz-Olivier Giesbert, le fasse ausculter par des psys. C'était suggérer qu'il n'était pas tout à fait sain d'esprit, a-t-il jugé. Mû par un fort sentiment d'injustice, Sarkozy s'est plaint de ces insolents auprès de leurs patrons respectifs : Arnaud Lagardère, Martin Bouygues et François Pinault. Nul ne peut affirmer que Genestar et PPDA doivent leur destitution à ces récriminations. Mais on se prend à rêver d'un président qui s'interdirait toute intervention dans le domaine des médias. On en trouve, à l'étranger...


Sarkozy ne connaît pas les seuls patrons de presse. Il entretient des relations avec de nombreux grands patrons dans presque tous les secteurs de l'économie. Là encore, on aurait pu imaginer que cette promiscuité le conduise à déléguer la gestion de ce domaine au gouvernement. Là encore, il n'en fait rien. Un conseiller élyséen défend son interventionnisme : «Le président ne peut pas se désintéresser des regroupements entre grandes entreprises.» Mitterrand ou Chirac ne se sont pas fait élire à l'Elysée pour devenir ministre de l'Industrie. «Sarkozy est un président de plein exercice, qui ne se conduit pas en superministre des Affaires étrangères», plaide ce conseiller, avant d'asséner : «La vraie différence entre Sarkozy et ses prédécesseurs réside dans l'absence d'hypocrisie. Mitterrand et Chirac aussi avaient des copains patrons. Ils leur donnaient des coups de pouce, mais en douce. Sarkozy joue la transparence. Comme l'a souligné Carla Bruni dimanche chez Michel Drucker, il n'est pas dans l'opacité.»

Transparent, Sarkozy ? Plus que Mitterrand et Chirac, à coup sûr. Mais il s'agit d'une transparence relative. Dans l'affaire Clavier, l'Elysée a vendu aux Français une fable : la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, aurait décidé seule de sanctionner Dominique Rossi. Comme le montre notre enquête (voir p. 49), c'est l'Elysée qui s'est enflammé. Interrogé sur cette affaire lors de son voyage à Damas, Sarkozy a résumé son état d'esprit : «Le fait d'être mon ami ne doit pas faire qu'on a moins de droits.» Une partie de la classe politique, François Bayrou en tête (voir p. 57), l'a accusé de délit de favoritisme. Sarkozy pense avoir fait preuve d'équité. Il reçoit régulièrement des victimes anonymes de faits divers pour leur témoigner sa compassion. Il ne voit pas pourquoi Clavier, sous prétexte qu'il est riche et célèbre, serait condamné à une sorte de «double peine» : avoir d'abord reçu, à cause de sa proximité avec lui, la visite intempestive de nationalistes corses; ne pas pouvoir obtenir ensuite, toujours à cause de cette proximité, que les responsables de cette intrusion soient sanctionnés. Le fait que le président se cache derrière la ministre de l'Intérieur montre cependant qu'il est conscient d'être à la limite de l'excès de pouvoir.

Même transparence relative dans la nouvelle affaire Tapie (voir p. 50). Là encore, une femme fait écran : Christine Lagarde, la ministre de l'Economie, aurait décide de son propre chef de recourir à une procédure arbitrale. Qui peut le croire ? Sarkozy et Tapie ne sont pas à proprement parler des amis, mais ce sont de vieilles connaissances. Tapie a voté Sarkozy en 2007. A l'Elysée, on assure qu'ils se sont uniquement croisés depuis pour parler de la politique de la ville... «Le Point» a affirmé au contraire qu'ils sont en contact régulier. Comment imaginer que le chef de l'Etat n'ait pas au moins été informé de la décision de Bercy ?

Dans cette affaire, le Crédit lyonnais a sans doute fauté : il a été sévèrement condamné en appel. Mais Tapie a obtenu en 2007 ce qu'il avait échoué à obtenir avant : quitter le terrain strictement judiciaire. On ne peut affirmer qu'il le doit à Sarkozy, mais il n'y a aucun doute, là encore, sur l'état d'esprit du chef de l'Etat : quels que soient ses errements passés, Tapie n'a pas «moins de droits» que quiconque. On connaît le respect présidentiel pour la réussite et l'argent : tout moneymaker est à ses yeux un héros positif. Même quand il a utilisé des moyens limite pour faire fortune. «Contrairement à certains donneurs de leçons, Tapie n'est pas un héritier», observe un ministre proche du président.

La «république des amis» peut-elle à nouveau flétrir l'image de Sarkozy ? Ce proche ne le croit pas :
«La séquence jet-set du début du quinquennat, le Fouquet's plus le yacht, a été catastrophique pour Nicolas : elle est dans son ADN. Mais maintenant qu'il a compris la solennité de la fonction, les règles du jeu, il est en train de regagner l'estime des Français à force de travail. Clavier, les Français s'en foutent : ils n'aiment pas les nationalistes corses. Le RSA, ça, c'est énorme : 80% des gens y sont favorables.»

Pour l'instant, les sondages valident cette analyse : la cote du président continue de remonter, parfois spectaculairement, comme dans une enquête LH2 pour le Nouvelobs.com : +11%. La principale victime de l'affaire Clavier pourrait être le comédien lui-même. Le président lui a-t-il rendu service en intervenant si promptement ? Pas sûr. Sa carrière n'était déjà plus à son zénith. Maintenant qu'il a, accrochée dans le dos, une pancarte de pote-du-président-qui-fait-tomber-les-flics, il pourrait rejoindre la cohorte des éclopés du sarkozysme. Le voilà doc-gynéco-isé ! On lui file le mail de Christine Angot (1) ?

(1) Dans son dernier livre, «le Marché des amants», la romancière raconte sa liaison avec le rappeur.

Hervé Algalarrondo
Le Nouvel Observateur

http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2288/articles/a383146.html



SARKOZY    
Télévisions publiques :
ça craint !



Quelques instants avant la remise protocolaire du rapport de la Commission Copé, le président de la République a reçu l’Intersyndicale et a confirmé la teneur de décisions que l’on connaissait déjà début janvier. Il a estimé qu’un délai de six mois pour définir la réforme de la télévision publique est assez rapide, compte tenu des enjeux et de l’immobilisme qui avaient régné jusqu’alors. Il a confirmé qu’un projet de loi serait débattu à l’automne (cahier des charges, contenus, gouvernance).

La publicité disparaîtra des antennes de 20h à 6h dès le 1er janvier 2009 et non pas septembre 2009, comme le préconisait la Commission Copé. Cette décision a été prise pour des raisons « de plus grande lisibilité ». La publicité resterait sur les antennes (notamment à RFO et dans les régions de France 3) là où il n’y a pas « d’offre publicitaire alternative ».

La compensation de la perte de ressources publicitaires sera bien assise sur deux éléments :
„Ï Taxation sur les bénéfices supplémentaires des télévisions privées (3%)
„Ï Taxation de 0,9% du chiffre d’affaires des opérateurs internet et de téléphonie mobile.

La dotation en capital de 150 millions d’euro est maintenue, ce qui selon Nicolas Sarkozy écarte toute rumeur de privatisation. « On ne privatise pas une société qu’on recapitalise », ajoute-t-il.

icolas Sarkozy a réaffirmé son soutien à l’équipe dirigeante actuelle de France Télévisions dont il a suivi les préconisations concernant l’évolution vers une entreprise unique.
La nomination du président de France Télévisions interviendra sur décision du Gouvernement après concertation avec le CSA et les commissions compétentes du Parlement.
Sur l’ensemble de tous les autres points (et non des moindres), la Ministre de tutelle, Christine Albanel, mènera les concertations pendant l’été
.

L’Intersyndicale a émis des réserves sur la régularité des taxes proposées face à la législation européenne. Nicolas Sarkozy semble passer outre en estimant qu’elles sont parfaitement conformes aux dispositifs de Bruxelles et qu’il existe d’ailleurs d’autres mesures si un blocage intervenait (4e licence).

En revanche, les préconisations concernant le prélèvement de la redevance de l’INA et de RFI ont été abandonnées puisqu’on attend davantage des taxes proposées. Le président de la République est toujours opposé à une augmentation de la redevance, allant au-delà de l’indexation sur l’inflation, mais ajoute que cette question pourrait être revue après l’adoption de la réforme, notamment sur l’assiette de la redevance qu’il préfère à une révision des taux.

La question de la modification des décrets Tasca reste ouverte et devrait être tranchée avant la rentrée. Nicolas Sarkozy estime qu’il faut trouver un équilibre entre les producteurs et diffuseurs, France Télévisions ne pouvant être réduit « au rôle de loueur de cassettes ». Il faut faire bouger l’équilibre actuel.

La CFDT, comme plusieurs organisations, estime qu’on ne s’est pas assez attaché au contenu et au cahier des charges au cours des débats menés par la Commission Copé. Le président de la République estime, effectivement, qu’il s’agit d’une question importante, mais renvoie l’ensemble de ces questions aux travaux que devra mener Christine ALBANEL.

Il a simplement précisé que l’Outre-Mer devrait être davantage présent sur les autres chaînes du Groupe, au-delà de RFO. L’Europe devrait également occuper une place plus importante dans les contenus.
Sur le développement régional de France 3, dont le financement paraît incompatible avec la nouvelle configuration définie, il considère que les économies réalisées sur la masse salariale seront de nature à y pourvoir !

En matière de gouvernance, il est donc confirmé que sera constituée une entreprise unique, ce qui amène bien évidemment la question des textes collectifs qui y seront applicables. La CFDT a bien réaffirmé que l’application des textes conventionnels couvrant actuellement 90 % des effectifs du Groupe (Convention collective de la communication et production audiovisuelle pour les PTA, Convention collective nationale de travail et avenant Audiovisuel pour les Journalistes), doit être la base sur laquelle s’engageraient les négociations nécessaires.

A la fin de l’entretien avec Nicolas Sarkozy, la rencontre normale qui aurait dû intervenir avec la presse écrite et audiovisuelle a été perturbée par des directives officielles visant à empêcher toute communication. Au-delà du bouclage hermétique de l’Elysée, de quoi le président de la République et le Gouvernement avaient-ils peur face à une dizaine d’intervenants de l’Intersyndicale ?

Tout cela nous paraît bien bâclé et très mal improvisé. La question du financement n’est pas tranchée et de graves interrogations demeurent tant sur la compensation à court terme que sur le financement durable d’une télévision publique ambitieuse et distincte du modèle commercial. Les craintes que nous avions émises sur la nécessité de réaliser des économies ont été confirmées. C’est bien la masse salariale (emploi, Convention collective et accords d’entreprise) qui devrait faire les frais de l’opération.

Aussi grave, le dossier des contenus et des missions, déjà à peine effleuré par la Commission Copé, est simplement renvoyé à une concertation pendant l’été avec une ministre dont la marge de manœuvre paraît être voisine de zéro.

La CFDT va donc s’employer avec les organisations syndicales qui partagent ses positions sur les contenus et le mode de financement, à rencontrer tous les parlementaires qui auront la responsabilité d’adopter la réforme de la télévision publique. Elle en appelle également à toutes les associations et à tous les citoyens qui ne peuvent rester les bras croisés devant une véritable opération d’étranglement et d’assassinat programmé du service public de l’audiovisuel.

 

News publiée par: SNM - CFDT
Le: 26/06/2008

http://www.usj-cfdt.fr/site/portail.php?titre=news&sstitre=news&contenu=news&id=246&aff=on

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commentaires

E
Ripoublique, ripoumédias. Pouah ! Eva
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M
Ce qui est grave c'est qu'en face ,ces péteux ne proposent jamais de revenir sur toutes les saletés économiques et saletés liberticides que ce type est en train de commettre pour sa classe et ses copains; c'est la ripoublique et c'est vraiment l'expression qui va!<br /> Bises Eva.
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  • Journaliste de profession. Radio,TV,presse,productrice émissions. Auteur de plusieurs ouvrages chez éditeurs de renom. Milite pour une information libre,plurielle,diversifiée, indépendante des grands groupes.
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