ÉTATS-UNIS: ” NOS BOMBES TAPISSERONT LE CYBERESPACE” ou la STRATÉGIE DU DÉPARTEMENT D’ÉTAT DES ÉTATS-UNIS face au cyber espace et à internet. Ce qui ne les empêche pas d’avoir des stratégies éprouvées de longue date comme la prolifération de bases.
ÉTATS-UNIS: ” NOS BOMBES TAPISSERONT LE CYBERESPACE”
Le Pentagone a décidé de se doter d’une unité spécialisée destinée à détruire sans sommation les sites Internet de ses adversaires, comme mentionné dans le numéro de mai 2008, de la revue de l’Armed Forces Journal, de l’Armée des Etats-Unis.
« Tapisser de bombes le cyberespace », c’est la stratégie que vient d’annoncer le Département de la Défense nord-américain, ce qui signifie, détruire délibérément les sites Internet qui dérangent le gouvernement nord-américain, en cas de conflit réel ou possible, ce qui lui permet de frapper d’une agression cybernétique n’importe quelle partie du réseau mondial.
Bien que cette stratégie ait été déjà rendue publique grâce à certaines évidences dans les discours officiels des militaires nord-américains, c’est la première fois qu’un haut officiel, le Colonel Charles W. Williamson, Juge de l’Agence d’Intelligence Vigilance et Reconnaissance des Forces Aériennes, vient de l’admettre et a tenté de justifier légalement ces violations à la liberté d’expression dans le Web et les mécanismes de guerre cybernétique, pour laquelle les nord-américains se préparent à toute vitesse.
La « guerre aux réseaux » (network warfare), dans les mains de la 67è brigade de guerre aux réseaux, dispose déjà de 8000 hommes commandés par le colonel Joseph Pridotkas. Cette force complètera le Commando du Cyberespace de la Force Aérienne, qui opère à partir de Los Angeles, Californie, et qui sera opérationnelle en octobre prochain.
Lorsque ces deux forces seront officiellement prêtes, les Etats-Unis pourront compter avec une force impressionnante pour opérer sur Internet. Elle s’unira avec les armées traditionnelles – mer, air et terre – et recevra des moyens importants capables d’éliminer de façon simultanée des milliers de sites Internet.
« L’Amérique du Nord à besoin d’un réseau d’une puissance suffisante pour reprendre le contrôle des ces énormes quantités de trafic sur Internet…que nos adversaires utilisent. L’Amérique du Nord nécessite un grand tapis de bombes dans le cyberespace pour créer la dissuasion qui nous manque », affirme le colonel Williamson dans la revue Armed Forces.
Il admet que les « ramifications politiques peuvent être difficiles à manipuler », faisant allusion que les Etats-Unis ne doutent pas de pénétrer le réseau d’un site, qui appartienne à un pays qui ne soit pas listé dans leurs ennemis politiques : « Évidemment, les EEUU chercheront des alliés, mais nous pourrions être en conditions également de lancer une attaque contre une nation dont nous avons juré de protéger avec un pacte de défense mutuelle. Les EEUU ensemble avec ses alliés peuvent réduire ce risque au moyen d’une coopération afin de maximiser la sécurité informatique », affirme Williamson.
L’industrie militaire a rendu possible que les Etats-Unis se transforment en une puissance de cyber vigilance et dans des opérations couvertes à travers le réseau. Le secrétaire de la Force Aérienne Michael W. Wynne avait annoncé le 2 décembre 2006 que le Pentagone avait décidé de construire une 8è Force Aérienne, « le nouveau commandement du cyberespace de service, qui focalisera son attention sur la lutte contre le terrorisme au plan technologique ».
Le Commando du Cyberespace est sous la direction du Lieutenant Général Robert Elder, un général à trois étoiles spécialisé dans la technologie militaire soviétique – un de ses livres s’intitule Objectif stratégique du Commerce de la Technologie Avancée avec l’Union Soviétique.
Lors de la présentation à la presse du Commando du Cyberespace, Elder avait exprimé : « En définitive, il résulte beaucoup plus d’intérêts d’utiliser le cyberespace comme domaine de combat, contre nos adversaires au moins, et c’est ce que nous sommes en train de compenser. … S’ils veulent se battre contre nous dans le cyberespace, nous sommes disposés à leur livrer le combat dans ce cercle également».
La mission du nouveau Commando, selon Elder, est “le monde à notre portée, vigilance mondiale, pouvoir mondial ». « Jusqu’à présent –a-t-il dit- nous étions sur la défensive. Le changement culturel fait que nous passons à l’offensive et nous allons traiter le cyberespace comme un domaine de combat…En liaison avec les universités, nous allons former des guerriers du cyberespace qui soient capables de réagir devant n’importe quelle menace 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7… ».
Afin qu’il n’y ait aucun doute sur la gravité de l’ordre du Pentagone, il a ajouté: « Dans ce domaine, et à l’image de n’importe quel scénario de guerre, il n’y a pas de place pour les amateurs ».
Le commando du cyberespace a une contrepartie dans le Département d’État : le Groupe Spécial de Travaux pour la Liberté sur la Globalité d’Internet (Global Internet Freedom Task Force, GIFTF, pour son sigle en anglais), une organisation multi-agences subordonnée à Condoleezza Rice et dirigée par la sous-secrétaire de l’Économie, du Commerce et de l’Agriculture de ce Département, Josette Sheeran Shiner. Ce Groupe de Travaux, Dans lequel participent des agences du gouvernement, des universités et des chercheurs privés qui « sont opérationnels 24 heures sur 24 », avait été dévoilé publiquement le 14 février 2006.
Lors de sa seconde réunion de travail organisée le 3 avril 2006, le GIFTF « a discuté de la pratique et de la construction de stratégies pour aider la liberté sur Internet ». Josette Shiner avait averti, pendant cette rencontre dans laquelle avaient participé de “hauts” fonctionnaires du gouvernement que, « nous nous concentrons spécifiquement sur les défis de la liberté d’Internet en Iran, Cuba et la Chine ».
Cubadebate
Traduction: Esteban
Posté par LE TACLE
Je signale que le Livre blanc de Nicolas Sarkozy s’inscrit totalement dans cette surveillance du cyber espace. Mais cet intérêt pour la toile et les sites mal pensants s’accompagne d’une autre prise de l’espace beaucoup plus traditionnelle. C’est ainsi que l’hebdomadait “jeune Afrique”n°2474n du 8 juin au 14 juin décrit “le plan secret de bush”.*
L’administration Bush- en particulier le vice président Dick Cheney et l’ambassadeur américain à Bagdad Ryan Crocker- multiplie les pressions sur le premier ministre irakien Nouri al-Maliki afin qu’il signe avant la fin juillet un document accordant à l’armée américaine la jouissance permanente d’une cinquantaine de bases militaires à travers le pays.
Ce “contrat”, dont certains détails ont commencé à filtrer, prévoit également le contrôle de l’espace aérien irakien, l’immunité juridique pour les Etats-Unis et la possibilité pour ces dernières d’agir sans en référer aux autorités irakiennes. Si maliki et son gouvernement finissent par consentir, contraints ou non, à cet accord, ce dernier pourrait sérieusement entraver la marge de manoeuvre de Barack Obama s’il était élu en novembre.
http://socio13.wordpress.com/2008/06/24/les-etats-unis-toujours-plus-paranos-du-cyberespace-a-un-contrat-avec-lirak/#more-1909
A visiter :
http://spe.over-blog.com Blog Tibet.
Pour comprendre ce qui s'y passe réellement !
Articles sur les mensonges des médias
concernant la Georgie,
voir les derniers posts
sur http://r-sistons.over-blog.com
Le parti-pris des médias
occidentaux en Georgie :
Le Véritable Agresseur c'est La Georgie et son Dictateur Corrompu Saakashvili - Attention Medias Mensonges
Le parti pris des médias occidentaux contre la Russie est cynique, malhonnête et immoral. Occupés à couvrir la vie des pipole pour faire du chiffre et vendre leurs torchons, ils n'ont même plus, pour la plupart, de correspondant sur place, et se contente de reprendre les dépêches du Cartel des agences de presse, ou les informations que leurs distillent les communicants des politiciens impliqués. Voilà à quoi en est réduite la presse occidentale : à servir à couvrir des crimes de guerre et à accuser les victimes d'être les agresseurs.
Le 8 aoüt 2008, le dictateur georgien, Saakashvili, a envoyé ses troupes entraînées par les US/OTAN et les Israéliens bombarder et semer la destruction dans la capitale d'Ossétie du sud, Tsklhinvali, et plusieurs villages ossètes situés alentours. Compte tenu des techniques militaires employées, l'objectif n'était pas de s'emparer de cette ville, mais de la détruire et de liquider ses habitants, dont 90% sont russes. 2000 civils ont été tués et 30 000 se sont enfuis en Russie. La destruction de la ville de Tsklhinvali, les tueries, et le nettoyage ethnique organisé constituent des crimes de guerre, voire un crime contre l'humanité. Pour les Russes, l'attaque georgienne du 8 août ressemble au nettoyage ethnique que les puissances occidentales ont considéré comme un crime contre l'humanité quand il a été commis dans l'ex Yougoslavie, au Kosovo.
Pourtant, les médias se sont empressés de mettre sur le même plan l'attaque de Saakashvili planifiée avec l'accord des US/OTAN, et la réponse russe à cette attaque. Les titres ont pris une allure mensongère très agressive « La Russie envahit la Georgie », « La Russie Attaque la Georgie », la mention du nombre de victimes civiles ossètes minimisée et présentée comme sujet à controverse.
Ce que les journalistes occidentaux ne disent pas, c'est que le Président Mikhail Saakashvili, présenté comme un «démocrate», porté au pouvoir au cours de l'une de ses « révolutions colorées » (Rose) made in CIA, a violemment réprimé l'année dernière des manifestations alors qu'il a failli être renversé, a fermé les médias d'opposition, et a jeté ses opposants politiques en prison, les accusant d'espionnage. Les prisons Georgienne sont notoirement connues, les opposants au régime dictatorial y sont torturés. Certains opposants ont pu s'enfuir. C'est le cas de l'ancien ministre de la défense, Okruashvili, réfugié à Paris où il bénéficie de l'asile politique. Ce dernier est un candidat potentiel pour remplacer Saakashvili, quand l'opinion publique se retournera contre lui car les géorgiens ont déjà compris dans quel désastre il les a entraînés. Okruashvili est considéré comme « neutre » vis-à-vis de Moscou car il n'a pas eu par le passé dans sa carrière politique de liens avec les Russes. Saakashvili a engagé son pays depuis l'année dernière dans une militarisation forcenée que bon nombre d'opposants lui ont reproché, clamant sur les toits sa volonté de reconquérir l'Ossétie du Sud et l'Abkhasie par la force, soutenu en cela par son parti ultra nationaliste, et sa cohorte de mafieux. L'opposition à Saakshvili l'accuse, lui et sa famille, de corruption, notamment son oncle Alasaniya, de trafic d'armes, de s'être emparé des ressources du pays, et des concessions portuaires et commerciales pour eux-mêmes et leurs supporters. Alasaniya, qui est le frère de la mère de Saakashvili, occupe, comble de cynisme, la position officielle de représentant georgien à la Commission des Nations Unies sur le Désarmement à New York . Ce qui est particulièrement choquant, c'est de voir Saakashvili se pavaner dans les médias occidentaux invoquant son grand amour de la « démocratie » et de la « liberté », et demandant aux Etats Unis et à l'UE d'intervenir au nom de « valeurs partagées ».
Saakashvili utilise la plateforme que lui offrent les médias occidentaux pour nier ses crimes en Ossétie, malgré les faits, attaquant les Russes qualifiés « d'agresseurs », comparant l'actuel conflit à l'invasion par l'ex union soviétique de l'Afghanistan dans les années 80. C'est complètement stupide. La Russie n'est pas l'Union Soviétique, il y a longtemps que le rideau de fer est tombé. Mais fort du soutien de Washington, il pérore, alors que sa place est à la Haye, car ce qu'il a fait en Ossétie du Sud est comparable dans son ampleur à ce que Milosevitch a fait au Kosovo, rapporté au nombre d'habitants de ce petit pays (70 000).
Ce que les médias occidentaux ne disent pas c'est que l'Ossétie du Sud et l'Abkazie sont de facto indépendants depuis 1991, quand ils se sont soulevés contre le gouvernement central «démocratique » georgien qui avait interdit aux partis régionaux de participer aux élections. Ils ont vaincu l'armée georgienne, au prix de lourdes pertes et d'importantes destructions. Les puissances occidentales et l'OTAN, mettent en avant la « souveraineté « de la Georgie, mais elles ne se sont pas embarrassées de telles considérations lorsqu'il s'agissait de la Yougoslavie, cette année même notamment en reconnaissant « l'indépendance « du Kosovo . Mais en Ossétie du Sud et en Abkahzie, les populations n'aspirent qu'à une chose, l'indépendance.
Les medias occidentaux ne vous disent pas non plus qu'en promettant à Saakashvili qu'il ferait tout son possible pour que la Georgie devienne membre de l'OTAN, George.W.Bush – au grand dam de certains pays européens dont l'Allemagne qui n'apprécie pas la menace d'un conflit direct avec la Russie- n'a fait que renforcer les attitudes guerrières de Saakashvili qui pourraient plonger toute la région dans une guerre ressemblant à la Ière Guerre Mondiale, tout aussi stupide qu'elle. Avec sur l'Agenda US/Israël une attaque possible contre l'Iran, alors que la Russie rechigne à se prononcer pour de nouvelles sanctions, et a même récemment prôné un dialogue soutenu pour résoudre le différent sur le programme nucléaire iranien, les encouragements de Washington à Saakashvili constituent, semble –t-il, une contre attaque américano sioniste par proxy ( Les soldats georgiens ont été entraînés par les US/OTAN et des militaires israéliens). Les tanks georgiens ne seraient pas entrés en Ossétie du Sud sans l'accord préalable de Washington. Que faisaient ces 1000 soldats américains engagés dans des « exercices militaires conjoints » en Georgie alors que la crise allait crescendo ?
Les médias occidentaux bien sûr ne font pas non plus le rapprochement avec ce qui s'est passé en 1999 dans les Balkans, quand Slobodan Milosevic faisait comme ce que Saakashvili fait actuellement en Ossétie du Sud, ce qui a amené, souvenez vous, les US à bombarder l'ex Yougoslavie et « libérer » le Kosovo. On peut se demander pourquoi on n'applique pas les mêmes normes ? Réponse simple : parce que les victimes sont des slaves, et qu'une vie slave n'a pas le même statut officiel de victime dans le lexique des « humanitaires » occidentaux. (On ne parle jamais par exemple des 20 millions de slaves morts victimes des Nazis, dont une grande partie tués en les combattants, mais aussi morts dans les camps, et pour qui les Nazis avaient la même haine « raciale » que pour les juifs).
Les medias occidentaux bien sûr ne font pas non plus le rapprochement avec les attaques du 11 septembre à New York, qui ont tué 3000 citoyens américains, à l'origine de la guerre d'Afghanistan lancée par les Etats Unis qui ont invoqué la défense de leurs citoyens pour la justifier. A Tskhinvali, en Ossétie du Sud, on dénombre actuellement 2000 morts, pour la plupart Russes. Alors qu'on explique pourquoi la Russie n'aurait pas le droit de défendre ses citoyens, en allant bombarder des bases militaires georgiennes et autres infrastructures (usine de fabrication d'avions de combat) qui ont permis aux assassins en uniforme de s'entraîner et de bénéficier d'armements sophistiqués ?
Aux USA, le parti de la guerre et le complexe militaro industriel voient d'un très bon œil cette renaissance de la Guerre Froide. La Russie de Poutine et de Medvenev est la cible idéale. Démanteler la Russie après avoir contribué à démanteler l'ex Union Soviétique reste le but ultime de l'Impérialisme américain et de son bras armé en Europe l'OTAN.
Mais cela non plus les médias au service de l'Impérialisme US et de leurs vassaux européens ne le disent pas.
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article04/EkElykZkFuZVwdWvAP.shtml
Royalgate :
La désinformation
J’ai pris l’exemple de ce que l’on dénomme le Royalgate, ces intrusions criminelles chez Ségolène Royal, ces vols multiples d’ordinateurs et j’ai fait le tour de la plupart des médias pour voir si cette information qu’une autre candidate à la présidentielle (également rivale de Sarkozy) Leila Bouachera, candidate UMP, avait été victime d’actes criminels analogues (effraction hautement professionnelle de son domicile et vol du disque dur de son ordinateur).
En recherchant sur le site de chaque média, avec le moteur de recherche du média, ce qui se disait de Leila Bouachera, j’ai voulu voir si on évoquait cela. Logiquement, on aurait dû le faire, après l’interview que Mme Bouachera a donné au Parisien, le 10 juillet : http://www.leparisien.fr/home/info/politique/articles/UN-CABINET-NOIR-A-L-ELYSEE_298618520
- Libé : rien (lien sarkozyste : Edouard de Rothschild est un ami notoire de Sarkozy. Ont même passé des vacances ensemble. (Voir article de Le Point de janvier 07))
- Figaro : rien (lien sarkozyste : Dassault et le directeur de la rédaction invités à fêter directement avec Sarkozy au Fouquet’s, le 6 mai 2007)
- Le Point : rien (Lien sarkozyste : François Pinault, actionnaire-propriétaire du point est un ami de longue date de Sarkozy)
- Le journal du dimanche : rien (lien sarkozyste. L’actionnaire principal n’est autre qu’Arnaud Lagardère qui a déclaré qu’il considère N. Sarkozy « comme son frère », les mises au placard de Génestar (ex-directeur de Paris-Match, photos de Cécilia avec son amant en 2006) et d’Espérandieu (ex-directeur du jdd, limogé en 2008, beaucoup pensent en raison d’une orientation insuffisamment sarkozyste et de la résistance du jdd à la suppression du scoop que Cécilia Sarkozy se fusse abstenue lors de la présidentielle en mai 2007)L’autre actionnaire principal serait Dassault...
- Paris-match : rien (groupe Lagardère. Affaire Génestar)
- Elle : rien (Lagardère)
- Direct Soir : rien entre le 10 juin et le 10 juillet – pas de moteur de recherche- (groupe Bolloré)
- Direct Matin Plus : rien entre le 10 juin et le 10 juillet – pas de moteur de recherche- (Bolloré)
- 20minutes.fr : mentionné dans les commentaires (pas de lien sarkozyste connu)
- Marianne2 : mentionné à plusieurs reprises (pas de lien sarkozyste connu)
- Le Parisien : article ci- dessus, en lien (PME à capital familial, Lagardère comme actionnaire minoritaire)
- Betapolitique : mentionné dans les commentaires (pas de lien sarkozyste connu)
- Agoravox : article consacré à ce problème (pas de lien sarkozyste connu)
- Mediapart : mentionné dans les commentaires (pas de lien sarkozyste connu)
- NouvelObs : rien (pas de lien sarkozyste connu)
- Le Post : mentionné plusieurs fois (émerge du sarkozysme de deux membres du triumvirat qui dirigeait le Monde depuis une dizaine d’années, mais a comme souvenir de Minc, désormais 3 membres du groupe Lagardère au conseil de surveillance du Monde)
- Rue 89 : mentionné dans les commentaires (Pas de liens sarkozystes connus).
En résumé : les médias connus pour leurs liens avec Sarkozy taisent l’information que l’ex-candidate UMP contre Sarkozy avait subi les mêmes intrusions criminelles que Ségolène Royal, alors que les autres dans leur vaste majorité la mentionnent, soit par des articles, soit dans des commentaires d’internautes qui n’ont pas été censurés et que l’on retrouve facilement par le moteur de recherche du média.
NB : La Tribune, L’Express et Le Monde n’ont pas été inclus, car je les considère en phase de convalescence après avoir subi des restructurations sarkoziennes plus ou moins lourdes et récentes.
Source : anonyme sur Betapolitique
http://sego-dom.over-blog.com/article-21940044.html